Le premier ministère a pris la décision de mettre la Coupole du complexe olympique Mohamed-Boudiaf, samedi 16 décembre prochain, à la disponibilité des partis politiques et des associations qui veulent exprimer leur soutien à la Palestine. En prenant une telle décision, les autorités veulent certainement éviter des manifestations de rue dans la capitale.
Vendredi dernier, des citoyens, à leur sortie de certaines mosquées algéroises, ont tentés d’organiser des marches ou rassemblement pour dénoncer la décision du président américain Donald Trump de reconnaitre El Qods comme capitale d’Israël en transférant notamment l’ambassade US de Tel Aviv vers cette ville.
Des brigades des services de sécurité sont intervenues, entre autre à Belcourt, pour disperser les foules. Des appels ont été lancés par des jeunes pour tenter d’organiser des marches ce vendredi aussi.
C’est pour cela probablement que le gouvernement a décidé d’ «ouvrir» la Coupole aux partis politiques et à la société civile. En d’autres circonstances pourtant, les formations politiques, d’opposition il faut le préciser, font souvent face au refus des pouvoirs publics de leur accorder des autorisations pour organiser des rassemblements ou même des meetings dans des salles dans certains cas. Les manifestations de rue sont interdites à Alger depuis 2001.
Le premier ministère indique, en dernier lieu, que les autorités locales répondront favorablement, dans les autres wilayas aussi, à toute demande pour l’organisation d’un rassemblement de soutien avec la Palestine.
Elyas Nour
Algérie Focus
Vendredi dernier, des citoyens, à leur sortie de certaines mosquées algéroises, ont tentés d’organiser des marches ou rassemblement pour dénoncer la décision du président américain Donald Trump de reconnaitre El Qods comme capitale d’Israël en transférant notamment l’ambassade US de Tel Aviv vers cette ville.
Des brigades des services de sécurité sont intervenues, entre autre à Belcourt, pour disperser les foules. Des appels ont été lancés par des jeunes pour tenter d’organiser des marches ce vendredi aussi.
C’est pour cela probablement que le gouvernement a décidé d’ «ouvrir» la Coupole aux partis politiques et à la société civile. En d’autres circonstances pourtant, les formations politiques, d’opposition il faut le préciser, font souvent face au refus des pouvoirs publics de leur accorder des autorisations pour organiser des rassemblements ou même des meetings dans des salles dans certains cas. Les manifestations de rue sont interdites à Alger depuis 2001.
Le premier ministère indique, en dernier lieu, que les autorités locales répondront favorablement, dans les autres wilayas aussi, à toute demande pour l’organisation d’un rassemblement de soutien avec la Palestine.
Elyas Nour
Algérie Focus
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