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Pourquoi l'algerien ne doit pas avoir autant d'enfants qu'il le souhaite: 1- la nourriture.

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  • Pourquoi l'algerien ne doit pas avoir autant d'enfants qu'il le souhaite: 1- la nourriture.

    Bonjour,

    Je commence une série d'exemples concrets sur la question de la pertinence de réguler les naissances pour répondre à nos défaillances en terme d'éducation, nutrition, logement, travail, santé....ect, solution suggérée par le ministre de la santé et défendu sur un topic dédiée où on a posé diverse questions rhétorique quant à l'impossibilité de faire autrement, dans le but de démontrer que le problème n'est point une hypothétique surpopulation, mais est fait de diverses autres défaillances en Algérie (gouvernance, politiques, économiques, intellectuelles) et souligner les répercussions de ces défaillances sur le contexte dans lequel évolue le citoyen à qui on veut "remettre en cause" sa liberté d'avoir des enfants quand il le veut et autant qu'il le veut.

    J'engage la discussion ici sur les problèmes nutritionnels qui motiveraient cette nécessité de "réguler les naissance", je donnerai d'autres exemples traitants des autres aspects (sanitaires, éducatifs, économiques, politiques...) au fur et à mesure que l'actualité s'y prête.

    Gel des quotas de blé tendre et d'orge de 187 moulins: la faillite assurée.

    voilà pourquoi un père de famille à 4 enfants ou plus ne peut pas subvenir aux besoin de ses enfants, et pourquoi d'autres pères de famille n'ont pas accès à un ingrédient alimentaire des plus basiques qu'est la farine & semoule à prix accessible:

    Echourouq d'aujourd'hui, traduction approximative:
    Le Premier ministre Ahmad Ouyahia a ordonné le gel des rations d'orge et de blé tendre pour 187 moulins à l'échelle nationale, à laquelle un quota était assuré quotidiennement par l'OAIC (Office Algérien Interprofessionnel des Céréale).

    Le propriétaire de l'une des usines, dans l'ouest du pays, a déclaré que la décision de geler les quota céréaliers est arrivée mercredi sans en connaître les raisons. Les données disponibles indiquent que la décision incluait 187 moulins à l'échelle nationale bénéficiant du système de quotas 2016 et 2017. Les quotas alloués aux moulins au nom de 2017 a été consommé, et on leur a ouvert exceptionnellement une partie de ceux de 2018, c'est alors que le nouveau Premier ministre intervienne et décide de geler l'octroi des quotas réguliers.


    Le propriétaire a déclaré qu'il croit que la décision avait été prise en raison de l'implication de certains acteurs dans des pratiques illégales, notamment la revente de blé tendre aux bergers entre 2600 et 2700 dinars, alors qu'ils les achètent aux prix subventionnés ne dépassant 1280 dinars aux quintaux. Il en va de même pour l'orge, acheté avec un soutien subventionné de 2 300 dinars, et vendu illégalement pour l'engraissement des béliers.


    Une source nous a souligné que la décision prise par le responsable de l'exécutif vise à empêcher les manipulation par certains propriétaires de moulins, d'autant plus que le gouvernement a approuvé des restrictions à l'importation pour un certain nombre de produits dont l'orge. Actuellement, l'Algérie importe pour presque 1 milliard de dollars de blé dur, alors que la production nationale couvre plus de 50% des besoins du marché, et la facture d'importation du blé tendre dépasse également le milliard de dollars.
    Et voici les enfants qu'on n'aurait pas du faire naître dans ce monde:


    Et enfin, on ne devrait pas laisser l'arrivée d'autres, ils seront forcément mal pris en charge, mal assumés, mal nourri, mal logés ...ect par leurs PARENTS, et ça ne pourra donner que de mauvais citoyens. l'Etat doit donc impérativement réguler les naissances. et il ne faut rien demander à l'Etat bien sur, on ne peut les laisser faire des forage dans le sahara pour recuperer les hectares de terres oubliés, on ne peut les laisser se concurrencer dans l'import du blé par leurs propres moyens, on ne peut pas régler un problème de vulgaire contrebandiers et autres magouilleurs en laissant les honnêtes gens travailler et avoir des enfants...

    et donc on ne peut pas nourrir tout ce monde pour tout résumer.

    Ce problème dure depuis plus de cinq année, le ministre actuel de l'Agriculture avait reconnu en 2014 qu'il n'a pas de solution et il avait promis de soumettre leur problème au conseil des ministre pour y trouver une solution qui devait être une des deux: - leur ouvrir l'export, - les intégrer dans les quotas exclusivement importés par l'Etat en quasi-totalité depuis la France.

    Le même genre de faux problèmes se posent chroniquement avec le Lait, un autre aliment de base pour des enfants.

    On dira: mais pourquoi les algériens ne travaillent pas la terre ?, ça vient juste après, c'est presque cuit et c'est toujours de l'actualité d'aujourd'hui. le hasard...
    Dernière modification par GLP, 16 novembre 2017, 16h45.
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  • #2
    2- Le travail:

    Voici l'exemple type de pères de familles qui n'assument pas la scolarisation de leurs enfants, enfants qui deviendront des délinquants illettrés.

    l'Etat doit agir, en freinant leur ambitions.
    Des employés des pépinière sfassif sidi belabbes ont arrêté l'école à leurs enfants à cause de la... pauvreté.




    Hier, les travailleurs des pépinières de sfassif, à 45km de la ville de Sidi Bel Abbes, ont enclanché une greve pour réclamer le paiement de leur salaire mensuel en souffrance pour une période de 4 mois, d'autant que leur entreprise a connu divers problèmes depuis 2010 ... De nombreux problèmes financiers découlent de la situation intenable.

    Hier, 72 travailleurs ont sonné l'alarme dans cette pépinière, considérée comme l'une des plus anciennes de la région Ouest, c’était un principal fournisseur pour le Barrage Vert dans les années 70/80. ils appellent le président et le ministre de l'agriculture pour se pencher sérieusement sur le problème de leur entreprise et sa gestion, le règlement de leur honoraires et la mise à niveau du matériel de travail qui devient vétuste. ils reprochent aux responsables de ne pas avoir honoré leurs promesses formulé le mois dernier dont le versement du dernier salaire, certains se sont investit pendant plus de 17 ans dans cette entreprise pour en arriver à ce résultat déplorable.

    certains se sont vu contraint d'arrêter la scolarisation de leurs enfants à cause de difficultés financières, l'OPGI, la Sonelgaz, et même les commerces d'alimentation générale leur réclament de payer leurs dettes.

    Les responsables pendant ce temps font la sourde oreille et restent injoignables.
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    • #3
      Celui qui conçoit d'enfants aujord'hui, ne sait pas et ne saura pas ce que deviendra le monde demain. Alors, on ne fait pas d'enfants en fonction de telle ou telle donne.
      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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      • #4
        3- Le politique:

        Le chef de l'Etat, optimiste et de bonne foi, rassure ces jeunes, toujours d'actualité (Ennahar d'aujourd'hui):
        Le président Abdelaziz Bouteflika a souligné que la jeunesse algérienne est un atout précieux pour le pays et une énergie renouvelable pour la production d'idées et d'initiatives qui coïncident avec les besoin de relever les défis de notre temps dans tous les domaines, notamment le domaine de l'entrepreneuriat, sur lequel l'Algérie mise pour pousser le développement.

        Il a appelé les jeunes à exploiter tous les mécanismes [ils sont bénéficiaire de l'ANSEJ Mr le président] chargés de l'accompagnement des projets de construction.

        Soulignant son désir de promouvoir la jeunesse, en tant qu'énergie et source de créativité et de pouvoir.
        Et pour les pauvre fellah de la pépinière, qui réclament du matériel, il leur assure de la disponibilité du matériel à la pointe de la technologie à la disponibilité de leur ... progéniture
        Il a ajouté: "Parce que nous vivons à l'ère de la technologie accélérée, l'Etat algérien a tenu à répondre aux exigences des conditions d'enseignement dans le domaine de l'entrepreneuriat."
        Sachant tout celà, si vous songez à faire plus de deux enfants max, sachez que vous serez considéré comme des irresponsables selon quelques uns, voir criminels avec préméditation selon d'autre.
        Dernière modification par GLP, 16 novembre 2017, 17h43.
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        • #5
          on dit au maroc : " YYYji Brezkou ....... " c'est une c0nnerie monumentale , mais on le dit quand même .
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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          • #6
            @GLP,

            Certains algeriens font comme les Africains. Leurs enfants sont nes par '' erreur'' disent-ils.

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            • #7
              Quelques éléments de réponses qui me paraissent pertinent.

              En résumé une bonne natalité n'est pas forcément un frein au développement. A condition que les enfants soient bien formés pour préparer l'avenir et que l'état possède les moyens de cette politique.

              En algerie les couples font de moins en moins d'enfants.

              Aujourd’hui, on va parler de la population et avant de réfléchir concrètement à son impact sur le développement, quelles sont les observations générales que l’on peut faire sur la croissance démographique dans le monde ?

              Nicolas (SEL) : La croissance démographique représente la variation de la population au cours d’une période donnée. Globalement, au vu des évolutions des dernières décennies, on peut faire le constat que*les taux d’accroissement de la population*sont plus élevés dans les pays en développement que dans les pays développés. Plusieurs facteurs l’expliquent. Une première raison est lié au fait que les populations du Sud n’ont pas le même rapport ni le même accès aux méthodes de contraception que les populations du Nord. Si les familles font beaucoup d’enfants au Sud, c’est aussi parce qu’ils sont une source de revenus, dans des pays où il n’existe aucune protection sociale.

              Cette croissance démographique représente un enjeu majeur pour les pays en développement…

              C’est sûr. Lorsque la population croît, la richesse nationale doit progresser plus rapidement encore pour que chacun puisse espérer voir son niveau de vie s’améliorer. C’est relativement évident d’un point de vue comptable. L’exemple de l’Afrique subsaharienne l’a prouvé. Alors que la région voyait son PIB progresser de plus de 2 % par an en moyenne de 1980 à 2000, son PIB par habitant a lui régressé de plus d’un demi-point annuellement en raison de la forte démographie.

              Concrètement, qu’est-ce que signifient ces chiffres ? Comment ça s’est traduit ?

              La démographie n’est pas forcément le seul paramètre à prendre en compte mais cette situation s’est traduite par une accentuation de la pauvreté matérielle et humaine. En effet,*la difficulté pour un pays pauvre*est d’arriver à dégager les ressources nécessaires pour nourrir, éduquer et soigner correctement une population en augmentation rapide. Des pays comme l’Inde et la Chine se sont ainsi inquiétés d’une croissance démographique trop importante et ont pu prendre des mesures de régulation des naissances parfois peu respectueuses de la liberté des individus et de leur vie.

              La croissance démographique doit-elle être considérée comme un frein au développement ?

              Non. Pas forcément. Tout dépend de si le pays est en mesure de faire face à cet accroissement de la population. Une jeunesse importante peut être un véritable atout pour un pays ou un continent à partir du moment où elle est formée, en bonne santé et qu’elle peut avoir des débouchés sur le marché de l’emploi. Il faut être conscient du fait que les bénéfices d’une forte croissance démographique se conçoivent aussi sur du long terme. En effet, à court terme, un plus grand nombre d’enfants représente une charge pour leur famille et plus largement pour la société. Mais à plus long terme, une fois parvenus à l’âge adulte, ils peuvent inverser le ratio entre actifs et inactifs et participer ainsi au décollage économique du pays.

              Cette mutation de la société nécessite alors d’être bien accompagnée…

              Oui. La question du financement du développement est justement essentielle. On s’en aperçoit notamment dans le cas d’un deuxième avantage lié à la croissance démographique et qui réside dans la structuration des territoires. Un espace sous-peuplé et faiblement urbanisé est difficile à développer. La densification des territoires va alors permettre d’y pallier mais ça ne pourra pas se faire sans un certain nombre d’investissements.
              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #8
                Pourquoi l'algerien ne doit pas avoir autant d'enfants qu'il le souhaite: 1- la nourriture
                je n'ai lu que le titre (désolée ! pas le temps!), pour moi, cette question ne se pose même passi tous les algériens sont vraiment mûrs et responsables !

                Tout le monde doit être libre de faire ce qu'il veut comme enfant. Sauf qu'il faut avoir les moyens de ses ambitions.

                ce n'est malheureusement pas toujours le cas.
                Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                • #9
                  Cell:
                  on dit au maroc : " YYYji Brezkou ....... " c'est une c0nnerie monumentale , mais on le dit quand même .
                  Si on etait "9adrine 3la ch9ana", cet adage se confirmera, c'est qu'on doit relever ce défi pour l'affirmer et laisse supposer qu'il l’était à une certain époque.

                  Sinon, me dit pas que tu considère la régulation des naissances Cell comme solution intelligente aux "problèmes" que pose d'autres "problèmes" illustrés plus haut ?

                  toulousain:
                  Certains algeriens font comme les Africains. Leurs enfants sont nes par '' erreur'' disent-ils.
                  Et d'autres, européens ceux là, se mordent les doigts pour la tendance vieillissante de leur force de production et le collent au climat froid et autre évolution des habitudes/mœurs/styles de vie. ça se ressemble à "coller à autre chose" ses propres choix, mais ça diffère par l'impacte de la bêtise: l'une est gérable par la volonté (si on travail plus et mieux, on solutionne le problème de surpopulation des africains), l'autre est difficilement, voir quasiment irréversible, et on a recours à différentes méthodes de sélection migratoire tout en encourageant ses citoyens à se reproduire, tel un berger avec des brebis :/.
                  ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

                  Commentaire


                  • #10
                    bledard_for_ever:
                    Envoyé par bledard_for_ever
                    Quelques éléments de réponses qui me paraissent pertinent.
                    Je vien de lire, et en effet c'est très pertinent en tout points qu'il a évoqué. surtout ces passages:
                    La démographie n’est pas forcément le seul paramètre à prendre en compte mais cette situation s’est traduite par une accentuation de la pauvreté matérielle et humaine. En effet,*la difficulté pour un pays pauvre*est d’arriver à dégager les ressources nécessaires pour nourrir, éduquer et soigner correctement une population en augmentation rapide.....
                    ...
                    La croissance démographique doit-elle être considérée comme un frein au développement ?

                    Non. Pas forcément. Tout dépend de si le pays est en mesure de faire face à cet accroissement de la population. Une jeunesse importante peut être un véritable atout pour un pays ou un continent à partir du moment où elle est formée, en bonne santé et qu’elle peut avoir des débouchés sur le marché de l’emploi.
                    Il prend la question sous le bon angle: c'est la démographie qui doit être suivi et qui doit conditionner l'effort à fournir pour l'assumer et non pas l'adapter aux manquements et défaillances qui empêchent son accompagnement adéquat dans son évolution positive.

                    Mais un petit détail m’échappe, est-ce de l'Algérie que ça parle ?

                    Pomaria:
                    Envoyé par Pomaria
                    je n'ai lu que le titre (désolée ! pas le temps!),
                    n'en sois pas désolé, c'est parfaitement le genre d'avis "spontané" que je sondais par ce titre polémique.
                    C'est en relation avec ce débat ici .

                    Envoyé par Pomaria
                    pour moi, cette question ne se pose même passi tous les algériens sont vraiment mûrs et responsables !
                    donc si on suppose que tout être normalement constitué voudrait et ferait tout pur assurer les meilleures des conditions à ses enfants, il ne peut qu'en avoir s'il le souhaite et autant qu'il veut, et si les manquements viennent de l'Etat, de l'organisation et de sa société, c'est à leurs niveau qu'il faut trouver des solutions et non au niveau de cette liberté légitime d'avoir des enfants. ça te semble sensé ?
                    ce n'est malheureusement pas toujours le cas.
                    S'il y a des cas d’irresponsabilité manifeste à avoir des enfants sans être en mesure de subvenir à leurs besoin et de bien s'en occuper/éduquer, est-ce suffisant pour revoir la liberté à tous les autres citoyens d'avoir des enfants autant qu'ils le souhaitent? c'est un des points qui ne semble pas faire consensus, pourtant pour moi c'est d'une évidence que "non".
                    ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

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                    • #11
                      y a un argument imparable: l'émancipation de la femme.
                      La femme s'émancipe par le travail, par une fonction sociale gratifiante.

                      A l'époque oû l'homme et la femme travaillent, oû ils ont une carrière à entretenir, il est révolu le temps des familles nombreuses.


                      Quant à l'Algérie en particulier, les arguments contre la forte natalité ne manquent pas. ca se résume à " ma aqqala wa dalla "
                      Dernière modification par Bachi, 16 novembre 2017, 21h17.

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                      • #12
                        on dit au maroc : " YYYji Brezkou ....... " c'est une c0nnerie monumentale , mais on le dit quand même .
                        effectivement, je ne m'attendais pas à une pareille connerie de ta part

                        ou penserais-tu que le rizq se résume à un diplôme en poche.

                        l'autre est difficilement, voir quasiment irréversible, et on a recours à différentes méthodes de sélection migratoire tout en encourageant ses citoyens à se reproduire, tel un berger avec des brebis :/.
                        du coup ça m'a rappelé un épisode à la campagne ...En l'absence du maitre des lieux, je devais répondre à l'homme qui demandait après lui ...il me dit, c'est juste pour le meg'gayez ....pour remplir la vache ...J'ai pas capté de suite

                        ..............

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                        • #13

                          ou penserais-tu que le rizq se résume à un diplôme en poche.
                          C'est pas une question de pensée de croyance ou de conviction. ........ mais de statistiques ........
                          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                          Commentaire


                          • #14
                            mais de statistiques ........
                            manquerait-on d'oxygène et du minimum vital en terme d'eau et de nourriture chez toi ?!

                            Commentaire


                            • #15
                              mais de statistiques ........
                              le même argument qui fait dire dire, à certains algériens, y a beaucoup d'écoliers et peu d'écoles ...réduisons le nombre d'écoliers

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