Connu pour sa «fitna», notamment durant le printemps arabe où il a été l'un des plus grands promoteurs du «KO», Mohamed Al-Arifi est devenu «persona non grata» en Arabie saoudite.
En effet, dans le sillage de la purge actuelle lancée par le prince Mohamed Ben Salmane, visant aussi des hommes d'affaires et des émirs, figure le nom du très médiatique personnage.
Il faut rappeler qu'en 2016, il voulait se rendre en Algérie pour y animer un colloque, mais les autorités algériennes lui ont tout simplement refusé le visa. «Cette demande (participer au colloque) ainsi que l'octroi du visa ont été refusés, parce que nous savons qu'il est un acteur dans la subversion du système appelé printemps arabe et qu'il est aussi un promoteur de propagande au profit du groupe radical de Jamat el Nosra relevant d'El Qaïda en Syrie», avait précisé Mohamed Aïssa, le ministre des Affaires religieuses.
L'expression
En effet, dans le sillage de la purge actuelle lancée par le prince Mohamed Ben Salmane, visant aussi des hommes d'affaires et des émirs, figure le nom du très médiatique personnage.
Il faut rappeler qu'en 2016, il voulait se rendre en Algérie pour y animer un colloque, mais les autorités algériennes lui ont tout simplement refusé le visa. «Cette demande (participer au colloque) ainsi que l'octroi du visa ont été refusés, parce que nous savons qu'il est un acteur dans la subversion du système appelé printemps arabe et qu'il est aussi un promoteur de propagande au profit du groupe radical de Jamat el Nosra relevant d'El Qaïda en Syrie», avait précisé Mohamed Aïssa, le ministre des Affaires religieuses.
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