Le pouvoir algérien a fait pression sur la Suisse afin que soient abandonnées les poursuites lancées contre l’ancien chef d’état-Major Khaled Nezzar, accusé de crime de guerre, rapporte le quotidien suisse Le Temps.
L’ambassadeur de Suisse en Algérie, Muriel Berset Kohen, a en effet alerté lors d’une réunion tenue le 3 mars 2016 le ministère public de la Confédération helvétique (MPC) que l’issue de l’affaire Nezzar représente « une bombe à retardement en ce qui concerne les relations bilatérales entre la Suisse et l’Algérie, un handicap que la Suisse aurait à gérer dans ses relations diplomatiques », selon une note du parquet suisse publiée par le média suisse.
TSA
L’ambassadeur de Suisse en Algérie, Muriel Berset Kohen, a en effet alerté lors d’une réunion tenue le 3 mars 2016 le ministère public de la Confédération helvétique (MPC) que l’issue de l’affaire Nezzar représente « une bombe à retardement en ce qui concerne les relations bilatérales entre la Suisse et l’Algérie, un handicap que la Suisse aurait à gérer dans ses relations diplomatiques », selon une note du parquet suisse publiée par le média suisse.
TSA
Commentaire