Le président syrien Bachar el-Assad est arrivé samedi à Téhéran pour s'entretenir de la situation au Moyen-Orient et de coopération bilatérale, a rapporté la télévision publique iranienne.
Le tapis rouge a été déroulé pour accueillir le chef d'Etat syrien au Palais présidentiel de Téhéran. Les entretiens entre Bachar el-Assad et son homologue iranien Mahmoud Ahmadinajed porteront sur le renforcement des relations bilatérales et la situation au Proche-Orient, en particulier au Liban et en Irak, selon la télévision d'Etat.
Accompagné de son vice-président Farouk al-Chareh et du ministre des Affaires étrangères Walid Mouallem, M. Assad doit rencontrer samedi l'ancien président iranien et figure influente du régime, Akbar Hachémi Rafsandjani.
Il doit aussi s'entretenir avec le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei.
Washington a accusé Téhéran et Damas de ne pas avoir suffisamment oeuvré pour empêcher des militants de franchir leurs frontières pour rejoindre l'insurrection en Irak. Les deux capitales ont rejeté ces accusations.
Il s'agit de la cinquième visite de Bachar el-Assad en Iran depuis son entrée en fonction en 2000. L'Iran et la Syrie sont des alliés de longue date. Durant les huit ans de guerre contre l'Irak (1980-88), la Syrie a été le seul pays arabe à soutenir l'Iran.
Au cours des dix dernières années, des entreprises iraniennes ont investi plus de 700 millions de dollars (environ 533 millions d'euros) en Syrie, dans des secteurs comme l'industrie automobile et l'agriculture.
Par AP
Le tapis rouge a été déroulé pour accueillir le chef d'Etat syrien au Palais présidentiel de Téhéran. Les entretiens entre Bachar el-Assad et son homologue iranien Mahmoud Ahmadinajed porteront sur le renforcement des relations bilatérales et la situation au Proche-Orient, en particulier au Liban et en Irak, selon la télévision d'Etat.
Accompagné de son vice-président Farouk al-Chareh et du ministre des Affaires étrangères Walid Mouallem, M. Assad doit rencontrer samedi l'ancien président iranien et figure influente du régime, Akbar Hachémi Rafsandjani.
Il doit aussi s'entretenir avec le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei.
Washington a accusé Téhéran et Damas de ne pas avoir suffisamment oeuvré pour empêcher des militants de franchir leurs frontières pour rejoindre l'insurrection en Irak. Les deux capitales ont rejeté ces accusations.
Il s'agit de la cinquième visite de Bachar el-Assad en Iran depuis son entrée en fonction en 2000. L'Iran et la Syrie sont des alliés de longue date. Durant les huit ans de guerre contre l'Irak (1980-88), la Syrie a été le seul pays arabe à soutenir l'Iran.
Au cours des dix dernières années, des entreprises iraniennes ont investi plus de 700 millions de dollars (environ 533 millions d'euros) en Syrie, dans des secteurs comme l'industrie automobile et l'agriculture.
Par AP
Commentaire