Quelque 192 171 véhicules neufs ont été immatriculés en 2016, selon l'Office national des statistiques (ONS). Bien que la crise économique soit installée, les ménages algériens ne se privent pas du plaisir d'être au volant d'un véhicule neuf, sinon d'occasion.
En effet, le nombre de voitures qui ont été immatriculées (neuves) et ré-immatriculées en 2016, a atteint 1 856 150, contre 1 505 403 opérations d'immatriculation et de réimmatriculation en 2015, soit une augmentation de 23%. «Les immatriculations définitives des véhicules neufs nous renseignent sur les mises en circulation effectives des véhicules vendus.
L'examen de ces immatriculations, au regard des importations, fait apparaître qu'une bonne partie des véhicules n'est pas immatriculée au cours de l'année d'importation», explique l'ONS. Mais quel est le profil du demandeur local qui résiste à la crise poussant les fabricants d'automobiles à investir en Algérie ? C'est le cadre moyen, répondent à l'unanimité les économistes.
«Les cadres moyens, entre autres, les enseignants et ceux de Sonelgaz qui ont bénéficié au cours des dernières années des augmentations de salaire boostent continuellement le marché de l'automobile. Les œuvres sociales de l'éducation et des entreprises encouragent le marché des véhicules neufs, malgré la forte dévaluation du dinar algérien.
Lesoir
En effet, le nombre de voitures qui ont été immatriculées (neuves) et ré-immatriculées en 2016, a atteint 1 856 150, contre 1 505 403 opérations d'immatriculation et de réimmatriculation en 2015, soit une augmentation de 23%. «Les immatriculations définitives des véhicules neufs nous renseignent sur les mises en circulation effectives des véhicules vendus.
L'examen de ces immatriculations, au regard des importations, fait apparaître qu'une bonne partie des véhicules n'est pas immatriculée au cours de l'année d'importation», explique l'ONS. Mais quel est le profil du demandeur local qui résiste à la crise poussant les fabricants d'automobiles à investir en Algérie ? C'est le cadre moyen, répondent à l'unanimité les économistes.
«Les cadres moyens, entre autres, les enseignants et ceux de Sonelgaz qui ont bénéficié au cours des dernières années des augmentations de salaire boostent continuellement le marché de l'automobile. Les œuvres sociales de l'éducation et des entreprises encouragent le marché des véhicules neufs, malgré la forte dévaluation du dinar algérien.
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