Bonheur, je te veux ou je te donne ?
Bonheur, je te veux. Jai un droit à être heureux. Je veux que tu viennes habiter chez moi, que tu ne me quittes pas. Tu auras le droit de réjouir les autres quant je te prêterais aux amis ou à la famille, mais toujours en ma présence. En échange, je moccuperais bien de toi.
Bonheur, je te cours après. On ma dit que tu étais dans largent, les loisirs, le bien manger, l'amour ..., le paraître... Alors, je cours après largent, puis je dépense tout très vite. Je métourdis dans une vie où je me défonce et où je nai pas le temps de penser vers quoi je fonce.
Bonheur, je doute de toi. La vie ne vaut pas le coup dêtre vécue. On ne peut vraiment pas être heureux sur cette Terre. Tout va mal, de plus en plus mal. On fonce vers un mur. Je ne crois pas ceux qui me disent que cest parfois dans ma tête que tout va mal.
Bonheur, je tespère. Je suis sûr que demain sera mieux quaujourdhui. Je joue aux jeux dargent ou je scrute mon horoscope. Jen oublie les peines de ce jour, mais aussi le plaisir de vivre au quotidien et de travailler à un monde meilleur.
Bonheur, jai peur de toi. Je préfère me contenter de petits plaisirs. Si je me laisse aller à être réellement heureux, il va falloir que je moccupe de toi : faire face à la vérité, te nourrir de rencontres et damitiés, me libérer de mes vieilles habitudes, être fidèle en amour...
Bonheur, je taccueille. Quand on me présente une nouvelle personne, je me dis : peut-être un futur ami ? . Quand je fais une erreur, je me dis : quelle est la leçon à retenir ? . Quand quelque chose va bien, je me réjouis du bonheur des autres.
Bonheur, je te donne. Je commence par accueillir, car il faut avoir bien reçu pour bien donner. Puis je rends service à ceux qui en ont besoin et je fais partager mes joies, car il faut avoir bien donné pour bien accueillir. Et, de cet échange, se développe notre bonheur mutuel.
auteur inconnu
Bonheur, je te veux. Jai un droit à être heureux. Je veux que tu viennes habiter chez moi, que tu ne me quittes pas. Tu auras le droit de réjouir les autres quant je te prêterais aux amis ou à la famille, mais toujours en ma présence. En échange, je moccuperais bien de toi.
Bonheur, je te cours après. On ma dit que tu étais dans largent, les loisirs, le bien manger, l'amour ..., le paraître... Alors, je cours après largent, puis je dépense tout très vite. Je métourdis dans une vie où je me défonce et où je nai pas le temps de penser vers quoi je fonce.
Bonheur, je doute de toi. La vie ne vaut pas le coup dêtre vécue. On ne peut vraiment pas être heureux sur cette Terre. Tout va mal, de plus en plus mal. On fonce vers un mur. Je ne crois pas ceux qui me disent que cest parfois dans ma tête que tout va mal.
Bonheur, je tespère. Je suis sûr que demain sera mieux quaujourdhui. Je joue aux jeux dargent ou je scrute mon horoscope. Jen oublie les peines de ce jour, mais aussi le plaisir de vivre au quotidien et de travailler à un monde meilleur.
Bonheur, jai peur de toi. Je préfère me contenter de petits plaisirs. Si je me laisse aller à être réellement heureux, il va falloir que je moccupe de toi : faire face à la vérité, te nourrir de rencontres et damitiés, me libérer de mes vieilles habitudes, être fidèle en amour...
Bonheur, je taccueille. Quand on me présente une nouvelle personne, je me dis : peut-être un futur ami ? . Quand je fais une erreur, je me dis : quelle est la leçon à retenir ? . Quand quelque chose va bien, je me réjouis du bonheur des autres.
Bonheur, je te donne. Je commence par accueillir, car il faut avoir bien reçu pour bien donner. Puis je rends service à ceux qui en ont besoin et je fais partager mes joies, car il faut avoir bien donné pour bien accueillir. Et, de cet échange, se développe notre bonheur mutuel.
auteur inconnu
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