Franchement il y a du contenu. Réfléchi. Etayé. Mis en scène.
Motivations principales :
- répondre voire saper la politique de leadership d'Alger dans la sous-région
- chercher des recettes pour l'économie marocaine
Axes principaux :
- les pays du golfe
- l'Afrique
Pourquoi ces deux directions ?
La première est là où se trouve la non-reconnaissance de la Rasd chez les arabes, là également où se trouve l'aide financière nécessaire à. L'économie de son pays ; tandis que la seconde lui permet de sortir de l'endiguement dans lequel Alger à poussé Rabat.
Les artifices utilisés font grincer des dents car il faut un effort pour pouvoir accepter d'envoyer des soldats au Yémen, de siéger aux côtés de la Rasd, donner l'impression de faire trop de marketing, de brasser du vent.
De plus, cette politique n'est pas à l'abri de couacs dont les deux derniers avatars restent le conflit avc le Qatar et le refus de certains pays de la CDAO d'accepter l'adhésion de Rabat.
Réactions d'Alger :
Bien évidemment, Alger ne va pas rester immobile ! Ses réactions sont efficaces qui n'usent pas du mégaphone. Silencieuses. Le premier tempo est d'agir sur la Mauritanie puis en Afrique. Chez les arabes, le Qatar semble, aux côtés des restes du front de refus, l'angle d'attaque d'Alger. Mais alger use d'un travail de sape avec Washington et Paris car elle sait que le Maroc y est pendu par le nombril telle une olive.
Motivations principales :
- répondre voire saper la politique de leadership d'Alger dans la sous-région
- chercher des recettes pour l'économie marocaine
Axes principaux :
- les pays du golfe
- l'Afrique
Pourquoi ces deux directions ?
La première est là où se trouve la non-reconnaissance de la Rasd chez les arabes, là également où se trouve l'aide financière nécessaire à. L'économie de son pays ; tandis que la seconde lui permet de sortir de l'endiguement dans lequel Alger à poussé Rabat.
Les artifices utilisés font grincer des dents car il faut un effort pour pouvoir accepter d'envoyer des soldats au Yémen, de siéger aux côtés de la Rasd, donner l'impression de faire trop de marketing, de brasser du vent.
De plus, cette politique n'est pas à l'abri de couacs dont les deux derniers avatars restent le conflit avc le Qatar et le refus de certains pays de la CDAO d'accepter l'adhésion de Rabat.
Réactions d'Alger :
Bien évidemment, Alger ne va pas rester immobile ! Ses réactions sont efficaces qui n'usent pas du mégaphone. Silencieuses. Le premier tempo est d'agir sur la Mauritanie puis en Afrique. Chez les arabes, le Qatar semble, aux côtés des restes du front de refus, l'angle d'attaque d'Alger. Mais alger use d'un travail de sape avec Washington et Paris car elle sait que le Maroc y est pendu par le nombril telle une olive.
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