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Les habitants de Mohammadia (32 km de Mascara) lancent un SOS. L’eau potable n’a pas coulé dans les robinets depuis une vingtaine de jours et les cris de détresse n’ont trouvé aucun écho favorable auprès des pouvoirs publics.
Face à cette situation qui a suscité beaucoup d’indignation, les représentants des associations opérant dans différents domaines dans la région ont demandé l’intervention urgente du ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, pour trouver une solution au problème du manque d’eau potable qui sévit depuis plusieurs jours.
«L’eau de mer dessalée de la station d’El Macta (Oran) n’a pas été servie depuis maintenant une quinzaine de jours. Tous les quartiers de Mohammadia et autres localités limitrophes souffrent de cette situation», témoigne un président d’une association de quartier. Pour s’approvisionner en eau potable, les citoyens sont obligés de se débrouiller.
Tout le monde à Mohammadia et autres localités est contraint de recourir à l’achat de citernes dont le prix varie entre 1000 et 1500 DA l’unité. La qualité de l’eau potable mise en vente par les colporteurs est souvent douteuse.
Cette situation, selon des citoyens de la ville, a favorisé la prolifération des colporteurs d’eau, qui sillonnent, ces derniers jours, à longueur de journée, les différents quartiers de Mohammadia et les régions limitrophes. Invitée à donner son avis sur ce sujet, une source de l’Algérienne des eaux n’a pas caché sa déception quant au volume qualifié d’insuffisant d’eau de mer dessalée destiné à la région de Mohammadia.
«Les pouvoirs publics doivent intervenir pour exiger une augmentation du volume d’eau de mer dessalée destiné à Mohammadia et exploiter les eaux du barrage de Fergoug dans l’approvisionnement des populations en eau potable en cas de chute des productions d’eau de mer dessalée au niveau de la station d’El Macta (Oran)», nous dit-on.
El watan
Face à cette situation qui a suscité beaucoup d’indignation, les représentants des associations opérant dans différents domaines dans la région ont demandé l’intervention urgente du ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, pour trouver une solution au problème du manque d’eau potable qui sévit depuis plusieurs jours.
«L’eau de mer dessalée de la station d’El Macta (Oran) n’a pas été servie depuis maintenant une quinzaine de jours. Tous les quartiers de Mohammadia et autres localités limitrophes souffrent de cette situation», témoigne un président d’une association de quartier. Pour s’approvisionner en eau potable, les citoyens sont obligés de se débrouiller.
Tout le monde à Mohammadia et autres localités est contraint de recourir à l’achat de citernes dont le prix varie entre 1000 et 1500 DA l’unité. La qualité de l’eau potable mise en vente par les colporteurs est souvent douteuse.
Cette situation, selon des citoyens de la ville, a favorisé la prolifération des colporteurs d’eau, qui sillonnent, ces derniers jours, à longueur de journée, les différents quartiers de Mohammadia et les régions limitrophes. Invitée à donner son avis sur ce sujet, une source de l’Algérienne des eaux n’a pas caché sa déception quant au volume qualifié d’insuffisant d’eau de mer dessalée destiné à la région de Mohammadia.
«Les pouvoirs publics doivent intervenir pour exiger une augmentation du volume d’eau de mer dessalée destiné à Mohammadia et exploiter les eaux du barrage de Fergoug dans l’approvisionnement des populations en eau potable en cas de chute des productions d’eau de mer dessalée au niveau de la station d’El Macta (Oran)», nous dit-on.
El watan
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