La France par la voix de son Premier ministre français, Édouard Philippe, a réaffirmé, jeudi, son soutien au plan marocain d'autonomie comme base « sérieuse » et « crédible » en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable à la question du Sahara.
Paris a également réitéré son soutien aux efforts déployés dans le cadre des Nations-unies pour parvenir à une solution politique à cette question, souligne la déclaration finale sanctionnant les travaux de la 13ème Rencontre de Haut niveau Maroc-France qui s'est tenue à Rabat.
Dans cette déclaration, le Maroc et la France soulignent l'importance de relancer le processus politique conduit par les Nations-Unies, sur la base des paramètres définis par le Conseil de sécurité, comme l'a réaffirmé la résolution 2351 du Conseil de sécurité du 28 avril 2017.
« Nous soutenons le plan d'autonomie qui est sérieux et crédible », a déclaré Édouard Philippe qui s'exprimait lors d'un point de presse au terme de la réunion de la 13e session de la Rencontre de haut niveau dont les travaux ont recommandé la consolidation du partenariat maroco-français dans divers domaines.
La France se félicite de la volonté du Maroc de travailler, à cette fin, avec le nouvel envoyé personnel du Secrétaire général des Nations-Unies M. Horst Kohler, lit-on dans la déclaration finale.
Seule proposition sérieuse crédible pour sortir de la crise, le Plan d’autonomie proposé par le Maroc permettra aux populations sahraouies de prendre leur sort en main.
Face au statu quo imposé par le Polisario et ses mentors algériens, le Maroc a émis depuis 2007 une proposition visant à octroyer un Statut d’autonomie avancée au Sahara, basé sur un modèle de gouvernance démocratique qui répond aux exigences d’autogestion.
De l’avis des experts internationaux, ce plan d’autonomie confère une vie digne et d’un avenir prospère pour les Sahraouis, alors que les approches sécessionnistes adoptées par l’autre camp seraient dangereuses, et mettraient en danger la paix relative qui règne dans la région du Maghreb et du Sahel.
Et pour bien relever les intentions belliqueuses des ennemis du Maroc, il convient de noter que, depuis 2007, il n’y a eu aucune option crédible à même de régler la question du Sahara autre que le Plan d’autonomie mis sur la table des négociations par le Maroc. Ce faisant, la portée de l’initiative marocaine ne se limite pas au cadre territorial de ces provinces, elle constitue même une garantie de stabilité au Maghreb et de développement de l’ensemble de la région. C’est sans doute pour cela, et pour d’autres raisons d’ailleurs, que le plan marocain a été largement appuyé par la communauté internationale.
L’initiative marocaine s’inscrit dans le cadre de l’édification d’une société démocratique et moderne, fondée sur l’État de droit, les libertés individuelles et collectives et le développement économique et social. Comme telle, elle apporte la promesse d’un avenir meilleur pour les populations de la région, met fin à la séparation et à l’exil et favorise la réconciliation.
De même, et par cette initiative, le Maroc garantit à tous les Sahraouis, à l’extérieur comme à l’intérieur, toute leur place et tout leur rôle, sans discrimination ni exclusive, dans les instances et institutions de la région.
Ainsi, les populations du Sahara géreront elles-mêmes et démocratiquement leurs affaires à travers des organes législatif, exécutif et judiciaire dotés de compétences exclusives. Elles disposeront des ressources financières nécessaires au développement de la région dans tous les domaines et participeront, de manière active, à la vie économique, sociale et culturelle du Royaume.
D’autre part, l’État conservera ses compétences dans les domaines régaliens, en particulier la défense, les relations extérieures et les attributions constitutionnelles et religieuses dévolues au Roi.
APA
Paris a également réitéré son soutien aux efforts déployés dans le cadre des Nations-unies pour parvenir à une solution politique à cette question, souligne la déclaration finale sanctionnant les travaux de la 13ème Rencontre de Haut niveau Maroc-France qui s'est tenue à Rabat.
Dans cette déclaration, le Maroc et la France soulignent l'importance de relancer le processus politique conduit par les Nations-Unies, sur la base des paramètres définis par le Conseil de sécurité, comme l'a réaffirmé la résolution 2351 du Conseil de sécurité du 28 avril 2017.
« Nous soutenons le plan d'autonomie qui est sérieux et crédible », a déclaré Édouard Philippe qui s'exprimait lors d'un point de presse au terme de la réunion de la 13e session de la Rencontre de haut niveau dont les travaux ont recommandé la consolidation du partenariat maroco-français dans divers domaines.
La France se félicite de la volonté du Maroc de travailler, à cette fin, avec le nouvel envoyé personnel du Secrétaire général des Nations-Unies M. Horst Kohler, lit-on dans la déclaration finale.
Seule proposition sérieuse crédible pour sortir de la crise, le Plan d’autonomie proposé par le Maroc permettra aux populations sahraouies de prendre leur sort en main.
Face au statu quo imposé par le Polisario et ses mentors algériens, le Maroc a émis depuis 2007 une proposition visant à octroyer un Statut d’autonomie avancée au Sahara, basé sur un modèle de gouvernance démocratique qui répond aux exigences d’autogestion.
De l’avis des experts internationaux, ce plan d’autonomie confère une vie digne et d’un avenir prospère pour les Sahraouis, alors que les approches sécessionnistes adoptées par l’autre camp seraient dangereuses, et mettraient en danger la paix relative qui règne dans la région du Maghreb et du Sahel.
Et pour bien relever les intentions belliqueuses des ennemis du Maroc, il convient de noter que, depuis 2007, il n’y a eu aucune option crédible à même de régler la question du Sahara autre que le Plan d’autonomie mis sur la table des négociations par le Maroc. Ce faisant, la portée de l’initiative marocaine ne se limite pas au cadre territorial de ces provinces, elle constitue même une garantie de stabilité au Maghreb et de développement de l’ensemble de la région. C’est sans doute pour cela, et pour d’autres raisons d’ailleurs, que le plan marocain a été largement appuyé par la communauté internationale.
L’initiative marocaine s’inscrit dans le cadre de l’édification d’une société démocratique et moderne, fondée sur l’État de droit, les libertés individuelles et collectives et le développement économique et social. Comme telle, elle apporte la promesse d’un avenir meilleur pour les populations de la région, met fin à la séparation et à l’exil et favorise la réconciliation.
De même, et par cette initiative, le Maroc garantit à tous les Sahraouis, à l’extérieur comme à l’intérieur, toute leur place et tout leur rôle, sans discrimination ni exclusive, dans les instances et institutions de la région.
Ainsi, les populations du Sahara géreront elles-mêmes et démocratiquement leurs affaires à travers des organes législatif, exécutif et judiciaire dotés de compétences exclusives. Elles disposeront des ressources financières nécessaires au développement de la région dans tous les domaines et participeront, de manière active, à la vie économique, sociale et culturelle du Royaume.
D’autre part, l’État conservera ses compétences dans les domaines régaliens, en particulier la défense, les relations extérieures et les attributions constitutionnelles et religieuses dévolues au Roi.
APA
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