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L'homme du consensus ou plutô le harki Mansour Hadi s'est fait avoir comme un lapin.
L'Arabie saoudite a interdit à l'ancien président yéménite, Abd Rabbuh Mansour Hadi, ainsi qu'à ses fils, ses aides et sesresponsables militaires, de revenir au Yémen pendant des mois, ont indiqué des responsables yéménites.
Samedi, une agence de presse a cité des responsables yéménites, sous couvert d'anonymat, affirmant que l'interdiction avait été mise en place à la suite de l'hostilité croissante entre Hadi et les EAU, qui ont envahi le sud du Yémen en tant que membre clé de la soi-disant coalition dirigée par les Saoudiens dans la guerre en cours contre le pays.
La coalition n'a cessé de pilonner le Yémen depuis mars 2015 pour tenter d'écraser le mouvement populaire Houthi Ansarullah et de réintégrer Hadi, qui est un ardent allié du régime de Riyad.
Des milliers de personnes ont été tuées depuis le début de la campagne militaire saoudienne il y a plus de deux ans et demi, et la plupart des infrastructures du pays, y compris les hôpitaux, les écoles et les usines, ont été détruites par les bombardements de la coalition.
Pendant la plus grande partie de la guerre, Hadi et une grande partie de son gouvernement, qui exerce un contrôle sur les régions du sud du Yémen, se sont rendus à Riyad, la capitale saoudienne. Cependant, depuis la dernière fois qu'il a quitté le Yémen pour l'Arabie saoudite en février, il a envoyé plusieurs demandes écrites au roi saoudien Salman pour demander la permission de rentrer, sans recevoir de réponse, a indiqué un commandant de sécurité yéménite.
Selon le commandant, Hadi s'est même rendu à l'aéroport de Riyad en août pour retourner dans sa capitale autoproclamée, Aden, dans le sud du Yémen, mais il a été renvoyé de l'aéroport.
"Les Saoudiens leur ont imposé une forme d'assignation à résidence", a déclaré le commandant sans nom, ajoutant: "Quand Hadi demande à partir, ils répondent que ce n'est pas sûr pour lui de revenir car il y a des comploteurs qui veulent prendre sa vie. pour sa vie. "
Hadi est réticent à défier l'Arabie Saoudite, car il "ne veut pas perdre les Saoudiens", a souligné le commandant.
Les passeports de plusieurs fonctionnaires de Hadi ont été initialement saisis. Bien qu'ils aient reçu leurs passeports plus tard, ils ne peuvent toujours pas quitter l'Arabie Saoudite, a dit le commandant.
Selon les autorités yéménites informées, les EAU se méfient de Hadi, l'accusant de corruption et s'opposant à son alliance avec le parti Islah, la branche des Frères musulmans du Yémen.
Le 2 novembre, Hadi a tenu une réunion pour discuter d'un remaniement ministériel dans le but de repousser les EAU en renvoyant ses ministres soutenus par les Emirats, mais cela n'a servi à rien jusqu'à présent.
Source: Presse TV
L'Arabie saoudite a interdit à l'ancien président yéménite, Abd Rabbuh Mansour Hadi, ainsi qu'à ses fils, ses aides et sesresponsables militaires, de revenir au Yémen pendant des mois, ont indiqué des responsables yéménites.
Samedi, une agence de presse a cité des responsables yéménites, sous couvert d'anonymat, affirmant que l'interdiction avait été mise en place à la suite de l'hostilité croissante entre Hadi et les EAU, qui ont envahi le sud du Yémen en tant que membre clé de la soi-disant coalition dirigée par les Saoudiens dans la guerre en cours contre le pays.
La coalition n'a cessé de pilonner le Yémen depuis mars 2015 pour tenter d'écraser le mouvement populaire Houthi Ansarullah et de réintégrer Hadi, qui est un ardent allié du régime de Riyad.
Des milliers de personnes ont été tuées depuis le début de la campagne militaire saoudienne il y a plus de deux ans et demi, et la plupart des infrastructures du pays, y compris les hôpitaux, les écoles et les usines, ont été détruites par les bombardements de la coalition.
Pendant la plus grande partie de la guerre, Hadi et une grande partie de son gouvernement, qui exerce un contrôle sur les régions du sud du Yémen, se sont rendus à Riyad, la capitale saoudienne. Cependant, depuis la dernière fois qu'il a quitté le Yémen pour l'Arabie saoudite en février, il a envoyé plusieurs demandes écrites au roi saoudien Salman pour demander la permission de rentrer, sans recevoir de réponse, a indiqué un commandant de sécurité yéménite.
Selon le commandant, Hadi s'est même rendu à l'aéroport de Riyad en août pour retourner dans sa capitale autoproclamée, Aden, dans le sud du Yémen, mais il a été renvoyé de l'aéroport.
"Les Saoudiens leur ont imposé une forme d'assignation à résidence", a déclaré le commandant sans nom, ajoutant: "Quand Hadi demande à partir, ils répondent que ce n'est pas sûr pour lui de revenir car il y a des comploteurs qui veulent prendre sa vie. pour sa vie. "
Hadi est réticent à défier l'Arabie Saoudite, car il "ne veut pas perdre les Saoudiens", a souligné le commandant.
Les passeports de plusieurs fonctionnaires de Hadi ont été initialement saisis. Bien qu'ils aient reçu leurs passeports plus tard, ils ne peuvent toujours pas quitter l'Arabie Saoudite, a dit le commandant.
Selon les autorités yéménites informées, les EAU se méfient de Hadi, l'accusant de corruption et s'opposant à son alliance avec le parti Islah, la branche des Frères musulmans du Yémen.
Le 2 novembre, Hadi a tenu une réunion pour discuter d'un remaniement ministériel dans le but de repousser les EAU en renvoyant ses ministres soutenus par les Emirats, mais cela n'a servi à rien jusqu'à présent.
Source: Presse TV