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TOTAL SIGNE UN CONTRAT EN ALGÉRIE
Total signe un contrat en Algérie
Total, Sonatrach et Cepsa viennent d'annoncer la mise en production du champ gazier de Timimoun, en Algérie, et la signature du contrat de concession qui vient encadrer ce projet.
Publié le 14-12-2017 à 10:46:40 par Guilhem Baier
Le contrat de concession signé
Les projets s'enchaînent et ne se ressemblent pas pour Total en cette fin d'année 2017. Après avoir annoncé un nouvel investissement de 170 millions de dollars en Bolivie pour accélérer sur le marché du gaz naturel et après avoir commencé à exporter du gaz depuis le site russe de Yamal, le producteur et distributeur d'énergie français revient aujourd'hui sur le devant de la scène pour une annonce concernant cette fois son activité en Algérie. Hier soir, le groupe dirigé par Patrick Pouyanné, la compagnie pétrolière algérienne Sonatrach et la compagnie pétrolière espagnole Cepsa ont officiellement annoncé que la mise en production du champ gazier de Timimoun, situé dans le sud-ouest du pays, était prévue pour les prochains mois, courant 2018.
Les trois entreprises ont par ailleurs signé le « contrat de concession » qui vient confirmer le nouveau « cadre contractuel applicable au développement du projet Timimoun », comme le révèle le communiqué commun diffusé cette semaine, qui précise que c'est Sonatrach qui sera en charge de la vente de la totalité du gaz produit.
Mise en service en avril 2018
Plus précisément, c'est en avril prochain que le site devrait commencer à être actif, avec une production estimée à « 5 millions de mètres cubes de gaz par jour ». À ce jour, 19 puits sur les 37 qui composeront le site ont d'ores et déjà été forés, quatorze ans après le lancement du projet, qui avait débuté par une campagne d'exploration. Ce chantier, qui représente un investissement total de 1,5 milliard de dollars pour le géant pétrolier français et les deux autres acteurs concernés, devrait à terme atteindre une production commerciale de 1,6 milliard de mètres cubes de gaz par an.
Celle qui s'impose comme étant la première entreprise sur le marché français grâce à son chiffre d'affaires de près de 150 milliards d'euros en 2016 détient 37,75 % des parts de ce champ gazier, contre 51 % pour le local Sonatrach et 11,25 % pour la firme espagnole Cepsa.
Total signe un contrat en Algérie
Total, Sonatrach et Cepsa viennent d'annoncer la mise en production du champ gazier de Timimoun, en Algérie, et la signature du contrat de concession qui vient encadrer ce projet.
Publié le 14-12-2017 à 10:46:40 par Guilhem Baier
Le contrat de concession signé
Les projets s'enchaînent et ne se ressemblent pas pour Total en cette fin d'année 2017. Après avoir annoncé un nouvel investissement de 170 millions de dollars en Bolivie pour accélérer sur le marché du gaz naturel et après avoir commencé à exporter du gaz depuis le site russe de Yamal, le producteur et distributeur d'énergie français revient aujourd'hui sur le devant de la scène pour une annonce concernant cette fois son activité en Algérie. Hier soir, le groupe dirigé par Patrick Pouyanné, la compagnie pétrolière algérienne Sonatrach et la compagnie pétrolière espagnole Cepsa ont officiellement annoncé que la mise en production du champ gazier de Timimoun, situé dans le sud-ouest du pays, était prévue pour les prochains mois, courant 2018.
Les trois entreprises ont par ailleurs signé le « contrat de concession » qui vient confirmer le nouveau « cadre contractuel applicable au développement du projet Timimoun », comme le révèle le communiqué commun diffusé cette semaine, qui précise que c'est Sonatrach qui sera en charge de la vente de la totalité du gaz produit.
Mise en service en avril 2018
Plus précisément, c'est en avril prochain que le site devrait commencer à être actif, avec une production estimée à « 5 millions de mètres cubes de gaz par jour ». À ce jour, 19 puits sur les 37 qui composeront le site ont d'ores et déjà été forés, quatorze ans après le lancement du projet, qui avait débuté par une campagne d'exploration. Ce chantier, qui représente un investissement total de 1,5 milliard de dollars pour le géant pétrolier français et les deux autres acteurs concernés, devrait à terme atteindre une production commerciale de 1,6 milliard de mètres cubes de gaz par an.
Celle qui s'impose comme étant la première entreprise sur le marché français grâce à son chiffre d'affaires de près de 150 milliards d'euros en 2016 détient 37,75 % des parts de ce champ gazier, contre 51 % pour le local Sonatrach et 11,25 % pour la firme espagnole Cepsa.