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Les vraies richesses de Kaouther Adimi

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  • Les vraies richesses de Kaouther Adimi

    La romancière algérienne Kaouther Adimi a reçu mardi dernier à Loudun (France) le Prix Renaudot des lycéens pour son dernier roman “Nos richesses” sorti en août dernier, annonce son éditeur algérien. T roisième roman de l’auteure, “Nos richesses” confronte la place de littérature et du livre dans la société algérienne actuelle et le travail colossal de l’édition dans les années 1930, à travers le destin d’un libraire et propriétaire d’une maison d’édition, fermée après plus de 70 ans d’existence.
    Sorti en France aux éditions “Le seuil” et en Algérie chez “Barzakh”, cette ouvrage a été sélectionné dans les premières listes des prix littéraires français le Goncourt, Renaudot et Médicis. Le jury, représentant les lycéens de 14 établissements français, dit avoir été “séduit par un livre qui fait voyager dans le temps et l’espace (…) et qui fait découvrir Alger”, rapportent des médias. Créé en 1926, le Prix Renaudot, un des plus prestigieux prix littéraire français avec le Goncourt, décerne depuis 1992 le Prix Renaudot des lycéens en plus du “Renaudot de l’essai” créé en 2003 et du “Renaudot du livre de poche”, en 2007. Le prix Renaudot 2017 a été attribué à l’auteur français Olivier Guez pour “La disparition de Josef Mengele”, un récit sur les dernières années du médecin nazi, principal tortionnaire du le camp d’Auschwitz (Allemagne, IIème guerre mondiale). Née en 1986, Kaouther Adimi a publié son premier roman, “Des ballerines de papicha” en 2010, réédité en France un an plus tard sous le titre “L’envers des autres”. En 2015, elle sort “Des pierres dans ma poche”, son deuxième roman.
    La romancière a reçu plusieurs prix littéraires en Algérie et en France pour ces deux premiers romans. Egalement auteure de plusieurs nouvelles, Kaouther Adimi avait reçu, entre autres, le “Prix littéraire de la vocation (2011)” pour son premier ouvrage.


    Edmond Charlot, éditeur algérois.....

    Au milieu des années trente, dans l’Algérie coloniale, un étudiant en lettres, que ses camarades appellent tout simplement Charlot, s’écarte des sentiers battus et ouvre une maison d’éditions dans une échoppe du centre d’Alger. Bientôt, les éditions Charlot, en 1937 et 1939, publient « L’Envers et l’Endroit » et « Noces », deux essais d’un jeune journaliste, Albert Camus, fils d’un ouvrier agricole et d’une femme de ménage d’origine espagnole. Né le 15 février 1915, à Douïra aux portes d’Alger, Edmond Charlot est orphelin de mère à l’âge de 4 ans. Son arrière grand-père paternel s’était établi en Algérie en 1830. Son grand-père maternel venu de Malte est un notable autodidacte qui donne le goût de l’aventure et des livres au jeune Edmond. Charlot et Camus, élèves au lycée Bugeaud, dévorent les nouveautés littéraires qui scandalisent le bourgeois, « La Douleur » d’André de Richaud, le « Voyage au bout de la nuit » de Louis-Ferdinand Céline, et découvrent « Les Nourritures terrestres » d’André Gide.
    Un documentaire de Michel Vuillermet
    Dernière modification par katiaret, 21 novembre 2017, 19h01.
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  • #2
    C'est ma lecture du moment!

    J'ai aimé ses deux premiers romans, et là j’apprécie vraiment la lecture du troisième.

    Commentaire

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