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principaux disfonctionnement qui pèse sur la compétitivité de notre commerce sont caractérisés par un réseau ferroviaire insuffisamment étoffé et pas toujours connecté aux principaux centres d’activité de production et de conditionnement et aux port et aéroports» a-t-il déploré.
Il a également soulevé la faiblesse de l’armement national qui a, d’après lui, «permet aux armateurs étrangers d’imposer à des tarifs les plus élevés de la région MENA pour la destination Algérie». Et dire que la majorité du commerce extérieur s’effectue par la voie maritime.
A cette faiblesse des infrastructures portuaires s’ajoutent les lourdeurs administratives et « l’absence flagrante » d’interconnexion entre les différents modes de transports.
Avec son ambition de commercer avec l’Afrique, et avec d’autres marchés internationaux, l’Algérie doit, selon le ministre, se «préparer sérieusement sur le plan logistique».
Tout en insistant sur la nécessité d’améliorer l’efficience de la chaine logistique , le ministre a mis l’accent sur l’importance de la synchronisation des intervenants dans cette chaine et la création des synergies mais aussi sur l’impératif de la création de guichets uniques portuaires et aéroportuaires qui « permettraient d’optimiser les opérations du commerce extérieur ainsi que la mise en place d’une plateforme logistique régionale dotée de chaine de froid pouvant être dédiée spécifiquement à l’exportation ».
Pour sa part, le ministre des travaux publics et des transports et a souligné que son secteur ne ménage aucun effort pour accéder aux exigences de nos opérateurs. Il a fait savoir qu’outre les infrastructures déjà réalisées ou en cours de modernisation, d’autres moyens d’accompagnement sont en cours de réalisation à l’instar du traitement du fret.
Tout en appelant les opérateurs économiques à franchir le cap de l’exportation, Zaalane a souligné que l’Afrique est un marché porteur pour l’Algérie. «Le tissu infrastructurel existant, notamment la route transsaharienne avec ses différentes branches et l’ouverture d’un poste frontalier entre l’Algérie et la Mauritanie constituent des points d’accès à nos entreprises», a-t-il souligné.
Dans ce contexte, le directeur du commerce extérieur auprès du ministère du commerce, Lyès Feroukhi a indiqué que l’Algérie a entamé des négociations pour la création de zones franches continentales avec un groupement de pays africain. L’objectif étant de booster les exportations vers le continent noir dont le volume ne dépasse pas les 200 millions de dollars.
Wassila Ould Hamouda
Sud-Horizons
Il a également soulevé la faiblesse de l’armement national qui a, d’après lui, «permet aux armateurs étrangers d’imposer à des tarifs les plus élevés de la région MENA pour la destination Algérie». Et dire que la majorité du commerce extérieur s’effectue par la voie maritime.
A cette faiblesse des infrastructures portuaires s’ajoutent les lourdeurs administratives et « l’absence flagrante » d’interconnexion entre les différents modes de transports.
Avec son ambition de commercer avec l’Afrique, et avec d’autres marchés internationaux, l’Algérie doit, selon le ministre, se «préparer sérieusement sur le plan logistique».
Tout en insistant sur la nécessité d’améliorer l’efficience de la chaine logistique , le ministre a mis l’accent sur l’importance de la synchronisation des intervenants dans cette chaine et la création des synergies mais aussi sur l’impératif de la création de guichets uniques portuaires et aéroportuaires qui « permettraient d’optimiser les opérations du commerce extérieur ainsi que la mise en place d’une plateforme logistique régionale dotée de chaine de froid pouvant être dédiée spécifiquement à l’exportation ».
Pour sa part, le ministre des travaux publics et des transports et a souligné que son secteur ne ménage aucun effort pour accéder aux exigences de nos opérateurs. Il a fait savoir qu’outre les infrastructures déjà réalisées ou en cours de modernisation, d’autres moyens d’accompagnement sont en cours de réalisation à l’instar du traitement du fret.
Tout en appelant les opérateurs économiques à franchir le cap de l’exportation, Zaalane a souligné que l’Afrique est un marché porteur pour l’Algérie. «Le tissu infrastructurel existant, notamment la route transsaharienne avec ses différentes branches et l’ouverture d’un poste frontalier entre l’Algérie et la Mauritanie constituent des points d’accès à nos entreprises», a-t-il souligné.
Dans ce contexte, le directeur du commerce extérieur auprès du ministère du commerce, Lyès Feroukhi a indiqué que l’Algérie a entamé des négociations pour la création de zones franches continentales avec un groupement de pays africain. L’objectif étant de booster les exportations vers le continent noir dont le volume ne dépasse pas les 200 millions de dollars.
Wassila Ould Hamouda
Sud-Horizons
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