Le rapport annuel ‘Freedom on the Net’ du groupe de réflexion Freedom House a inscrit le Maroc parmi les 30 pays dans le monde qui utilisent des « commentateurs pro-gouvernementaux rémunérés » pour façonner leurs opinions en ligne. Trolls, bots, fake news servent à harceler les journalistes, inonder les réseaux sociaux d’opinions inventées et éroder la confiance dans d’autres médias.
Au moins 30 gouvernements dans le monde emploient des “armées du clavier” pour propager la propagande et attaquer les voix qui leurs sont critiques, selon un rapport annuel de Freedom House, dont le Maroc qui figure sur la liste aux côtés de l’Egypte, de l’Arabie saoudite, du Soudan, de la Syrie et des Emirats arabes unis pour ce qui est de la zone Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA).
Le rapport annuel Freedom on the Net du groupe de réflexion Freedom House a montré que la diffusion de la désinformation en ligne dépassait de loin la Russie et la Chine pour près de la moitié des 65 pays étudiés dans le rapport.
Il a constaté que les gouvernements, notamment le Mexique, l’Arabie saoudite, la Turquie, mais aussi le Maroc, utilisaient des « commentateurs pro-gouvernementaux rémunérés » pour façonner leurs opinions en ligne, souvent pour donner l’impression d’un soutien populaire aux politiques gouvernementales. Le rapport a généralement constaté que la liberté sur Internet se détériore, 32 pays enregistrant une moins bonne note que l’année dernière.
TSA/LEDESK MAROC
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Au moins 30 gouvernements dans le monde emploient des “armées du clavier” pour propager la propagande et attaquer les voix qui leurs sont critiques, selon un rapport annuel de Freedom House, dont le Maroc qui figure sur la liste aux côtés de l’Egypte, de l’Arabie saoudite, du Soudan, de la Syrie et des Emirats arabes unis pour ce qui est de la zone Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA).
Le rapport annuel Freedom on the Net du groupe de réflexion Freedom House a montré que la diffusion de la désinformation en ligne dépassait de loin la Russie et la Chine pour près de la moitié des 65 pays étudiés dans le rapport.
Il a constaté que les gouvernements, notamment le Mexique, l’Arabie saoudite, la Turquie, mais aussi le Maroc, utilisaient des « commentateurs pro-gouvernementaux rémunérés » pour façonner leurs opinions en ligne, souvent pour donner l’impression d’un soutien populaire aux politiques gouvernementales. Le rapport a généralement constaté que la liberté sur Internet se détériore, 32 pays enregistrant une moins bonne note que l’année dernière.
TSA/LEDESK MAROC
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