Etonnant que l'Espagne recourt à de l'importation de main-œuvre en dépit de son important taux de chômage et le nombre de clandestins sur son territoire?
Ceci peut s'expliquer par le fait que les agriculteurs sont contraints de respecter des conventions sur l'agriculture s'ils emploient des Espagnols et des clandestins, mais non des femmes-esclaves marocaines.:22:
- 16.000 saisonnières marocaines recrutées en 2018 par les coopératives agricoles espagnoles
L’Espagne a apparemment jugulé la crise du sous-emploi qui l’a frappée il y a quelques années, suite à une profonde crise économique qui semble ne plus être qu’un vieux souvenir. C’est ce qui fait dire à Akhbar Al Yaoum, dans son édition de ce lundi 4 décembre, que l’Espagne, après avoir résolu la crise du sous-emploi chez elle, en arrive même à absorber une bonne partie du chômage chez son voisin marocain.
En effet, les coopératives ibériques viennent de demander aux gouvernements marocain et espagnol de leur recruter quelque 16.000 saisonnières marocaines. Ces dernières auront pour mission, durant le prochain printemps allant de mars à juin 2018, de travailler à la cueillette des fruits rouges, particulièrement des fraises, dans les plantations de l’Andalousie.
Al Akhbar rappelle que c’est l’Agence nationale de la promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC) qui pilotera l’opération de recrutement dès le début de l’année prochaine. En plus de la priorité donnée aux saisonnières expérimentées, celles-ci doivent être âgées de 30 à 40 ans et s’engager à rester pendant la durée déterminée dans le contrat. De même, ces saisonnières doivent obligatoirement être mariées, avec des enfants à leur charge. Cette dernière condition vise surtout à garantir que ces travailleuses retourneront chez elles, une fois leur mission provisoire accomplie-.
Ceci peut s'expliquer par le fait que les agriculteurs sont contraints de respecter des conventions sur l'agriculture s'ils emploient des Espagnols et des clandestins, mais non des femmes-esclaves marocaines.:22:
- 16.000 saisonnières marocaines recrutées en 2018 par les coopératives agricoles espagnoles
L’Espagne a apparemment jugulé la crise du sous-emploi qui l’a frappée il y a quelques années, suite à une profonde crise économique qui semble ne plus être qu’un vieux souvenir. C’est ce qui fait dire à Akhbar Al Yaoum, dans son édition de ce lundi 4 décembre, que l’Espagne, après avoir résolu la crise du sous-emploi chez elle, en arrive même à absorber une bonne partie du chômage chez son voisin marocain.
En effet, les coopératives ibériques viennent de demander aux gouvernements marocain et espagnol de leur recruter quelque 16.000 saisonnières marocaines. Ces dernières auront pour mission, durant le prochain printemps allant de mars à juin 2018, de travailler à la cueillette des fruits rouges, particulièrement des fraises, dans les plantations de l’Andalousie.
Al Akhbar rappelle que c’est l’Agence nationale de la promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC) qui pilotera l’opération de recrutement dès le début de l’année prochaine. En plus de la priorité donnée aux saisonnières expérimentées, celles-ci doivent être âgées de 30 à 40 ans et s’engager à rester pendant la durée déterminée dans le contrat. De même, ces saisonnières doivent obligatoirement être mariées, avec des enfants à leur charge. Cette dernière condition vise surtout à garantir que ces travailleuses retourneront chez elles, une fois leur mission provisoire accomplie-.
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