Contrairement aux autres ministres ou anciens ministres qui se sont présentés au tribunal en qualité de témoins, les journalistes et photographes n’ont pas eu de difficultés à approcher M. Tebboune. Ce dernier s’est dit ouvert pour répondre aux questions à condition de «bien rapporter ses dires».
L’ex-ministre a déclaré être victime d’un «lynchage médiatique en bonne et due forme» et a exhibé ensuite des coupures de presse où sa photo était publiée à côté de celle d’Abdemoumène Khelifa. Pour M. Tebboune, il n’est pas exclu que ces photos soient un montage.
Très à l’aise, documents sous les bras, il a ajouté, avec ironie : «Je suis photogénique, mais il ne faut toutefois pas en abuser dans les unes!» Par ailleurs, il a démenti l’information selon laquelle il avait été placé sous contrôle judiciaire par la Cour suprême qui l’a entendu, à trois reprises, en qualité de témoin.
M. Tebboune, qui a refusé de répondre, à la barre, à la question du procureur général sur les visites effectuées, en privé, à Abdelmoumène Khelifa, a déclaré devant les représentants de la presse que le fait de prendre un café avec un homme d’affaires n’était ni un crime ni un délit.
En outre, a-t-il ajouté Nadjia Iouaz, secrétaire particulière de l’ex-P-DG du groupe, avait cité son nom «sous la pression». «Je n’ai plus jamais remis les pieds dans le bureau de Abdelmoumène après mon départ du ministère», a-t-il affirmé.
L’ex-ministre a déclaré être victime d’un «lynchage médiatique en bonne et due forme» et a exhibé ensuite des coupures de presse où sa photo était publiée à côté de celle d’Abdemoumène Khelifa. Pour M. Tebboune, il n’est pas exclu que ces photos soient un montage.
Très à l’aise, documents sous les bras, il a ajouté, avec ironie : «Je suis photogénique, mais il ne faut toutefois pas en abuser dans les unes!» Par ailleurs, il a démenti l’information selon laquelle il avait été placé sous contrôle judiciaire par la Cour suprême qui l’a entendu, à trois reprises, en qualité de témoin.
M. Tebboune, qui a refusé de répondre, à la barre, à la question du procureur général sur les visites effectuées, en privé, à Abdelmoumène Khelifa, a déclaré devant les représentants de la presse que le fait de prendre un café avec un homme d’affaires n’était ni un crime ni un délit.
En outre, a-t-il ajouté Nadjia Iouaz, secrétaire particulière de l’ex-P-DG du groupe, avait cité son nom «sous la pression». «Je n’ai plus jamais remis les pieds dans le bureau de Abdelmoumène après mon départ du ministère», a-t-il affirmé.
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