Dans sa détermination à s’opposer à tout ce que fait Ahmed Ouyahia, le secrétaire général du FLN, Djamel Ould-Abbès, est prêt à tout. En déplacement dans la wilaya de Souk-Ahras, le responsable politique a annoncé une rencontre prochaine avec les partenaires de la Tripartite, à savoir le FCE et l’UGTA.
« Nous allons nous réunir, la semaine prochaine, avec le FCE et l’UGTA pour leur dire que le secteur public est une ligne rouge à ne pas franchir », a indiqué le secrétaire général du FLN à ses militants de l’Est du pays. Le responsable entend ainsi créer une « tripartite parallèle » au travail accompli par le gouvernement. Samedi dernier, en effet, Ahmed Ouyahia a paraphé une charte de partenariat entre le privé et le public. Un accord qui vise notamment à permettre des prises de participation des entreprises privées dans le capital de sociétés publiques. Il s’agit dans un premier temps des petites et moyennes entreprises dont l’Etat veut visiblement se débarrasser.
A peine cet accord signé, le secrétaire général du FLN est monté au créneau pour s’en prendre au premier ministre. Djamel Ould-Abbès s’est en effet érigé en « défenseur des salariés » du secteur économique public. « Nous n’acceptons pas qu’on touche aux entreprises publiques », avait-il averti. Une sortie assimilée à une attaque en règle contre le Premier ministre qui, pourtant, ne fait qu’appliquer « le programme du président de la République ». S’agit-il d’une attaque concertée ? Tout porte à le croire. Surtout que le Premier ministre n’applique que « le programme de Abdelaziz Bouteflika » dont s’inspire le FLN.
Akli Ouali
Algérie Focus
« Nous allons nous réunir, la semaine prochaine, avec le FCE et l’UGTA pour leur dire que le secteur public est une ligne rouge à ne pas franchir », a indiqué le secrétaire général du FLN à ses militants de l’Est du pays. Le responsable entend ainsi créer une « tripartite parallèle » au travail accompli par le gouvernement. Samedi dernier, en effet, Ahmed Ouyahia a paraphé une charte de partenariat entre le privé et le public. Un accord qui vise notamment à permettre des prises de participation des entreprises privées dans le capital de sociétés publiques. Il s’agit dans un premier temps des petites et moyennes entreprises dont l’Etat veut visiblement se débarrasser.
A peine cet accord signé, le secrétaire général du FLN est monté au créneau pour s’en prendre au premier ministre. Djamel Ould-Abbès s’est en effet érigé en « défenseur des salariés » du secteur économique public. « Nous n’acceptons pas qu’on touche aux entreprises publiques », avait-il averti. Une sortie assimilée à une attaque en règle contre le Premier ministre qui, pourtant, ne fait qu’appliquer « le programme du président de la République ». S’agit-il d’une attaque concertée ? Tout porte à le croire. Surtout que le Premier ministre n’applique que « le programme de Abdelaziz Bouteflika » dont s’inspire le FLN.
Akli Ouali
Algérie Focus
Commentaire