Le fait qu'il n'ait aucun débouché pour un emploi au royaume chérifien, finalement c'est pas une mauvaise solution de faire payer aux parents les études supérieures de leurs enfants.
- Selon plusieurs journaux marocains, le gouvernement va adopter la semaine prochaine une loi relative à la « réforme du système de l’éducation », visant notamment à «*mettre fin à la gratuité de l’enseignement public supérieur«*.
(...).
Cette proposition avait déclenché une levée de boucliers dans ce pays où les défaillances du système éducatif sont constamment pointées du doigt : classes surchargées, fermetures en cascade d’écoles, manque de professeurs, abandon scolaire…
(...).
Un taux d’analphabétisme d’environ 30%
Mais les résultats ne sont pas à la hauteur des investissements : le Maroc fait partie des 25 pays les moins avancés en termes de scolarisation, selon l’Unesco, accusant un taux d’analphabétisme d’environ 30%.
Les enfants des familles aisées vont dans le privé ou dans les écoles du système français, espagnol ou américain, tandis que des dizaines d’écoles publiques sont fermées chaque année, parfois pour laisser place à des projets immobiliers-.
Jeune Afrique
- Selon plusieurs journaux marocains, le gouvernement va adopter la semaine prochaine une loi relative à la « réforme du système de l’éducation », visant notamment à «*mettre fin à la gratuité de l’enseignement public supérieur«*.
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Cette proposition avait déclenché une levée de boucliers dans ce pays où les défaillances du système éducatif sont constamment pointées du doigt : classes surchargées, fermetures en cascade d’écoles, manque de professeurs, abandon scolaire…
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Un taux d’analphabétisme d’environ 30%
Mais les résultats ne sont pas à la hauteur des investissements : le Maroc fait partie des 25 pays les moins avancés en termes de scolarisation, selon l’Unesco, accusant un taux d’analphabétisme d’environ 30%.
Les enfants des familles aisées vont dans le privé ou dans les écoles du système français, espagnol ou américain, tandis que des dizaines d’écoles publiques sont fermées chaque année, parfois pour laisser place à des projets immobiliers-.
Jeune Afrique
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