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Conférence de presse algéro-française

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  • Conférence de presse algéro-française

    M. Le Drian et M. Messahel donnent un aperçu des projets à venir.

    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

  • #2
    un peu longue et ennyueuse cette conference, d habitude elles sont laconiques,c est un prolongement de cooperation algero-francaise

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    • #3
      Le Drian à Alger deux semaines avant le Sommet EU-UA? Le subreptice devrait paraître un peu trop gros au Maroc afin d'être avalé d'un seul coup!

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      • #4
        Difficile de concevoir des ententes au niveau politique et stratégique, surtout avec le lobby maroco-sioniste en France.
        Économiquement c'est moins litigieux, en Algérie il suffit d'un bon assainissement interne lié à la bonne gouvernance (1), museler les bandits de l'import-import, revoir la méthodologie de dépense très primaire et axer sur les gains et retour d'investissements.
        Pour la France, il s'agit de fonctionner selon les intérêts de la seule France et non les bons vouloirs des groupes influents et autres pleureurs professionnels et rats de coulisses (marocains entre autres). Il est sûr qu'il reste beaucoup à faire dans une Algérie en pleine essor et en ouverture sur le monde, mais l'abdication aux vautours groupes d’intérêts mettra la France OUT de l'Afrique ... la Russie, la Chine et les US n'attendent qu'un claquement de doigts de la part de l'Algérie.

        À noter que les projets fusent, les officiels algériens sont à finir l'autoroute africaine, l'agent d'affaire Rebrab parle d'un chemin de fer transafricain.

        (1) : réelle démocratie et délaissement du régime militaire et installation de présidents et staffs d'un autre temps, c'est honteux on est au 21ème siècle et tout le monde est au courant de tout)
        Dernière modification par okba30, 12 novembre 2017, 15h50.
        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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        • #5
          Le Drian à Alger deux semaines avant le Sommet EU-UA?
          Il donne bonne impression, je pense qu'il est un grand ami de l'Algérie. L'UE-UA, gros poids de la France en Europe, c'est de bonne augure qu'il passe par Alger qu'il connait bien.
          D'autant plus notre Messahel national wahed mayakha3ou khou, tu veux travailler sois le bienvenu, ''ti chirches li proublèmes ard rabbi wass3a, kayen les italiens, les allemands ....''.
          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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          • #6
            Dixit ockba30: " Il donne bonne impression, je pense qu'il est un grand ami de l'Algérie."

            A vraiment dire, je suis incapable de répondre à votre intervention. Sinon que de me souvenir d'un article du journal électronique marocain ********.

            - France : Proche de l’Algérie, Jean-Yves Le Drian est le nouveau ministre des Affaires étrangères

            Jean-Yves Le Drian quitte le département de la Défense pour celui des Affaires étrangères. Le Breton a des positions proches de l’Algérie. A moins que la raison d’Etat ne l’emporte sur les opinions personnelles, le Maroc a du souci à se faire.
            (...).

            De plus, le Breton n’a jamais caché sa proximité avec l’Algérie. En témoigne ses déclarations formulées sur un ton peu diplomate le 16 décembre 2014 en réponse à une question de l’hebdomadaire Jeune Afrique sur un possible rôle de Rabat dans le processus de réconciliation au Mali*: «Nous n’avons pas à avoir une discussion sur ce sujet avec tel ou tel. Il y a une médiation algérienne, nous l’appuyons.»

            Quand Mezouar taclait Le Drian

            Des propos que Salaheddine Mezouar, l’ancien chef de la diplomatie marocaine, avait jugés «infondés et irresponsables» deux semaines plus tard dans une interview accordée à la même publication, assénant que «le temps de la tutelle est révolu».

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            • #7
              Il donne bonne impression, je pense qu'il est un grand ami de l'Algérie.
              des Français grands amis de l'Algérie, il y en eût des tas, mais les relations demeurent stériles.
              Tout le monde se méfie de faire des affaires avec le régime algérien et ils n'ont pas du tout tort...

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              • #8
                Azul Bachi

                Tout le monde se méfie de faire des affaires avec le régime algérien et ils n'ont pas du tout tort...
                Si c'était le cas Total, Orascom ou Peugeot ne seraient plus en Algérie, business is business, la Syrie et l'Irak montrent bien que les affaires passent avant tout sentiment.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  oui des géants comme Total, y a pas de problème, leur pays les protège, le régime algérien n'y peut rien contre eux.

                  mais des Sawiris, par exemple, on a tous vu comment il a été traité.
                  un état qui change les règles du jeu à tous les mois ou un petit fonctionnaire peut te bloquer tout projet, ce n'est pas attirant.

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                  • #10
                    Okba,

                    Factuellement, en quoi consiste l'essor actuel algérien ?
                    La chine construit 80 % des infrastructures et la Russie fournie déjà 80% de l'armement, donc de quel claquement de doigt tu parles ?
                    Et quand tu dis qu'il n'y a qu'a assainir le pays ? Comment fais-tu (autrement que yakafokon)? Et de quel développement africains parles-tu ?

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                    • #11
                      faut relever que la comefa a ouvert ses travaux le 11 novembre...
                      la conf de presse c le 12 nov..



                      ce qui est important est qu'ils annoncent la visite du président Macron

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                      • #12
                        okba @
                        tu es en retard d une guerre,en politique il n y a que des interets,la cooperation algero-francaise est dictee par les interets mutuelles.
                        bien sur que d autres pays sont en embuscades et voient d u mauvais oeil cette cooperation.
                        si l algerie etait un pays pauvre et insolvable elle n interesserait personne.

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                        • #13
                          En Algérie, il faudrait sans doute enseigner et faire accepter au peuple que les modalités économiques ont changé et que soit le pays monte dans le train soit il reste sur le quai.

                          Il s'agit d'une fin d'un certain idéal et malheureusement c'est ainsi. Des "dégâts", il en aura incontestablement, mais c'est soit cela ou peut-être alors pire.

                          La Chine a réussi (ou semble en voie de réussir) la transition payée au coût fou, mais elle n'avait pas d'autres alternatives.

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