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Salon IDEX’2007 : la Russie présente des systèmes DCA uniques

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  • Salon IDEX’2007 : la Russie présente des systèmes DCA uniques

    Comment les Russes on fait pour dépasser technologiquement, les Américains, les Français et les Britanniques avec leurs nouveaux missiles, S-300PMU2, Favorit et Anteï-2500 ?
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    Au Salon IDEX’2007 qui s’ouvre dimanche aux Emirats arabes unis, la Russie présente une vaste gamme de systèmes de missiles sol-air et de radars.

    "Au Salon, les experts et le public pourraient notamment se familiariser avec les performances des systèmes mobiles multitubes longue portée S-300PMU2, Favorit et Anteï-2500, qui dépassent leur analogue américain le plus proche, Patriot-PAC-3", a estimé dans un entretien à RIA Novosti un porte-parole de la centrale publique russe d’exportation d’armements Rosoboronexport.

    "Chacun de ces systèmes peut être opérationnel en cinq minutes. Les systèmes Favorit et Anteï-2500 garantissent la destruction efficace de 24 à 36 cibles simultanément à une distance allant jusqu’à 200 km et à des altitudes allant de 10-25 mètres à 30 kilomètres", a expliqué l’expert. Les deux batteries font appel à un tir vertical de missiles, ce qui explique leur temps de réaction très court, a-t-il expliqué.

    Les visiteurs du Salon auront en plus toutes les informations nécessaires sur les batteries Buk-M1 et Tor-M1, ainsi que sur les systèmes de missiles antiaériens Toungouska-M1 et les missiles sol-air portables Igla. Le système Buk-M1, a poursuivi l’expert de Rosoboronexport, fait appel à des technologies uniques.

    "Possédant une puissance de feu élevé, il est en mesure de viser 6 cibles à la fois volant sur des axes différents à des altitudes de 15 à 25 km et à une distance de 42 kilomètres. Quant aux possibilités d’emploi au combat et à sa viabilité, ce système n’a pas son égal dans le monde", a précisé l’expert.

    En créant le Tor-M1, les ingénieurs ont trouvé des solutions constructives uniques basée sur des technologies de pointe. Chacun des engins est susceptible d’effectuer une détection radar en marche, de découvrir simultanément jusqu’à 48 cibles, de choisir les dix les plus dangereuses et d’en détruire jusqu’à deux à la fois lors d’un arrêt de courte durée.

    Cette batterie fait appel à un tir vertical et à un système de téléguidage de missiles. Il peut être livré aussi sur châssis à chenilles et à roues ou en conteneurs.

    Les entreprises russes proposent en outre des radars efficaces destinés à détecter des cibles volant à de basses altitudes Kasta-2E2, des radars mobiles fonctionnant dans les gammes centimétriques et métriques ayant une portée de détection jusqu’à 400 km, Gamma-C1E, Protivnik-GE.

    Sur les stands russes, on trouvera également un radar mobile à réseau actif fonctionnant dans la gamme métrique Nebo-SVU, en mesure de détecter efficacement les cibles fabriquées avec recours aux technologies furtives ("stealth").

    Le Salon IDEX’2007 se déroule du 18 au 22 février.

    16 février 2007 Ria Novosti
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Comment le Pentagone a financé la conception d'une arme russe

    Veniamin Efremov a bien réussi à duper le Pentagone. Avec des dollars provenant tout droit des Etats-Unis, il a conçu une arme que nul ne possède encore dans le monde. Ni les Yankees, ni les Britanniques, ni les Français.

    Mais parlons d'abord de cet Efremov et de l'arme unique qu'il a créée.

    Le "truc" d'Efremov

    Le Who's Who russe nous informe que Veniamin Efremov, constructeur général de l'Association science-production NPO Anteï, a terminé l'Institut électrotechnique des télécommunications de Moscou en 1951, qu'il est membre de l'Académie des sciences de Russie, lauréat des Prix Lénine et d'Etat, et que ses activités portent sur des radars et des systèmes de direction.

    Tout cela est vrai. Mais, à y réfléchir de plus près, vous ne trouverez, dans cette courte note biographique, rien de plus précis. Car telle était la tradition, dans notre pays, dès lors qu'il s'agissait des secteurs des plus sensibles qu'étaient les industries de défense. Mais on sait que Veniamin Efremov, constructeur général à NPO Anteï, est l'auteur de plusieurs versions de systèmes mobiles de missiles sol-air pour la DCA de l'armée de terre.

    A leur nombre, des systèmes aussi célèbres que les Osa-AKM (portée en distance de 1,5 à 10 km et portée verticale jusqu'à 6 km - ces batteries ont été vendues à 25 pays du monde) et les Tor-M1 (portée en distance de 1 à 12 km et portée verticale de 100 m à 6 km: ils sont aussi appelés "systèmes de missiles sol-air tactiques"). Outre la Russie, des Tor équipent les armées grecque et chinoise. En font partie aussi les systèmes Krug et ses différentes versions (portée en distance de 4 à 50 km et portée verticale de 150 m à 25 km) et les batteries à grand rayon d'action S-300V (portée en distance de 7 à 100 km et portée verticale de 250 m à 25 km). Et, tout récemment encore, naissait le système de défense antimissile de théâtre Anteï-2500 (portée en distance de 200 km pour les avions et de 40 km pour les missiles balistiques, portée verticale de 250 m à 30 km). On en ignore pratiquement tout jusqu'à présent.

    Une énigme pour le Patriot

    A première vue, l'Anteï-2500 ressemble bien au S-300V, que d'aucuns appellent parfois le "Patriot russe". Six tracteurs sur chenilles composent le système, ainsi que des tubes, comme ceux d'un orgue dans une cathédrale, et des rampes de lancement identiques pour les missiles Gigant et Gladiator.

    Mais l'essentiel est ailleurs. Aujourd'hui, l'Anteï tire bien plus loin que son prédécesseur. C'est actuellement l'unique système défensif dans le monde en mesure d'abattre, outre avions et hélicoptères (dont les systèmes aéroportés de détection et de contrôle AWACS et les avions invisibles aux radars Stealth), des missiles balistiques tactiques de théâtre, à des distances allant jusqu'à 200 km et à des altitudes jusqu'à 30 km (les batteries S-300V les "atteignaient" à 100 et 25 km "seulement"). Enfin, ce système est en mesure de détruire des missiles d'une portée de 2.500 km (d'où le "2500" inséré dans le nom de la batterie) et volant à une vitesse de 4.500 m/sec.

    Il s'agit des systèmes chinois Dongfeng (3, 15 et 25), des batteries américaine ATACMS et française Adès, des Scud S irakiens et des Jericho-2 israéliens, des Pershing américains, lesquels, comme les vieux Scud de fabrication soviétique, équipent toujours de nombreuses armées dans le monde...

    Le S-300V "rattrapait" ces missiles d'une portée de 1.000 km et volant à une vitesse de 3.000 m/sec. Même le Patriot Pack 2, objet d'une publicité tapageuse lors de la guerre du Golfe, n'arrive même pas à ces indices (sa portée de destruction maximale est de 40 km seulement, avec une portée verticale de 24 km).

    Modernisé, le Pack 3 en serait arrivé, vers 2005, aux distances de 150 km et de 25 km, alors que la distance maximale de départ des missiles détruits par le système aurait atteint 1.000 km.

    Mais ce n'est pas tout. On ignore encore si les ingénieurs américains ont réussi à supprimer le principal défaut du Patriot: son missile détruit non pas la tête de fusée mais, le plus souvent, son corps ou son moteur de croisière. Voilà pourquoi le Patriot rate parfois les ogives qui atteignent leur cible (pendant la première guerre du Golfe, il en a été ainsi dans 90% des cas, sur les 65 lancements de Scud. Lors de la deuxième guerre contre l'Irak, on s'en souvient, le Patriot ratait aussi les missiles qui n'arrivaient pas de la "bonne direction", par exemple, depuis la mer).

    Le système américain a un autre défaut: ses missiles, qui sont tirés selon un angle par rapport à l'horizon, ne peuvent pas se tourner vers la cible si celle-ci arrive du côté opposé. De ce fait, pour "boucler le circuit", il faut disposer de quatre rampes de lancement au moins. Quant à l'Anteï, une seule lui suffit. Ses missiles partent verticalement pour, à une altitude de 60 à 100 m, se tourner vers la cible.

    Autre chose, peut-être la plus importante... L'Anteï-2500, comme, d'ailleurs, le S-300V, frappe précisément la tête de fusée. A 100%, dans tous les cas. Ce système a une charge unique d'action orientée (aucun autre système dans le monde ne possède rien de pareil). Et en plus, il peut tirer simultanément sur 16 missiles balistiques, même invisibles aux radars. Tout autre système est impuissant face aux technologies Stealth...

    Voilà. Mais comment donc l'académicien russe a-t-il réussi à concevoir ce système avec de l'argent américain ?

    1ère partie
    Dernière modification par zek, 16 février 2007, 21h45.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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    • #3
      On peut acheter un secret mais pas sa solution

      2e partie

      Comment l’académicien russe a-t-il réussi à créer ce système et ce avec l’argent venu directement des Etats-Unis ? Il est clair que ni le groupe NPO Anteï, ni le ministère de la Défense, son client, n’ont disposé, pendant une période prolongée, de l’argent nécessaire. Que ce soit pour verser les salaires et encore moins pour réaliser de nouveaux armements. Mais Efremov a trouvé la solution.

      A son client, le ministère de la Défense et à la centrale de commerce d’armements russes Rosvooruzhenie (auj. Rosoboronexport) - sans oublier bien sûr le gouvernement - il a proposé de vendre aux Américains son système de missiles sol-air S-300V, objet, depuis des années, d’une chasse ratée de la part de la CIA. Selon l’académicien, c’était une excellente chance pour la société qui modernisait les batteries Patriot de réaliser enfin les objectifs assignés par le Pentagone.

      Je ne pas pense pas qu’il soit nécessaire de préciser la nature des réponses que l’académicien a entendues de la part des généraux. Un geste éloquent - un doigt porté à la tempe - a été leur réaction la moins brutale.

      A l’époque, nos "spécialistes de l’intox" cherchaient déjà à "refiler" aux Américains via la Biélorussie - certes, avec beaucoup de tapage dans la presse qui dénonçait "la vente par Minsk de secrets de Moscou" - un vieux S-300PMU, un développement du concurrent d’Anteï, les Bureaux d’études Almaz.

      Mais quatre batteries d’une version modernisée de ce système, S-300PMU1, avaient déjà été vendues à la Chine et l’espoir était né que ce contrat aurait un prolongement. Mais si un S-300V était vendu aux Américains, la perspective de la poursuite de la coopération avec les Chinois risquait d’être fortement compromise.

      Une question délicate se posait alors : si le Pentagone achète un système, pourquoi l’Armée populaire de libération en achète-t-elle un autre ? Pékin a-t-il commis une erreur ? Il était évident que cette question surgirait. Quant aux généraux, ils disaient de leur côté que le S-300V est un système renforçant la DCA et la défense antimissile de Moscou. "Nous ne pouvons pas la compromettre en livrant nos secrets", expliquaient-ils à l’académicien.

      Le constructeur général prouvait de son côté que l’algorithme de direction des missiles du S-300V ne saurait être déchiffré même en dix ans et qu’un système de loin plus puissant verrait le jour bien avant. On ne l’écoutait pas. Alors, Efremov a décidé d’accomplir une démarche peu ordinaire, ressemblant fort à un véritable chantage.

      A sa demande, le président d’un comité parlementaire, "tapageur et querelleur" - nous ne le nommerons pas - s’est présenté devant un fonctionnaire haut placé, dont dépendait l’autorisation de vendre le S-300V aux Américains. Le député a promis, en cas de refus, d’exiger, devant la Douma, le limogeage du responsable.

      Le fonctionnaire a cédé, apposant sa signature au bas de l’autorisation.

      Plus tard, l’académicien sera accusé d’avoir vendu "des secrets défense à l’ennemi" et même de "trahison"... Le FSB (service de sécurité) intentera, contre lui, une action judiciaire. Un grand quotidien rapportera que la DCA autour de Moscou n’était plus ce qu’elle était après la vente des missiles de Efremov.

      Mais le S-300V vendu aux Américains était tout neuf. En présence de la sécurité et d’experts de Rosvooruzhenie, le système a quitté l’usine où il avait été assemblé. Le Pentagone a obtenu deux batteries (radar de surveillance, poste de commandement, deux rampes de lancement pour les missiles Gigant et Gladiator). Plus 23 missiles sur les 144 nécessaires. Le total, pour 90 millions de dollars.

      Il est vrai que les Américains ont d’abord versé à NPO Anteï seulement la moitié de cette somme. Un jeu quelque peu obscur se poursuivait entre le Pentagone et la centrale Rosvoorouzhenie. On soupçonnait que les services de renseignements, de part et d’autre, étaient impliqués.

      Il est aussi vrai que Rosvooruzhenie n’a pas livré aux Américains le radar de balayage par secteurs, le coeur du S-300V. Mais l’académicien ne s’en souciait déjà plus.

      L’argent obtenu lui a suffi pour mettre au point son nouveau système Anteï 2500. Testé, il est entièrement opérationnel.

      P.S. Veniamin Pavlovtich disparaissait le16 septembre dernier, en laissant ses conceptions et ses idées qu’il partageait généreusement avec ses disciples et ses collègues. Cela signifie que l’oeuvre de sa vie est entre des mains sûres et professionnelles.

      L’avis de l’auteur peut diverger de celui de la rédaction

      Par Viktor Litovkine, RIA Novosti
      Dernière modification par zek, 16 février 2007, 21h46.
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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      • #4
        je pense qu'il ya un peu de propagande ,vanter les performances c'est faire une bonne publicité pour son armement donc remplir les carnets de commande ; messieurs à vos chéquiers !
        Mr NOUBAT

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        • #5
          lol les russes sont de bons vendeurs mais ils ont du bon armement ^^

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          • #6
            Je demande à voir!!! L'armement russe s'est toujours pris une décullottée, à ma connaissance!!! Mig vs f15, Stinger vs Sam...etc.
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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            • #7
              décullotée ou pas , en général il atteint son objectif , c'est le cas de le dire : engranger des dollars pour le pays !
              Mr NOUBAT

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              • #8
                Je demande à voir!!! L'armement russe s'est toujours pris une décullottée, à ma connaissance!!! Mig vs f15, Stinger vs Sam...etc.
                C'etait pas l'armement qui etait en cause mais les pilotes.

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                • #9
                  ils peuvent dire ce qu'ils veulent sur leur missile , ils n'ont pas encore eut a servire on temps de guérre ,si en afganistan en 2002 pas terrible comme resultat ..ha oui l'irak en 2003 ,il fesait pas bon d'etre irakien a la DCA a cette époque si non le reste ç juste des dépliant commerciaux
                  tu tombe je tombe car mane e mane
                  après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                  • #10
                    Salamalikoumme.

                    Toujours est-il qu'ils restent les premiers à avoir conquis l'espace devançant les américains de loin ...

                    Ils maitrisent une technologie de brouillage toujours inconnue ... Ils en ont même fait une démonstration contre les américains pendant la guerre du golf , ces derniers ont vu leurs matériel "gps" guidage satellitaire complétement déreglé pendant une durée dont la maison blanche n'a pas voulu en parler ...

                    Ils ne m'étonneront jamais ceux-là ...

                    J'y crois à cette histoire de misiiles moi ...



                    Wassallamme!

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                    • #11
                      Envoyé par traks
                      il fesait pas bon d'etre irakien a la DCA a cette époque si non le reste ç juste des dépliant commerciaux
                      Le systéme de défense irakien, c'était Thomsom CSF, la couverture radar du pays, si je me souviens bien, aprés il y a eu l'embargo pendant plus de 10 ans, si mes souvenirs sont exact, ils ont abattu plus de 40 avions pendant la premiére guerre du Golfe, juste avec leurs DCA classique à viseur optique.

                      Maintenant, je ne sais pas ce qu'ils avaient exactement comme matériel Russe.
                      Dernière modification par zek, 17 février 2007, 00h59.
                      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                      Commentaire


                      • #12
                        Je rajouterais aussi, que leurs principale dépense été lié à l'armée de terre à cause de la guerre de position avec l'iran, donc presque rien pour l'anti aérien et les missiles, pour leurs aviations une centaine d'avion ont attéri en Iran, tout cet argent aurait pu servir pour un meilleur systéme de défense anti-aérien, une batterie de missile anti aérien ou une bonne DCA ne fuient pas, bon faut savoir quand même, qu'ils ont été attaqué par plus de 2000 avions avec quelques centaines de Tomawak comme entrée.
                        Dernière modification par zek, 17 février 2007, 01h04.
                        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                        • #13
                          Envoyé par zek
                          bon faut savoir quand même, qu'ils ont été attaqué par plus de 2000 avions avec quelques centaines de Tomawak comme entrée.

                          Sans oublier de parler des bombes utilisées "daisy cutter" , "moab" , "bombes à defragmentations" "bombes à souffles" des bombes qui transpercent le béton des boonker , des bombes à l'uranium affaibli , des "drones" étaient au dessus de leurs têtes à espionner , et plus ... ,

                          Il y'avait le nombre de pays (coallition) qui se sont aidés à détruire ce pays qu'il ne faut pas négliger ...

                          Des raids d'avions non identifiés à ce jour ont été rapporté par les "médias" je me souviens j'étais collé devant mon ecran à matter les infos de guillaume durand sur la "5" ...


                          Zek les "Tomahawks" c'était pas les trucs avec caméras ?

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                          • #14
                            Envoyé par Necromancer
                            Zek les "Tomahawks" c'était pas les trucs avec caméras ?
                            Si, je crois bien, et même que ça coûte 1,1 million d’euros piéce.
                            Dernière modification par zek, 17 février 2007, 01h11.
                            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                            Commentaire


                            • #15
                              Oui Zek ... Merci ....

                              Et c'est au peuple Irakien de payer tout ça bien-sûr ...

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