La vie, un puits de venin
Ô vie, un puits de poison
Et amère comme le laurier*
Mon cœur t'a changé de nom
Ton goût, pour lui, est tombé
Croyant jouer avec toi
Et grand, tu te joues de moi
L’âme, de soupirs, rassasiée
On dit seulement bien aller
Mon cœur, sa peine l’a trouvé
Même s’il paraît s’amuser
Que lui dire car il le sait
Il sait la vie : une risée
On prétexte qu’on est malades
Même si le mal est ancien
Comme la vigne, il nous entrave
Là où l’on va, il nous tient
Et cela ne s'arrête pas
Ô vie, tu veux tout cela
Nous redoutons l'au-delà
Et la souffrance de la vie
L'angoisse, aujourd'hui, demain
La peur, le soir, le matin
On nous dit que c'est écrit
L'homme étant né pour cela.
Ô vie, un puits de poison
Et amère comme le laurier*
Mon cœur t'a changé de nom
Ton goût, pour lui, est tombé
Croyant jouer avec toi
Et grand, tu te joues de moi
L’âme, de soupirs, rassasiée
On dit seulement bien aller
Mon cœur, sa peine l’a trouvé
Même s’il paraît s’amuser
Que lui dire car il le sait
Il sait la vie : une risée
On prétexte qu’on est malades
Même si le mal est ancien
Comme la vigne, il nous entrave
Là où l’on va, il nous tient
Et cela ne s'arrête pas
Ô vie, tu veux tout cela
Nous redoutons l'au-delà
Et la souffrance de la vie
L'angoisse, aujourd'hui, demain
La peur, le soir, le matin
On nous dit que c'est écrit
L'homme étant né pour cela.
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