CELA SE PASSE DANS DES LYCEES DE LA CAPITALE
Des enseignants auxiliaires de la propagande islamiste
Nos écoles restent vulnérables puisque toujours exposées à la propagande islamiste. Autant que dans les années 1990 sinon plus. Et ce sont ceux qui sont payés et chargés de veiller à l’épanouissement des élèves en leur dispensant le savoir loin de tout endoctrinement qui se font le relais des apprentis imams d’Egypte et du Moyen-Orient.
Un fait qui révoltent les parents d’élèves qui se sont rapprochés de notre rédaction pour d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur ce qui se passe dans certains établissements d’Alger. Pas à l’extérieur mais dans l’enceinte même de l’école avec les moyens de l’établissement et la bénédiction de son chef. Une copie de la fetwa de Mohamed Salah El Athmine, ronéotypée dupliquée et distribuée par des enseignants et des fonctionnaires de l’éducation dont des surveillants à tous les élèves de terminale et de première de plusieurs lycées de la capitale, nous a été remise. Cela s’est passé la semaine dernière, les 13, 14 et 15 février dans, entre autres, les lycées de Hussein-Dey, Kouba, Aïn-Naadja et Baraki. Soit la veille, le jour et le lendemain de la fête de la Saint-Valentin. Un événement que les rédacteurs de la fetwa n° 21203 de “la commission permanente de la fête de l’amour” ont décortiqué en exhortant “les musulmans” à éviter ce genre “de manifestation”. Au-delà du contenu virulent d’intolérance de ce genre de tract, c’est le fait qu’il ait été distribué par des enseignants et des surveillants qui suscite l’inquiétude des parents et qui interpelle les pouvoirs publics, le ministère de l’Education nationale en premier lieu.
Des enseignants auxiliaires de la propagande islamiste
Nos écoles restent vulnérables puisque toujours exposées à la propagande islamiste. Autant que dans les années 1990 sinon plus. Et ce sont ceux qui sont payés et chargés de veiller à l’épanouissement des élèves en leur dispensant le savoir loin de tout endoctrinement qui se font le relais des apprentis imams d’Egypte et du Moyen-Orient.
Un fait qui révoltent les parents d’élèves qui se sont rapprochés de notre rédaction pour d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur ce qui se passe dans certains établissements d’Alger. Pas à l’extérieur mais dans l’enceinte même de l’école avec les moyens de l’établissement et la bénédiction de son chef. Une copie de la fetwa de Mohamed Salah El Athmine, ronéotypée dupliquée et distribuée par des enseignants et des fonctionnaires de l’éducation dont des surveillants à tous les élèves de terminale et de première de plusieurs lycées de la capitale, nous a été remise. Cela s’est passé la semaine dernière, les 13, 14 et 15 février dans, entre autres, les lycées de Hussein-Dey, Kouba, Aïn-Naadja et Baraki. Soit la veille, le jour et le lendemain de la fête de la Saint-Valentin. Un événement que les rédacteurs de la fetwa n° 21203 de “la commission permanente de la fête de l’amour” ont décortiqué en exhortant “les musulmans” à éviter ce genre “de manifestation”. Au-delà du contenu virulent d’intolérance de ce genre de tract, c’est le fait qu’il ait été distribué par des enseignants et des surveillants qui suscite l’inquiétude des parents et qui interpelle les pouvoirs publics, le ministère de l’Education nationale en premier lieu.
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