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Les migrants seraient responsables de la hausse des crimes violents en Allemagne

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  • Les migrants seraient responsables de la hausse des crimes violents en Allemagne

    D'après une étude gouvernementale dont les résultats ont été révélés cette semaine, les migrants seraient responsables de la hausse des crimes violents commis en Allemagne les années passées.

    Dans l'Etat de Basse-Saxe, 92% de la hausse des crimes violents commis dans cet Etat en 2015/2016 (hausse de 10,4%) a été attribuée aux migrants.

    Soit une étude qui va certainement être exploitée politiquement par le parti néo-nazi AfD qui est un parti farouchement anti-migrants, anti-musulmans et anti-Islam.


  • #2
    parmi les migrants qui ont ete acceptes en allemagne ,il y a parmi eux des delinquants,des personnes souffrants de troubles psychiatrique et des gens violents,des toxicomanes ,des gens attires par l argent facile et pret a tout pour arriver a leur fins.

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    • #3
      On a affaire à un système. La couleur à déjà été annoncée à Cologne.. avec la psudo agression de dizaines de filles en un soir ¡!!!!!!!!

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      • #4
        " Soit une étude qui va certainement être exploitée politiquement par le parti néo-nazi AfD qui est un parti farouchement anti-migrants, anti-musulmans et anti-Islam."


        C'est malheureusement déjà fait. Reste à savoir si ce sont des Maghrébins qui sont responsables de ces violences?

        L'Allemagne compte plus de 3 millions de Turcs et donc musulmans, d'où il est autorisé de craindre qu'il puisse y avoir une certaine confusion.

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        • #5
          C est typique AFD, les chiffres sont de 4,6% en plus de crimes violents chez les étrangers (toutes nationalités confondues) sur tout le territoire allemand.

          Les turques sont établis ici depuis les années 60.

          Ceux qui sont visés, sont les nouveaux arrivants.

          Il y a 10 millions d étrangers en Allemagne et voici leur provenance :
          Always on the sunny side.....

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          • #6
            Les auteurs de la recherche ont également noté qu'il y avait une différence significative dans les pays d'origine des migrants criminels, disant que les hommes de Syrie, d'Irak et d'Afghanistan étaient significativement moins susceptibles de commettre un crime violent que ceux originaires d'Afrique du Nord.


            Breaking News - 'Migrants fuel' German violent crime rise


            Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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            • #7
              Quelques exemples, en 2016:

              les crimes violents ont augmenté de 9,8% en Bavière et les crimes commis par les immigrés ont même augmenté de 93%. Un cinquième de tous les suspects enregistrés en Bavière pour des crimes violents (20%) étaient des immigrés.

              En Basse-Saxe, où l'année dernière une nouvelle baisse de toutes les infractions ont été enregistrées enregistrées, sauf pour les crimes de violence, 10,8% étaient des immigrés

              Bade-Wurtemberg 18,5%
              Rhénanie du Nord-Westphalie, en dépit d'une baisse de Par rapport à 2015 toujours 12,1%.
              En Thuringe en 2016, les crimes violents commis par les immigrés ont triplé de 5,1 à 14,5%.

              A Berlin en 2016 les délits sexuel commis par des immigrants a augmenté de 72 à 141 infractions.

              Rhénanie-Palatinat les infractions sexuelles ont augmenté à un total de 2.388 cas. Le compte présumés des immigrants était de 184 cas, soit 7,7% de toutes les infractions sexuelles. Sans eux, le nombre d'infractions criminelles aurait «seulement» augmenté de 0,05% de 2015 à 2016 au lieu de 4,7%, et le nombre total de crimes violents aurait diminué de 2,1% sans les immigrés.

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              • #8
                parmi ces agressions violentes ,il y a aussi beaucoups d agressions sexuelles,beaucoup de refugiers sont des hommes seuls,ceux qui ne sont pas capables de faire preuves d abstinences peuvent recourrir a l agression sexuel .

                Commentaire


                • #9
                  parmi ces agressions violentes ,il y a aussi beaucoups d agressions sexuelles,beaucoup de refugiers sont des hommes seuls,ceux qui ne sont pas capables de faire preuves d abstinences peuvent recourrir a l agression sexuel .
                  Je pense que c'est aussi un problème culturel et sociétal. La liberté, est avant tout une résponsabilité. baucoup de gens n'ont pas assez de bagages intellectuel pour gérer au mieux cette liberté et en tirer profit. Je dis celà sans aucun grain de racisme.

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                  • #10
                    ichweiter @

                    un homme arrivant dans un pays que il ne connait ni la langue ni la culture ,qui a peut etre comme seul horizon son village ou sa ville ,dans 99 pourcents des cas sans le sou desargente et sans fortune ni materiel ou culturelle ,incapable de communiquer ou tisser des liens sociaux,cela peut avoir des degats irreparrrables sur un faible d esprit.

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                    • #11
                      2. Januar 2018, 20:00 Uhr

                      Studie
                      Mehr Gewaltkriminalität durch mehr Zuwanderer

                      • Eine Studie im Auftrag des Bundesministeriums für Familie und Jugend hat die Gewaltkriminalität von Flüchtlingen anhand des Fallbeispiels Niedersachsen untersucht.

                      • Ergebnis: Fast jede achte Gewalttat in dem Land rechnet die Polizei einem Flüchtling zu.

                      • Das Urteil, Flüchtlinge seien pauschal krimineller, lässt sich dennoch nicht fällen, da sich die Zahlen stark nach Herkunftsländern unterscheiden.

                      • Außerdem werden Flüchtlinge schneller einer Gewalttat verdächtigt und angezeigt.

                      ....

                      Von Roland Preuß

                      sueddeutsche.de
                      L'article complet à lire sur süddeutsche zeitung.

                      traduction:

                      2 janvier 2018, 20h00

                      étude

                      Hausse de crime violent à cause de l'augmentation d'immigrants

                      Une étude commandée par le ministère fédéral de la Famille et de la Jeunesse a enquêté sur le crime violent des réfugiés sur la base de l'étude de cas de Basse-Saxe.

                      -Résultat: Presque 1/8 de crime violent dans le pays est attribué par la police à un réfugié.

                      -Cependant la sentence selon laquelle les réfugiés sont d'une façon globaledes criminels ne peut pas être valable, car les chiffres varient grandement selon le pays d'origine.

                      -En outre, les réfugiés sont plus rapidement soupçonnés de violence et signalés.

                      Il y'a ce réfugié syrien qui tue sa compagne à Reutlingen avec un couteau à kebab, Il y'a le demandeur d'asile débouté du Ghana, qui a violé une campeuse près de Bonn ou enfin l'afghane prétendument de 15 ans qui aurait poignarder son ex-petite amie la semaine dernière dans une droguerie en Rhénanie-Palatinat Kandel . De tels actes de violence alimentent le débat sur les réfugiés. Qui vient là chez nous? A quel point les gens de Syrie, d'Afghanistan ou des Balkans sont-ils criminels? Qu'est-ce qui est prouvable et qui sont des pseudos faits?

                      Dans leur enquête sur les crimes violents, les criminologues Dirk Baier, Christian Pfeiffer et Sören Kliem présentent quelques réponses. Il est donc démontré que les réfugiés ont causés une augmentation notable de la violence en Allemagne depuis 2014. Cela éclipse la tendance positive réelle vers moins de meurtre, d'homicide involontaire ou des infraction de vol qualifié qu'on avait avant . L'étude commandée par le ministère fédéral de la famille et de la jeunesse a pour cet objectif fait une analyse de la situation en Basse-Saxe est ce par un examen plus attentif des personnes qui ont demandé soit l'asile, soit obtenus un certain type de protection, tels que les personnes ayant le droit d'asile qui ont été rejetées en tant que demandeurs de protection ou appartiennent au groupe avec "séjour non autorisé".

                      Résultat: Presque 1/8 d'acte de violence dans le pays est attribuée à un migrant de l'un de ces groupes. Ce ne sont que des cas de suspicion, cependant ce sont ceux que la police classe comme éclairés et qu'elle délivre comme tels au parquet. Les réfugiés sont donc beaucoup plus susceptibles de commettre d'actes violents que le reflète leur pourcentage de la population.

                      Le verdict que les réfugiés sont globalement des criminel, ne tient toujours pas. D'une part, les chiffres diffèrent grandement selon les pays d'origine, d'autre part, certains - mais pas tous - peuvent s'expliquer par des antécédents criminologiques. Ainsi, de 2014 à 2016, le nombre de réfugiés a fortement augmenté, plus du double. Cependant, cela ne peut donner qu'une réponse partielle, car le nombre de suspects parmi eux a augmenté presque trois fois et demie. En outre, au cours de la crise des réfugiés, de nombreux mineurs et jeunes hommes sont venus en Allemagne. Quiconque ne veut pas assimiler les hommes âgés au comportement criminel des adolescents doit en tenir compte. Les jeunes de 14 à 30 ans se distinguent par un nombre particulièrement élevé d'infractions violentes et sexuelles, quel que soit le pays ou l'origine.

                      En outre, les réfugiés sont plus susceptibles d'être soupçonnés de violence parce qu'ils sont signalés plus fréquemment. En tout cas, cela peut être déduit des études précédentes par les auteurs de l'étude. particulièrement souvent les victimes vont à la police si le suspect est d'une autre nationalité, comme par ex., si un serbe tabasse un allemand ou un iranien un croate. Mais les victimes présumées des réfugiés violents, sont selon les données de la police à un tiers des allemands ou d'autres nationalités que le suspect, ce qui donne une constellation qui d'aprés l'experience mene le plus souvent à une plainte et donc en premier lieu à la première apparition dans les statistiques.

                      Les criminologues soupçonnent, cependant, que les actes ont quelque chose à voir avec la culture machiste dans les pays d'origine de nombreux réfugiés; Cela a été démontré dans des enquêtes antérieures, en particulier parmi les jeunes de l'ex-Yougoslavie, de la Turquie et d'autres pays musulmans. Ils étaient souvent d'accord avec des déclarations telles que: "Un homme qui ne veut pas se défendre contre les insultes par la force est un faible".

                      De grandes différences entre les pays d'origine

                      En ce qui concerne les pays d'origine des suspects, il existe des différences marquées: les Syriens, les Irakiens et les Afghans sont nettement moins nombreux que les autres réfugiés, alors que les Marocains, les Algériens et les Tunisiens sont particulièrement nombreux. En 2016, ils représentaient seulement 0,9% des réfugiés enregistrés en Basse-Saxe, mais 17,1% des suspects. Les migrants d'Afrique du Nord étaient déjà au centre du débat après les agressions sexuelles du Nouvel An 2015/16, et presque tous ont été rejetés comme demandeurs d'asile.

                      Les criminologues voient un lien, à savoir la colère et le manque de perspectives de ce groupe, qui comprend également près de la moitié des hommes entre 14 et 30 ans. Mais cela ne devrait pas tout expliquer, car même les demandeurs d'asile des pays balkaniques tels que l'Albanie ou le Kosovo doivent souvent faire face à un rejet, mais en comparaison avec d'autres réfugiés, n'apparaissent que peu dans des actes de violence. "Nous avons un énorme potentiel de perdants frustrés pour lesquels nous devons trouver des réponses", affirme le co-auteur de l'étude, Christian Pfeiffer. Par exemple, des cours d'allemand, des stages, des expulsions cohérentes et des récompenses de retour.

                      Pfeiffer et ses collègues plaident également pour une réunification familiale plus facile, politiquement très controversée. La famille permet d'ancrer les jeunes réfugiés et influe positivement sur leur comportement. Sans cet ancre, les réfugiés mineurs pourraient devenir comme le soupçonné d'attaque à couteau de Kandel, un groupe à risque élevé.

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