Dans quelques années, Abidjan, la capitale économique ivoirienne aura sa première ligne de métro, un projet colossal de 1,4 milliard d'euros, qui sera réalisé par des groupes français.
Le coup d'envoi des travaux en vue de la réalisation de ce projet a été donné jeudi par le président ivoirien Alassane Ouattara et son homologue français Emmanuel Macron. Ce métro de surface, ou "train urbain", qui doit entrer en service en 2021, reliera le nord et le sud de la capitale économique ivoirienne, de l'aéroport au sud à Anyama au nord, en passant par les quartiers d'Abobo, Adjamé, Treichville et Port-Bouët ainsi que le centre administratif et économique du Plateau.
Le métro s'étendant sur une distance de 37,5 kilomètres et comprenant 20 stations, 21 ponts rail-route, un pont viaduc sur la lagune Ebrié, 40 passerelles piétonnes, l'ouvrage devrait relier la ville d'Anyama (Banlieue Nord d'Abidjan) à la commune abidjanaise de Port-Bouët, au Sud de la capitale économique ivoirienne.
Son trafic est prévu dès le démarrage à 500.000 passagers par jour, transportés par 28 rames qui circuleront toutes les 5 minutes en heure de pointe. Des lignes supplémentaires sont prévues ensuite pour mailler la ville. Le consortium, mené par Bouygues pour le génie civil, réunit Keolis pour l'exploitation et Alstom pour le matériel roulant.
Il s'agit de l'un des plus importants projets d'infrastructure jamais prévu en Côte d'Ivoire, traversant la lagune et qui pourra désengorger une capitale de 5 millions d'habitants (20% de la population ivoirienne) souvent paralysée par les embouteillages. Le métro doit utiliser en bonne part des lignes existantes mais qui doivent être réhabilitées, ainsi que de nouveaux tronçons.
Oaafrique
Le coup d'envoi des travaux en vue de la réalisation de ce projet a été donné jeudi par le président ivoirien Alassane Ouattara et son homologue français Emmanuel Macron. Ce métro de surface, ou "train urbain", qui doit entrer en service en 2021, reliera le nord et le sud de la capitale économique ivoirienne, de l'aéroport au sud à Anyama au nord, en passant par les quartiers d'Abobo, Adjamé, Treichville et Port-Bouët ainsi que le centre administratif et économique du Plateau.
Le métro s'étendant sur une distance de 37,5 kilomètres et comprenant 20 stations, 21 ponts rail-route, un pont viaduc sur la lagune Ebrié, 40 passerelles piétonnes, l'ouvrage devrait relier la ville d'Anyama (Banlieue Nord d'Abidjan) à la commune abidjanaise de Port-Bouët, au Sud de la capitale économique ivoirienne.
Son trafic est prévu dès le démarrage à 500.000 passagers par jour, transportés par 28 rames qui circuleront toutes les 5 minutes en heure de pointe. Des lignes supplémentaires sont prévues ensuite pour mailler la ville. Le consortium, mené par Bouygues pour le génie civil, réunit Keolis pour l'exploitation et Alstom pour le matériel roulant.
Il s'agit de l'un des plus importants projets d'infrastructure jamais prévu en Côte d'Ivoire, traversant la lagune et qui pourra désengorger une capitale de 5 millions d'habitants (20% de la population ivoirienne) souvent paralysée par les embouteillages. Le métro doit utiliser en bonne part des lignes existantes mais qui doivent être réhabilitées, ainsi que de nouveaux tronçons.
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