Le monde semble bel et bien parti pour un deuxième round de printemps. Mais comme celui du monde arabe, initié par Obama et « sa » Hillary, semble avoir foiré, Donald Trump a voulu changer un peu, en lançant son printemps, persique, cette fois-ci.
Mais comme les scénaristes américains semblent en panne d’imagination, et, par ailleurs, ils n’ont pas de scrupules à se faire ni de soucis du qu’en dira-t-on, ils ont décidé de reprendre le même scénario, avec les mêmes mécanismes, utilisés pour le printemps arabe, et ils ont lancé le process… Et le pire, c’est que çà marche, et de façon implacable !
Car, bien que les retombées néfastes, du printemps arabe, soient encore là, pour rappeler la bêtise humaine, et bien que tout le monde ait compris la procédure engagée par les USA et leurs alliés de toujours, les israéliens, et, surtout, ses objectifs qui ne constituent plus un secret pour qui que ce soit, de même que les mécanismes utilisés pour pulvériser le monde arabo-musulman soient, désormais, connus, Daech à leur tête… Malgré tout cela, il se trouve qu’il y a, encore, quelque part, sous le ciel, des idiots qui croient au printemps, et qui se lancent corps et âme dans la charnier qui leur a été dressé, croyant, dur comme fer, qu’ils sont en train de faire leur révolution, et qu’ils sont en train de changer le monde.
C’est ainsi qu’on assiste, incrédules, depuis deux jours, à un début de brasier en Iran, comme çà… par hasard ! Et le scénario est reparti, identique à celui de 2011 :
Des manifestations éclatent un peu partout, en Iran, sans aucune raison, réellement, valable… On commence à insulter les dirigeants… On appelle au renversement du régime… On provoque, autant qu’on peut, la police anti-émeute… On sa fait tabasser en conséquence… Le tout filmé de main de maître par des cyber-collaborateurs formés pour ce jour fatidique…
Et en parallèle, l’oncle Sam qui s’indigne de la répression, qui appelle les responsables iraniens à respecter la volonté de leur peuple, qui condamne les arrestations… Et le tour est joué. Mais cette fois-ci, les américains ont foiré quelque part ! Car, peut-être pour cause de décalage horaire, les réactions des officiels américains, et leur réprobation, ont devancé les faits à Téhéran. Ainsi les USA ont condamné des arrestations qui n’avaient pas encore eu lieu, et déploré une répression, alors que les échauffourées entre les « manifestants » et les forces de l’ordre, n’avaient pas encore commencé.
Mais, il y a, quand même, quelque chose de bizarre, et d’intrigant, qui interpelle et qui appelle à réflexion ; C’est de savoir pourquoi çà commence, toujours en fin décembre, pour se conclure vers la mi-janvier de l’année d’après ? Mais qu’ont, donc, ces dates de particulier ?
Tunisie Numérique
Mais comme les scénaristes américains semblent en panne d’imagination, et, par ailleurs, ils n’ont pas de scrupules à se faire ni de soucis du qu’en dira-t-on, ils ont décidé de reprendre le même scénario, avec les mêmes mécanismes, utilisés pour le printemps arabe, et ils ont lancé le process… Et le pire, c’est que çà marche, et de façon implacable !
Car, bien que les retombées néfastes, du printemps arabe, soient encore là, pour rappeler la bêtise humaine, et bien que tout le monde ait compris la procédure engagée par les USA et leurs alliés de toujours, les israéliens, et, surtout, ses objectifs qui ne constituent plus un secret pour qui que ce soit, de même que les mécanismes utilisés pour pulvériser le monde arabo-musulman soient, désormais, connus, Daech à leur tête… Malgré tout cela, il se trouve qu’il y a, encore, quelque part, sous le ciel, des idiots qui croient au printemps, et qui se lancent corps et âme dans la charnier qui leur a été dressé, croyant, dur comme fer, qu’ils sont en train de faire leur révolution, et qu’ils sont en train de changer le monde.
C’est ainsi qu’on assiste, incrédules, depuis deux jours, à un début de brasier en Iran, comme çà… par hasard ! Et le scénario est reparti, identique à celui de 2011 :
Des manifestations éclatent un peu partout, en Iran, sans aucune raison, réellement, valable… On commence à insulter les dirigeants… On appelle au renversement du régime… On provoque, autant qu’on peut, la police anti-émeute… On sa fait tabasser en conséquence… Le tout filmé de main de maître par des cyber-collaborateurs formés pour ce jour fatidique…
Et en parallèle, l’oncle Sam qui s’indigne de la répression, qui appelle les responsables iraniens à respecter la volonté de leur peuple, qui condamne les arrestations… Et le tour est joué. Mais cette fois-ci, les américains ont foiré quelque part ! Car, peut-être pour cause de décalage horaire, les réactions des officiels américains, et leur réprobation, ont devancé les faits à Téhéran. Ainsi les USA ont condamné des arrestations qui n’avaient pas encore eu lieu, et déploré une répression, alors que les échauffourées entre les « manifestants » et les forces de l’ordre, n’avaient pas encore commencé.
Mais, il y a, quand même, quelque chose de bizarre, et d’intrigant, qui interpelle et qui appelle à réflexion ; C’est de savoir pourquoi çà commence, toujours en fin décembre, pour se conclure vers la mi-janvier de l’année d’après ? Mais qu’ont, donc, ces dates de particulier ?
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