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Saison du Hadj 2018: Mohamed Aissa en Arabie Saoudite

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  • Saison du Hadj 2018: Mohamed Aissa en Arabie Saoudite

    APS Alger mercredi, le 03 janvier 2018

    Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, se réunira jeudi à la Mecque avec son homologue saoudien, Mohamed Salah Ben Tahar Benten, dans le cadre des préparatifs de la saison du hadj 2018, indique mercredi un communiqué du ministère.

    Arrivé lundi en Arabie saoudite à la tête d'une importante délégation, le ministre rencontrera jeudi son homologue saoudien à la Mecque pour débattre des dispositions liées à la nouvelle saison du hadj, précise la même source.
    L'ambassadeur saoudien à Alger, Sami Ben Abdellah Essalah avait annoncé récemment qu'une rencontre aura lieu entre le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa et son homologue saoudien en vue de discuter du quota des pèlerins algérien pour la saison du Hadj 2018.
    Fixé à 36.000 hadjis actuellement, le quota de l'Algérie devrait augmenter à 40.000 après le parachèvement des travaux d'extension de la grande mosquée (Mecque).
    F.E.A.R, has two meanings:Forget everything and runorFace everything and Rise.....Voilà !

  • #2
    Perso, si j'étais le président algérien, j'aurais lancé le grand chantier de la sécularisation de l'Algérie qui inclus notamment la suppression du ministère des affaires religieuses, et j'aurais aussi lancé un autre grand chantier pour le développement d'un "Islam algérien" qui serait un Islam moderne et progressiste déconnecté du royaume daechien saoudien. Ainsi, dans l'Islam algérien, le pèlerinage ne serait plus un "pilier de l'Islam" mais simplement du tourisme religieux pour celles et ceux qui veulent découvrir le royaume daechien saoudien et enrichir les rois daechiens saoudiens, ce qui va leur permettre de continuer à financer leur mode de vie ultra luxueux et de s'armer jusqu'aux dents pour massacrer les civils au Yémen et dans d'autres pays arabes/musulmans.

    Le royaume daechien saoudien n'est pas une "terre sainte" mais une "terre maléfique".

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    • #3
      Le hadji ne doit pas être sujet à n'importe quelle querelle de n'importe quel genre.
      Il fait parti des cinq piller de l'islam,les saoudiens ont tout le temps depuis qu'ils se sont attelé à la tâche de servir les lieux saints, su le maintenir en dehors des conflits malgré l'ingérence des ennemis de l'islam.
      Mais surtout il faut pas succomber aux tentations qui préconisent un lieu devant sa porte pour faire le pèlerinage,ça n'a jamais réussi du temps où le déplacement vers les lieux saints duraient plus de deux mois ,ça ne va pas se faire en notre temps.

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      • #4
        Notre ministre au lieu d'observer une austérité, comme le fait l'AS, il se permet d'ajouter au 36 000 hadjis un autre 4000, comme si les 5% de TVA sur les produits et services au hadj ne suffisent pas.
        F.E.A.R, has two meanings:Forget everything and runorFace everything and Rise.....Voilà !

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        • #5
          Envoyé par boussad
          Il fait parti des cinq piller de l'islam,les saoudiens ont tout le temps depuis qu'ils se sont attelé à la tâche de servir les lieux saints
          Les terroristes daechiens saoudiens considèrent les pèlerins comme des pigeons qu'ils escroquent, qu'ils exploitent et qu'ils traitent comme des esclaves.

          Le meilleur exemple pour l'illustrer est celui de la bousculade catastrophique de septembre 2015 qui avait fait jusqu'à 2400 morts. Les pèlerins décédés avaient été traités comme des cadavres d'animaux par les terroristes daechiens saoudiens qui avaient non seulement menti sur le nombre réel de morts, mais ils n'avaient même pas daignés présenter des excuses aux pays et aux familles des victimes, et encore moins proposer des indemnités aux familles des victimes.

          Concrètement, le pèlerinage est simplement un impôt payé par les pèlerins aux terroristes de la famille royale saoudienne.

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          • #6
            Bien sûr que le pèlerinage à la Mecque est un pilier de l'islam.
            Mais du temps du prophète (salat haylih wa salam), le pèlerinage était gratos pour les pèlerins nourris et logés sur place aux frais des mecquois.
            La donne n'est plus la même aujourd'hui avec des quotas par pays et un envol des prix du séjours à ce moment précis. Cela est plus de l'escroquerie d'une famille des Saoud qui pédale dans la semoule avec ces excès. Et cela ne m'étonnerais pas qu'une partie des gains du pèlerinage servent à charcuter le pauvre peuple musulman du Yémen.

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            • #7
              Bien sûr que le pèlerinage à la Mecque est un pilier de l'islam.
              Mais du temps du prophète (salat haylih wa salam), le pèlerinage était gratos pour les pèlerins nourris et logés sur place aux frais des mecquois.
              La donne n'est plus la même aujourd'hui avec des quotas par pays et un envol des prix du séjour à ce moment précis. Cela est plus de l'escroquerie d'une famille des Saoud qui pédale dans la semoule avec ces excès. Et cela ne m'étonnerais pas qu'une partie des gains du pèlerinage servent à charcuter le pauvre peuple musulman du Yémen.

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