Depuis trois jours, on ne voit que çà, sur tous les écrans, et dans toutes les capitales arabes. Des manifestations et des slogans, à faire perdre le sommeil et la raison à Donald Trump. Depuis trois jours, les peuples arabes ne font plus que se lamenter, condamner, déplorer, puis re-pleurer. A croire qu’ils sont étrangers à la décision de Donald Trump, de les humilier et de se payer leur tête.
C’est que, certains d’entre eux trouvent, probablement, difficile à avaler le fait que Trump s’est foutu de leurs tronches, en les pompant jusqu’à l’os, en leur ôtant leurs pétrodollars, en les retournant les uns contre les autres, histoire de se faire grassement payer par toutes les parties, avant de leur jouer ce « sale tour ». Maintenant, ils n’ont qu’à assumer. Encore contents qu’il ne les ait pas privés du droit de faire semblant de s’inquiéter du sort d’Al Quods, et de la cause palestinienne. Parce qu’en vrai, en vrai, il sait très bien, Trump, qu’ils n’en ont rien à foutre, de la Palestine et des palestiniens. D’aucuns le lui ont confirmé quand il lui ont donné le feu vert d’y aller, avec son histoire d’Al Quods capitale d’Israël, avant qu’il n’en fasse l’annonce officielle.
Mais au lieu de se lamenter comme des veuves, pourquoi ne peuvent-ils pas raisonner comme des grands, pour une fois ? Pourquoi ne peuvent-ils pas décortiquer la situation, en connaitre les causes et les aboutissants ? Pourquoi n’ont-ils jamais appris à être dans l’action ? Pourquoi sont-ils toujours, dans la réaction, et la réaction de déploration et de pleurs, plus spécialement ? Çà leur aurait permis de comprendre les raisons du comportement, en l’apparence fou, de Trump, et de jouer avec lui, pour retourner la situation contre lui. Car somme toute, s’ils s’arrêtaient, un instant de pleurnicher, ils verraient bien que c’est Trummp qui s’est mis, lui-même, dans une sale posture !
D’abord, ils pourraient comprendre pourquoi il a osé ce que tant d’autres, avant lui, n’ont pas pu faire. Ils comprendraient que Trump est aux abois. Il est malmené chez lui, et en proie aux scandales qui se suivent et ne se ressemblent pas. Entre autres, ses présumés liens avec Moscou, qui lui ont fait perdre une énorme partie de ses soutiens. Il était, de ce fait, obligé de s’en chercher d’autres, de soutiens. Et quoi de mieux, et de plus efficace, que le superpuissant lobby américano-sioniste ? Voilà pourquoi il a franchi le pas. Il avait besoin de soutiens, et d’une action d’éclat, pour faire oublier ses camouflets successifs dans la crise qu’il s’est créée avec la Corée du Nord, et les coups de griffe, successifs, dans sa dignité qui lui ont été assénés par le gosse de Pyongyang.
Maintenant qu’ils auront compris le pourquoi des choses, il leur suffirait d’essuyer leurs larmes et d’ouvrir les yeux sur ce qui se passe, réellement. Ils verraient que c’est, bel et bien, Trump qui se trouve dans de mauvais draps. Il se trouve seul dans son idée de génie. Il a été lâché par tout le monde, partout dans le monde, y compris, et surtout, par ses alliés classiques. Il a, même été démenti par ses plus proches collaborateurs, lorsqu’ils ont assuré qu’il n’y aura aucune action concrète de transfert d’aucune ambassade, avant deux ans.
Donc, la riposte est toute simple et évidente. Elle est, même, tuante à force de simplicité. Les arabes ont, ici, une occasion unique qui ne se répètera pas de sitôt, de se frotter à la direction américaine et, même, de la tourner en bourrique. Il leur suffirait d’arrêter de pleurer sur leur sort, et de partir faire du lobbying, partout dans le monde, histoire de plaider leur cause, et s’assurer du soutien des autres pays et puissances mondiales, de façon à laisser le pauvre Trump, ruminer le ridicule de la position dans laquelle il s’est fourré, et râler contre ceux de ses conseillers qui la lui ont soufflée.
Trêve, donc, de larmes et de pleurnicherie ! Et place à l’action, pour l’intérêt de la Nation Arabe… A moins que…
TN
C’est que, certains d’entre eux trouvent, probablement, difficile à avaler le fait que Trump s’est foutu de leurs tronches, en les pompant jusqu’à l’os, en leur ôtant leurs pétrodollars, en les retournant les uns contre les autres, histoire de se faire grassement payer par toutes les parties, avant de leur jouer ce « sale tour ». Maintenant, ils n’ont qu’à assumer. Encore contents qu’il ne les ait pas privés du droit de faire semblant de s’inquiéter du sort d’Al Quods, et de la cause palestinienne. Parce qu’en vrai, en vrai, il sait très bien, Trump, qu’ils n’en ont rien à foutre, de la Palestine et des palestiniens. D’aucuns le lui ont confirmé quand il lui ont donné le feu vert d’y aller, avec son histoire d’Al Quods capitale d’Israël, avant qu’il n’en fasse l’annonce officielle.
Mais au lieu de se lamenter comme des veuves, pourquoi ne peuvent-ils pas raisonner comme des grands, pour une fois ? Pourquoi ne peuvent-ils pas décortiquer la situation, en connaitre les causes et les aboutissants ? Pourquoi n’ont-ils jamais appris à être dans l’action ? Pourquoi sont-ils toujours, dans la réaction, et la réaction de déploration et de pleurs, plus spécialement ? Çà leur aurait permis de comprendre les raisons du comportement, en l’apparence fou, de Trump, et de jouer avec lui, pour retourner la situation contre lui. Car somme toute, s’ils s’arrêtaient, un instant de pleurnicher, ils verraient bien que c’est Trummp qui s’est mis, lui-même, dans une sale posture !
D’abord, ils pourraient comprendre pourquoi il a osé ce que tant d’autres, avant lui, n’ont pas pu faire. Ils comprendraient que Trump est aux abois. Il est malmené chez lui, et en proie aux scandales qui se suivent et ne se ressemblent pas. Entre autres, ses présumés liens avec Moscou, qui lui ont fait perdre une énorme partie de ses soutiens. Il était, de ce fait, obligé de s’en chercher d’autres, de soutiens. Et quoi de mieux, et de plus efficace, que le superpuissant lobby américano-sioniste ? Voilà pourquoi il a franchi le pas. Il avait besoin de soutiens, et d’une action d’éclat, pour faire oublier ses camouflets successifs dans la crise qu’il s’est créée avec la Corée du Nord, et les coups de griffe, successifs, dans sa dignité qui lui ont été assénés par le gosse de Pyongyang.
Maintenant qu’ils auront compris le pourquoi des choses, il leur suffirait d’essuyer leurs larmes et d’ouvrir les yeux sur ce qui se passe, réellement. Ils verraient que c’est, bel et bien, Trump qui se trouve dans de mauvais draps. Il se trouve seul dans son idée de génie. Il a été lâché par tout le monde, partout dans le monde, y compris, et surtout, par ses alliés classiques. Il a, même été démenti par ses plus proches collaborateurs, lorsqu’ils ont assuré qu’il n’y aura aucune action concrète de transfert d’aucune ambassade, avant deux ans.
Donc, la riposte est toute simple et évidente. Elle est, même, tuante à force de simplicité. Les arabes ont, ici, une occasion unique qui ne se répètera pas de sitôt, de se frotter à la direction américaine et, même, de la tourner en bourrique. Il leur suffirait d’arrêter de pleurer sur leur sort, et de partir faire du lobbying, partout dans le monde, histoire de plaider leur cause, et s’assurer du soutien des autres pays et puissances mondiales, de façon à laisser le pauvre Trump, ruminer le ridicule de la position dans laquelle il s’est fourré, et râler contre ceux de ses conseillers qui la lui ont soufflée.
Trêve, donc, de larmes et de pleurnicherie ! Et place à l’action, pour l’intérêt de la Nation Arabe… A moins que…
TN
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