Il faut savoir que contrairement aux implorations diffuses
Aidda Lakhrif- notamment- Podemos s'est toujours érigé contre la colonisation espagnole du Maroc et tout autant à l'encontre de celle du royaume chérifien du Sahara Occidental.
-(...).
Nous attendions de nos camarades dans ce parti de gauche qu’ils s’inscrivent davantage dans la défense de leur position refusant le séparatisme en Espagne au lieu de la fuite en avant.
Nous attendions d’eux, eu égard des valeurs communes de la gauche, qu’ils nous soutiennent d’abord dans nos demandes pour la libération de Ceuta et Melilla et qu’ils se débarrassent de la logique impérialiste de la relation avec les «Moros».
Nous attendions également le soutien de Podemos*pour obtenir des excuses de l’Espagne pour la période d’occupation au nord et au sud du Maroc, surtout pour les crimes perpétrés, comme les gaz toxiques dans Rif et la répression de la résistance au Sahara Occidental.
Nous avons été déçus et il semble que Podemos, le parti de la gauche très radicale dans son pays, est toujours enfermé dans des logiques coloniales et une culture haineuse envers son voisin du Sud, malgré l’histoire et la géographie communes.
Aidda Lakhrif- notamment- Podemos s'est toujours érigé contre la colonisation espagnole du Maroc et tout autant à l'encontre de celle du royaume chérifien du Sahara Occidental.
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Nous attendions de nos camarades dans ce parti de gauche qu’ils s’inscrivent davantage dans la défense de leur position refusant le séparatisme en Espagne au lieu de la fuite en avant.
Nous attendions d’eux, eu égard des valeurs communes de la gauche, qu’ils nous soutiennent d’abord dans nos demandes pour la libération de Ceuta et Melilla et qu’ils se débarrassent de la logique impérialiste de la relation avec les «Moros».
Nous attendions également le soutien de Podemos*pour obtenir des excuses de l’Espagne pour la période d’occupation au nord et au sud du Maroc, surtout pour les crimes perpétrés, comme les gaz toxiques dans Rif et la répression de la résistance au Sahara Occidental.
Nous avons été déçus et il semble que Podemos, le parti de la gauche très radicale dans son pays, est toujours enfermé dans des logiques coloniales et une culture haineuse envers son voisin du Sud, malgré l’histoire et la géographie communes.
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