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L’école algérienne figure parmi les plus mauvaises du monde en matière de qualité d’enseignement

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  • L’école algérienne figure parmi les plus mauvaises du monde en matière de qualité d’enseignement

    Selon la même étude, l’école algérienne figure à la 119 ème place mondiale sur 140 en matière de qualité d’enseignement, loin derrière les voisins marocain et tunisien qui figurent dans le top 100 mondial et se classent respectivement à la 84 ème et à la 100 ème place.

    Au niveau de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), l’école algérienne se classe en 11 ème position, toujours derrière le Maroc et la Tunisie qui sont classés respectivement 7 ème et 9 ème. Le Qatar et les Émirats Arabes Unis sont quant à eux les pays qui possèdent le meilleur système d’enseignement dans la région MENA, selon la même étude.



    OBSERVATION ALGERIE

  • #2
    Pourtant nos étudiants algériens qui arrivent en France s'en sortent mieux que les étudiants résidants ici et ayant fait leur scolarité ici... ils sont donc surdoués ?
    Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
    9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
    ou âachra fi âaynikom

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    • #3
      C'est pas une école! C'est une fabrique de, au mieux des imams au pire des térro!
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Un lien pour cette "étude" ?
        Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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        • #5
          Et pourtant à vous lire,nous les marocains nous sommes les illettrés d'Afrique.
          Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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          • #6
            C'est justement pour parer à cette médiocrité que s'attelle la ministre actuelle, mais à voire les multiples embuches que l'on dresse contre elle, ce n'est pas gagner ! ...

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            • #7
              Et pourtant à vous lire,nous les marocains nous sommes les illettrés d'Afrique.
              L'Ecole à l'époque de Hassan 2 n'a rien avoir avec l'école d'aujourd'hui ! :22:

              Pas étonnant de voir un classement parmi les derniers dans les années à venir .

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              • #8
                Pourtant nos étudiants algériens qui arrivent en France s'en sortent mieux que les étudiants résidants ici et ayant fait leur scolarité ici... ils sont donc surdoués ?
                Tu sais, dans un monde de sots, le legrement sot serait le surdoué, et le profondement sot serait le sot.

                Dans le contexte de ta remarque (etudes sup en France), une meilleure question à se poser, puisque le classement evoque egalement le Maroc et la Tunisie, est pourquoi les etudiants venant de ces derniers pays s'en sortent globalement mieux que les etudiants venant d'Algerie dans les universités /ecoles françaises ? Cet etat de fait ne coroborre-t-il pas la conclusion de cette etude ?

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                • #9
                  L'Ecole à l'époque de Hassan 2 n'a rien avoir avec l'école d'aujourd'hui !

                  Pas étonnant de voir un classement parmi les derniers dans les années à venir
                  .
                  Il n'y a ni Hassan 2 ni Mohammed 5.

                  On forme mieux l'elite au Maroc que dans le reste du Maghreb.

                  Les etudiants marocains continuent de representer chaque année la plus grosse represenation des etrangers dans les grandes ecoles d'ingenieur et de commerce françaises. Ils ne sont concurrencés que par les chinois.

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                  • #10
                    On forme mieux l'elite au Maroc que dans le reste du Maghreb.
                    le jour ou le maroc produit des types comme Dr Elyas Zerhouni ou Dr Majid Boutemeur vient nous parler de cette elite au maroc qui est meilleure du reste au Maghreb.

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                    • #11
                      Le Maroc forme mieux l'elite c'est un fait et pas qu'un simple "feeling", car on a les chiffres.

                      Sinon je ne vais pas jouer a "qui pisse le plus haut avec toi". Si tu veux faire connaissance de genies marocains, google est ton ami tu seras servi.

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                      • #12
                        Début de l'article original:

                        L’école algérienne figure parmi les plus mauvaises du monde en matière de qualité d’enseignement, selon une étude établie par l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).
                        Aucun classement sur le site de l'UNESCO.
                        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                        • #13
                          Dans le contexte de ta remarque (etudes sup en France), une meilleure question à se poser, puisque le classement evoque egalement le Maroc et la Tunisie, est pourquoi les etudiants venant de ces derniers pays s'en sortent globalement mieux que les etudiants venant d'Algerie dans les universités /ecoles françaises ? Cet etat de fait ne coroborre-t-il pas la conclusion de cette etude ?
                          donne moi donc des chiffres de ce que tu avances ...oeilfermé
                          Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
                          9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
                          ou âachra fi âaynikom

                          Commentaire


                          • #14
                            donne moi donc des chiffres de ce que tu avances ...oeilfermé
                            Mes avances t'ont fait rallumer ta fibre patriotique. oeilfermé

                            Quelques extraits du net.

                            LES ÉTUDIANTS MAROCAINS FONT UN TABAC DANS LES GRANDES ÉCOLES FRANÇAISES

                            Ils sont plus de 2 700 à étudier dans les grandes écoles françaises.

                            C’est la première communauté étrangère dans le cercle fermé des hauts cadres en formation.

                            Ils prennent d’assaut les bureaux des étudiants et les junior entreprises.

                            Issus de différents milieux sociaux, ils veulent acquérir une expérience professionnelle avant de rentrer au Maroc.


                            Ils sont jeunes, intelligents et très ambitieux. Ils, ce sont plusieurs centaines de Marocains à avoir mis le cap sur la France pour effectuer ou poursuivre leurs études supérieures dans des grandes écoles prestigieuses : Polytechnique, Ponts et chaussées, Ecole supérieure des travaux publics (ESTP), Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC), Ecole supérieure de commerce de Paris (ESCP-EAP), Hautes études commerciales (HEC) pour ne citer que celles-là. A Paris comme dans plusieurs autres villes françaises, Lyon, Toulouse et Bordeaux notamment, les Marocains «font fureur», selon l’expression de l’un d’eux. Nos aspirants ingénieurs et managers constituent de loin la première communauté étrangère parmi les étudiants des grandes écoles françaises.

                            La Conférence des grandes écoles (organisme gouvernemental français), dans une étude rendue publique en juin 2005, fait état, pour l’année académique 2003-2004, de quelque 2 712 étudiants marocains dans les grandes écoles, sur un effectif total de plus de 25 000 étudiants étrangers, soit plus de 10 % du total. Les Marocains arrivent loin devant les Chinois, deuxième communauté de par le nombre, 1619 étudiants selon l’étude précitée. En troisième position arrivent les Allemands avec 1 600 étudiants. A l’ESCP-EAP, les Marocains sont près de 120 sur 1900 étudiants. A l’ESTP, ils sont une centaine sur un effectif de 1 800 étudiants. Autre exemple, l’une des écoles d’ingénieurs les plus prestigieuses, Polytechnique, réserve annuellement 10 à 15 places par promotion (environ 300 étudiants) pour les Marocains. Idem pour Centrale Paris, qui recrute chaque année une dizaine de Marocains.


                            http://lavieeco.com/news/la-vie-eco-...ises-4016.html



                            De plus en plus d'Africains intègrent Polytechnique

                            De plus en plus d'Africains intègrent Polytechnique, la prestigieuse école d'ingénieurs française. Mais malgré les intentions affichées, seule une minorité repartira travailler sur le continent.

                            Parmi les près de 630 diplômés de Polytechnique issus du continent, certains ont marqué les esprits. C’est le cas du Franco-Ivoirien Tidjane Thiam, directeur général de l’assureur britannique Prudential, du Tunisien Mohamed Frikha, fondateur de la société d’informatique Telnet et de la compagnie aérienne Syphax, de Driss Benhima, PDG de Royal Air Maroc, ou de la Sénégalaise Rose Dieng-Kuntz, chercheuse spécialiste de l’intelligence artificielle et première femme africaine à avoir intégré l’X, en 1975. Dans leur sillage, une trentaine d’étudiants du continent rejoignent chaque année le campus de Palaiseau, en région parisienne. En 2012, ils représentaient 27 % des élèves étrangers de l’X. Comme leurs homologues français, ils reçoivent une bourse mensuelle de 800 euros.

                            À lui seul, le Maroc fournit le contingent le plus important, en raison de la qualité de ses classes préparatoires. Résultat, le réseau d’anciens compte quelque 313 Marocains, 181 Tunisiens, près d’une trentaine d’Algériens, de Sénégalais et de Camerounais, pour l’essentiel.

                            http://www.jeuneafrique.com/15086/ec...polytechnique/

                            Chinois et Marocains à la conquete des grandes ecoles

                            https://www.ccme.org.ma/images/docum...nde_31_mai.pdf



                            Maroc : pourquoi cet engouement des étudiants marocains pour les grandes écoles françaises ?


                            Pour la rentrée 2014-2015, les étudiants marocains font un tabac dans les grandes écoles françaises. C’est par centaines qu’ils réussissent dans de grandes écoles prestigieuses : Polytechnique, Ponts et chaussées, Hautes Etudes Commerciales) (HEC Ecole supérieure des travaux publics (ESTP), Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC), Ecole supérieure de commerce de Paris (ESCP-EAP) . A Paris mais aussi dans plusieurs autres villes françaises, Lyon, Toulouse et Bordeaux notamment. C’est ainsi que les étudiants marocains constituent de loin la première communauté étrangère parmi les étudiants des grandes écoles françaises

                            Près de 600 étudiants marocains ont été admis pour la rentrée 2014-2015 dans de grandes écoles d’ingénieurs, dont plus de 100 dans des écoles relevant des concours d’école comme Polytechnique, Mines-Ponts et Centrales-Supélec. Pour le collectif CPGE Maroc (Collectif des classes préparatoires aux grandes écoles), 11 élèves des prépas marocaines, dont un Mauritanien et une Algérienne, ont pu intégrer l’école Polytechnique de Paris. En parallèle, 8 Marocains des prépas en France et 4 autres Marocains venant d’écoles d’ingénieurs de l’Hexagone ont aussi réussi l’intégrer. De son côté l’Ecole Centrale (Paris et autres villes) a ouvert ses portes à 26 Marocains dont 15 à Paris. Les trois campus de l’Ecole des Mines ont accueillis 15 élèves à Nancy, 5 à Saint Etienne et 1 à Paris.

                            Le plus gros « contingent » d’élèves marocains a été enregistré à l’Enseiht (Ecole nationale supérieure d’électrotechnique, d’électronique, d’informatique, d’hydraulique et des télécommunications) de Toulouse, avec 67 admis. S’ensuit l’Enserb (Ecole nationale supérieure d’électronique, informatique, télécommunications, mathématique et mécanique de Bordeaux), où 57 élèves issus des classes préparatoires marocaines ont été admis.

                            Pour faciliter le déplacement en France des candidats marocains ayant réussi les épreuves écrites de ces grandes écoles, le collectif CPGE a mis en place tout un programme, avec l’appui de ses partenaires. La RAM a ainsi octroyé 300 billets d’avion gratuits dans le cadre d’un protocole d’accord avec le ministère de l’Enseignement supérieur. Par ailleurs, diverses entreprises et fondations ont contribué directement ou indirectement au financement des droits d’inscription aux concours pour les candidats à revenu modeste, en plus du passage des oraux.

                            Le système de prépas aux grandes écoles est inspiré du système français et permet à des milliers d’étudiants d’intégrer des écoles d’ingénieurs marocaines. Toutefois ceux-ci privilégient les grandes écoles françaises. Si en France, le système élitiste des grandes écoles est considéré comme un système de caste perpétuant la domination de milieux aisés, il permet par contre à des étudiants marocains surdoués de milieux défavorisés grâce aux bourses octroyées d’accéder à des postes de responsabilité et de faire partie de l’élite du pays.

                            Cet engouement des étudiants marocains pour les grandes écoles françaises s’explique par la chance de faire partie dans un avenir proche de l’intelligentsia marocaine. Ils sont aux commandes dans le secteur public et privé. Dans le secteur public, ils sont gouverneurs et Wali (équivalent de préfets) comme les actuels Walis de Casablanca et de Rabat, directeurs d’administrations centrales, directeurs de grands établissements publics comme l’Office Chérifien des phosphates avec M Mostapha Terrab qui a ponctué son diplôme d’ingénieur d’un PHD à MIT aux USA , directeurs d’agences gouvernementales, ambassadeurs à l’instar M Chakib Benmoussa ambassadeur du Maroc à Paris et parfois même ministres comme MM Hassad et Boussaid lauréats de l’école nationale des Ponts et chaussés de Paris et actuels ministres respectivement de l’Intérieur et de l’Economie et Finances. Dans le secteur privé, ils sont cadres dirigeants dans de groupes marocains ou de grandes sociétés à l’instar du patron de Maroc Télécom Abdesslam Ahizoune ou M Ben Chahboun PDG du Crédit Populaire.

                            Ceux qui ont balisé le terrain à toute cette génération de diplômés tout au moins dans le secteur public restent les anciens conseillers du roi MM Kabbaj diplôme de l’Ecole polytechnique de Paris et surtout feu Méziane Bellefkih ancien de l’Ecole des ponts et chaussés de Paris. Avec eux, il ne s’agit plus d’être un proche de palais royal pour décrocher un grand poste dans le secteur public -bien qu’il faut convenir que des exemples peuvent exister- mais être titulaire du diplôme d’une grande école française et de plus en plus ponctué par une formation aux USA.

                            Pour terminer ce tableau, il faut ajouter cependant que des diplômés d’écoles d’ingénieurs marocains ont pu accéder à des postes importants mais restent des exceptions à l’instar de MM Lakhlii et Alami diplômés de l’Ecole Mohammedia des ingénieurs et respectivement directeurs de l’Office des Chemins de fer et de la Caisse de Dépôt et de gestion le bras financier de l’état marocain.


                            Meme au Canada en fait... Polythechnique "Montreal" cette fois


                            Polytechnique au Maroc et en Tunisie


                            Le saviez-vous ? De nombreux étudiants de l'École Polytechnique nous viennent du Maroc et de la Tunisie. À l'automne 2002, Polytechnique accueille 424 étudiants marocains et 105 étudiants tunisiens à temps complet. En vue de consolider les liens qu'entretient l'École avec ces deux pays, une délégation de Polytechnique s'est rendue en octobre dernier en Tunisie et en avril 2002 au Maroc afin, entre autres, de prendre part aux salons de l'éducation supérieure dans ces pays.

                            La visite d'institutions universitaires était également au programme, ce qui a permis à l'École de renforcer et de développer de nouveaux liens de coopération. Les représentants de Polytechnique ont également discuté de divers projets internationaux de développement avec le ministère de l'Enseignement supérieur de ces pays. Les deux missions se sont clôturées par la tenue d'une réception en l'honneur des diplômés de Polytechnique. Profitant de ces belles retrouvailles, on a discuté de la mise sur pied d'une association de diplômés, sections Tunisie et Maroc.

                            Parmi les institutions universitaires visitées en Tunisie, mentionnons l'École nationale supérieure des Communications de Tunis (Sup'Com), l'École nationale d'ingénieurs de Tunis (ENIT) et l'Université de Tunis El Manar. À cette occasion, l'entente avec l'ENIT fut officiellement reconduite. Une entente avec Sup'Com devrait être conclue sous peu.

                            La mission au Maroc a, pour sa part, permis à l'École Polytechnique de renforcer ses liens avec l'École Mohammadia d'Ingénieurs (EMI), l'École Hassania des Travaux Publics (EHTP), l'Institut National des Postes et Télécommunications (INPT), l'École Nationale Supérieure d'Électricité et de Mécanique (ENSEM), l'École Nationale Supérieure d'Informatique et d'Analyse des Systèmes (ENSIAS) et l'École Nationale de l'Industrie Minérale (ENIM).

                            La Direction enseignement et formation et le Bureau des relations internationales présenteront sous peu ces universités et les possibiltés de collaboration aux professeurs de l'École Polytechnique.

                            http://www.polymtl.ca/carrefour-actu...-et-en-tunisie
                            On forme mieux l’élite au Maroc c'est un fait.

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                            • #15
                              fibre patriotique ?
                              si tu veux
                              je t'ai demandé des chiffres/ un classement
                              pas un pavé..."je suis algérienne, je ne suis pas trop douée pour lire autant..."oeilfermé
                              Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
                              9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
                              ou âachra fi âaynikom

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