Interné dans un hôpital du Val-de-Marne, l'individu s'est échappé le 1er novembre. Un défaut de surveillance serait à l'origine de sa cavale.
Le 18 octobre 2017, au cours d'une procédure d'expulsion locative d'un couple dans les Hauts-de-Seine, les policiers ont mis la main sur des menaces rédigées à l'encontre du président de la République Emmanuel Macron, de son épouse Brigitte et de leur entourage. Ils ont également retrouvé une arme de poing de calibre 6.35 et 50 000 euros en liquide. À l'issue d'une garde à vue, il a été requis pour l'homme expulsé une hospitalisation sous contrainte dans un établissement psychiatrique de Villejuif (Val-de-Marne). La décision a été prise sous le contrôle du juge de la liberté et de la détention. « L'individu pouvait être dangereux. D'après son profil psychiatrique, il en veut à la terre entière, il est capable de tout », affirme une source proche de l'enquête.
Mais l'individu a pris la fuite le 1er novembre. Selon les services de police, un défaut de surveillance du personnel hospitalier serait à l'origine de la cavale de l'homme considéré comme dangereux et pouvant générer des troubles à l'ordre public. Il a été inscrit au fichier des personnes recherchées. Un service de la préfecture de police a été saisi pour enquêter. Durant la campagne présidentielle et depuis son élection, Emmanuel Macron fait régulièrement l'objet de menaces. Sa sécurité a été renforcée, de même que les abords du palais de l'Élysée.
yahoo
Le 18 octobre 2017, au cours d'une procédure d'expulsion locative d'un couple dans les Hauts-de-Seine, les policiers ont mis la main sur des menaces rédigées à l'encontre du président de la République Emmanuel Macron, de son épouse Brigitte et de leur entourage. Ils ont également retrouvé une arme de poing de calibre 6.35 et 50 000 euros en liquide. À l'issue d'une garde à vue, il a été requis pour l'homme expulsé une hospitalisation sous contrainte dans un établissement psychiatrique de Villejuif (Val-de-Marne). La décision a été prise sous le contrôle du juge de la liberté et de la détention. « L'individu pouvait être dangereux. D'après son profil psychiatrique, il en veut à la terre entière, il est capable de tout », affirme une source proche de l'enquête.
Mais l'individu a pris la fuite le 1er novembre. Selon les services de police, un défaut de surveillance du personnel hospitalier serait à l'origine de la cavale de l'homme considéré comme dangereux et pouvant générer des troubles à l'ordre public. Il a été inscrit au fichier des personnes recherchées. Un service de la préfecture de police a été saisi pour enquêter. Durant la campagne présidentielle et depuis son élection, Emmanuel Macron fait régulièrement l'objet de menaces. Sa sécurité a été renforcée, de même que les abords du palais de l'Élysée.
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