BNP Paribas Algérie est venue au monde, en 2002, dans un contexte marqué par une chronique bancaire émaillée d’incidents. D’une agence unique, plantée au centre de Hydra, la filiale n’a cessé de tisser sa toile au fil des années. En 2004, deux autres agences avaient vu le jour au coeur d’Alger, annonciatrices de l’irruption de sept autres, une année plus tard.
Aujourd’hui, le réseau est fort de 23 agences. Une vingtaine sont déployées à Alger et les wilayas environnantes (Blida, Boumerdes, Tipasa), une à Béjaïa et deux à Oran. Pour la seule année 2006, «on en a ouvert 13», rappelle, réjoui, François Edouard Drion. Des créations auxquelles devraient succéder d’autres «dans les prochains mois» dans le grand Alger, à Sétif, Annaba, Constantine, Mostaganem et Tlemcen, selon les prévisions du groupe.
Conséquence du développement du réseau, le portefeuille clientèle a gagné en allure. En ce début 2007, le listing des clients particuliers affiche quelque 40.000 noms, clients de CETELEM - filiale du groupe - compris. Ce volume est «en très forte croissance», comparé aux 8.000 clients particuliers domiciliés dans les agences BNP Paribas El-Djezaïr au soir de 2005. Côté entreprises, la filiale gère 2.600 clients avec une activité «très fortement orientée vers les financements».
Comblée, la banque compte cultiver ces indicateurs de «croissance importante» et les tirer constamment vers la hausse. Pour ce faire, elle s’attachera à mettre au service de la clientèle une qualité de prestations «toujours meilleure». En témoigne, selon elle, la mise en place, le 23 janvier dernier, du premier distributeur automatique de billets visa en Algérie. Installé à l’agence d’El-Biar, cet outil, le premier à usage international en Algérie, fonctionne 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
Parallèlement, la filiale poursuivra la dynamique enclenchée l’an dernier, en matière de crédit-auto et crédit à la consommation, «nos deux produits phares», dit-on à la BNP Paribas. Où on revendique comme «autre point fort le financement de l’économie algérienne via les crédits aux entreprises et les opérations de commerce international».
source : le quotidien d'Oran
Aujourd’hui, le réseau est fort de 23 agences. Une vingtaine sont déployées à Alger et les wilayas environnantes (Blida, Boumerdes, Tipasa), une à Béjaïa et deux à Oran. Pour la seule année 2006, «on en a ouvert 13», rappelle, réjoui, François Edouard Drion. Des créations auxquelles devraient succéder d’autres «dans les prochains mois» dans le grand Alger, à Sétif, Annaba, Constantine, Mostaganem et Tlemcen, selon les prévisions du groupe.
Conséquence du développement du réseau, le portefeuille clientèle a gagné en allure. En ce début 2007, le listing des clients particuliers affiche quelque 40.000 noms, clients de CETELEM - filiale du groupe - compris. Ce volume est «en très forte croissance», comparé aux 8.000 clients particuliers domiciliés dans les agences BNP Paribas El-Djezaïr au soir de 2005. Côté entreprises, la filiale gère 2.600 clients avec une activité «très fortement orientée vers les financements».
Comblée, la banque compte cultiver ces indicateurs de «croissance importante» et les tirer constamment vers la hausse. Pour ce faire, elle s’attachera à mettre au service de la clientèle une qualité de prestations «toujours meilleure». En témoigne, selon elle, la mise en place, le 23 janvier dernier, du premier distributeur automatique de billets visa en Algérie. Installé à l’agence d’El-Biar, cet outil, le premier à usage international en Algérie, fonctionne 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
Parallèlement, la filiale poursuivra la dynamique enclenchée l’an dernier, en matière de crédit-auto et crédit à la consommation, «nos deux produits phares», dit-on à la BNP Paribas. Où on revendique comme «autre point fort le financement de l’économie algérienne via les crédits aux entreprises et les opérations de commerce international».
source : le quotidien d'Oran
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