Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Élection présidentielle : Chakib Khelil n’exclut plus une candidature pour 2019

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Élection présidentielle : Chakib Khelil n’exclut plus une candidature pour 2019

    Chakib Khelil n’a plus peur des mots. L’ancien ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, qui se contentait d’évoquer, jusque-là, des questions économiques et sociétales, s’exprime publiquement sur la présidentielle de 2019.

    Interrogé par un internaute sur ses intentions et la possibilité de le voir briguer la présidence de la République en 2019, l’ancien ministre de l’Energie et des Mines a répondu, avec un brin de philosophie « Seul Dieu sait ». L’homme ne dément pas et ne s’interdit rien. Quitte à brûler toutes ses cartes, lui qui traîne déjà des casseroles trop bouillantes.

    Depuis quelques semaines, Chakib Khelil a, en effet, « repris du service ». Il communique régulièrement via sa page Facebook et se met même à discuter avec des citoyens. Il s’adonne volontiers au jeu des questions-réponses.

    En 2015, l’ancien ministre avait sillonné le pays pour rencontrer des citoyens. Lui dont le nom est associé aux scandales de corruption ayant ébranlé la Sonatrach, s’est permis de prêcher la bonne parole. Il a même fait le tour de plusieurs zaouias du pays. Ce qui a fait dire au célèbre avocat, Mokrane Aït-Larbi, que l’ancien ministre sera « le candidat du système » lors des présidentielles de 2019. Information ou simple prophétie, Chakib Khelil a réussi, tout de même, à capter les intentions.

    algeriepart

  • #2
    Quoi que l'on dise de ce Monsieur, il parait que c'est une cervelle.
    Je trouve qu'il est presidenciable, pourquoi pas ???
    Dernière modification par mage, 09 novembre 2017, 20h50.
    Curriculum vitæ : "Je suis né et depuis... j'improvise !!"

    Commentaire


    • #3
      C'est un technocrate et je pense ce qu'il faut pour l’Algérie future de l’après la légitimité révolutionnaire
      Dernière modification par samii, 09 novembre 2017, 20h48.

      Commentaire


      • #4
        Il a même fait le tour de plusieurs zaouias du pays. Ce qui a fait dire au célèbre avocat, Mokrane Aït-Larbi, que l’ancien ministre sera « le candidat du système » lors des présidentielles de 2019. Information ou simple prophétie, Chakib Khelil a réussi, tout de même, à capter les intentions.
        Y a que Abdou Semmar pour faire des fautes pareilles

        On dit capter l'attention .. ya h'mar

        Commentaire


        • #5
          C'est un technocrate et je pense ce qu'il faut pour l’Algérie future de l’après la légitimité révolutionnaire
          une version d'un scénario en mode russe ....Vladimir potine et sa mafia rouge
          dz(0000/1111)dz

          Commentaire


          • #6
            Jusqu'à maintenant, je ne vois aucun personnage politique algérien qui représenterait vraiment le dynamisme et le changement. Personne, même plus Benbitour qui m'avait séduit un moment.

            De toutes les façons, l'Algérie va vivre la médiocrité dans la continuité du régime, avec ou sans Boutoz.

            Commentaire


            • #7
              Je pense aussi qu'il sera le prochian candidat du système. Du moment que Boutef ait pu passer, tout le reste ne peut qu'être meilleur que lui.
              La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

              Commentaire


              • #8
                Eh ben! au lieu d'etre à sa place dans une cellule, il a des prétentions de presidentiable!...Il faut le voir pour le croire!
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                Commentaire


                • #9
                  Il faudrait qu'il renonce a sa nationalité américaine et ensuite qu'il rembourse les milliards qu'il a emprunté.
                  C'est incroyable comment on adore que nos responsables sont des fripons.
                  My will is strong,it's my won't that is weak.

                  Commentaire


                  • #10
                    en algérie, à chaque fois qu'une tête émerge, on la salit.

                    une vieille méthode du drs pour contrôler les ambitions des personnes...

                    je ne crois pas à la fable khelil corrompu... et je n'aime pas klhelil

                    Commentaire


                    • #11
                      Le centre gériatrique d'El Mouradia fait dans la continuation : Chakib Khalil est né le 8 août 1939 (78 ans),
                      pour comparaison :
                      - Mohcine Belabbas (RCD), né le 15 septembre 1970 (47 ans)
                      - Larbi Benmhidi, était âgé de 29 ans en Novembre 1954,
                      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                      Commentaire


                      • #12
                        une vieille méthode du drs pour contrôler les ambitions des personnes...
                        on ne sait pas au juste qui ces malfaiteurs les plus dangereux!, pour donner au peuple le temps de respirer et de comprendre ce qu’on lui faisait;


                        Poutine est en train d’épurer la classe politique russe pour éviter un scénario à l’ukrainienne



                        Au cours des dernières semaines, des événements politiques majeurs se sont produits à l’intérieur de la Russie, où on a assisté à l’arrestation de plusieurs fonctionnaires accusés de corruption. La plus sensationnelle de ces arrestations a été, dans la région de Kirov (nord de la Russie), du gouverneur Nikita Belykh. L’arrestation s’est produite au moment où il recevait un pot-de-vin de 400 000 €.

                        De fait, tout au long des six derniers mois, il y a eu, en Russie, plusieurs arrestations de fonctionnaires de haut rang (gouverneur, maire de centre régional, sous-ministre). Le 1er juin, le maire de Vladivostok (centre régional de la côte pacifique), Igor Pouchkarev, a été arrêté. Avant Pouchkarev, le gouverneur de la région de Sakhaline, Alexandre Khorochavine, et le sous-ministre de la Culture Grigory Piroumov, avaient aussi été arrêtés. Et c’est là loin d’être une liste exhaustive des arrestations et des mises en détention de hauts fonctionnaires pendant le semestre écoulé. Dans tous ces cas, les chefs d’accusation sont les mêmes: corruption et abus de pouvoir. Mais ceux-ci ne sont que les plus haut placés des poursuivis. S’il faut en croire les informations données par la presse, les hauts fonctionnaires arrêtés et détenus depuis le début de l’année se compteraient par douzaines (mais plus vraisemblablement par centaines).

                        Des primaires ont commencé en Russie et des élections à la Douma (Parlement) doivent se dérouler au mois de septembre. C’est dans ce contexte que s’est ouvert, le 27 juin, le congrès du parti de gouvernement Russie Unie, et que le président Poutine s’en occupe. La majorité du parti est composée de membres de la classe dirigeante. Comme on pouvait s’y attendre, Poutine prend ses distances vis-à-vis du parti alors que son président, Dmitry Medvedev, voit sa popularité décroître, non seulement dans la société russe en général mais chez les professionnels de la politique. L’arrestation de plusieurs dirigeants régionaux écorne l’image de Russie Unie, raison pour laquelle d’ailleurs ce parti, pour la première fois de son histoire, organise des primaires, dans l’espoir évident de restaurer cette image et d’assainir ses rangs.

                        Désormais, appartenir au « parti au pouvoir » et jouir d’un statut élevé dans la hiérarchie politique ne sont plus des talismans qui suffisent à préserver des enquêtes anti-corruption. Comme nous l’ont appris nos sources dans les milieux d’affaires de Russie, les fonctionnaires ont réellement peur. N’importe quel membre corrompu de l’establishment peut se retrouver du jour au lendemain passible d’une enquête judiciaire. La lutte contre la corruption, ce fléau de la Russie post-soviétique, est en train de devenir réalité.

                        L’arrestation de Belykh soulève d’autres questions. Des articles ont paru dans la presse l’accusant d’entretenir des liens corrompus avec le leader de l’opposition pro-américaine Alexeï Navalny et avec les forces anti-Poutine dans les états baltes. Belykh est un protégé d’Anatoli Tchoubaïs, et Anatoli Tchoubaïs est à l’origine de la vague de privatisations qui a créé en Russie la classe des oligarques. Des employés de la CIA ont travaillé comme conseillers de Tchoubaïs, et lui-même est considéré comme LE représentant du lobby US à Moscou. Tchoubaïs est la personne la plus détestée en Russie, où on le qualifie ouvertement de « lobbyiste-en-chef des intérêts américains ». On ne peut donc pas exclure que l’arrestation de Belykh soit quelque chose de plus qu’une simple poursuite pour corruption. Nikita Belykh est connu pour son incompétence professionnelle, pour n’avoir dû son ascension au poste de gouverneur qu’au patronage de Tchoubaïs et pour avoir en un temps record plongé la région de Kirov dans une situation calamiteuse. C’est sous le gouvernorat de Belykh qu’elle est devenue une des régions les plus corrompues de toute la Russie. Il va de soi que Nikita Belykh a été un des leaders du parti Union des Forces de Droite. Mais plus tard, une fois que ce parti eut perdu toutes les élections possibles et qu’il fut devenu la risée de l’électorat, Belykh a rejoint les rangs de Russie Unie, ce qui a porté grandement préjudice à cette formation. Il en a été de même avec plusieurs des autres fonctionnaires corrompus mis sous mandat d’arrêt.

                        Le gouvernement russe, en arrêtant et en emprisonnant des fonctionnaires corrompus tels que Belykh et Piroumov, ne fait rien d’autre que corriger ses propres erreurs. Mais, en même temps, ses enquêtes anti-corruption sont un programme anti-crise: leur but réel est d’empêcher une fracture de la classe dirigeante. Moscou semble avoir retenu la leçon des erreurs du président ukrainien Viktor Yanoukovitch, causes de la facture qui a amené les oligarques ukrainiens et les chefs de l’administration présidentielle du pays (!) à organiser l’Euromaidan, un coup d’État et une guerre civile dans le Donbass. L’establishment ukrainien, maintenant totalement inféodé aux USA, a plongé le pays entier dans la guerre civile.

                        Il est clair que le président Poutine n’a pas observé en vain les erreurs de son collègue ukrainien et qu’il a, en conséquence, commencé à nettoyer les écuries d’Augias de la classe politique et de l’establishment russe C’est là une mesure préventive destinée à préserver l’unité de la classe dirigeante et celle du pays.

                        Eduard Popov

                        Traduction du russe : J. Arnoldski, pour Fort-Russ ...July 11, 2016 -

                        dz(0000/1111)dz

                        Commentaire


                        • #13
                          Pour plagier molière dans Tartuffe, je dirais à propos de cet indigne personnage:

                          "Cachez ce personnage que je ne saurais voir.
                          Par de pareils images, les âmes sont blessées,
                          Et cela fait venir de coupables pensées."
                          ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

                          Commentaire


                          • #14
                            tawenza,

                            en algérie, à chaque fois qu'une tête émerge, on la salit.
                            Lol ...tu ne fait que ca tous les jours.

                            Par ailleurs,Julian Assange n'est pas un raconteur de fables.Vas consulter Wikileaks.
                            My will is strong,it's my won't that is weak.

                            Commentaire


                            • #15
                              Lol ...tu ne fait que ca tous les jours.
                              sans façon donne des exp

                              Par ailleurs,Julian Assange n'est pas un raconteur de fables.Vas consulter Wikileaks.
                              lol quelle référence !

                              puis, il n'y a rien de concret...


                              on lui colle le carnet d'adresse de farid bejaoui.... l'affaire saipem s'est dégonflée

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X