On va les appeler : elle Farroudja et lui Maamar
Faroudja et Maamar se sont connus à la fac de Boumerdes
Faut signaler que Farroudja est originaire de Tizi, tandis que Maamar venait de Mascara (m'âaskar)
Après avoir terminé leurs études, ils décidèrent de se marier et de s’installer à Alger
Farroudja donna de beaux enfants à Maamar
Elle abandonna son travail pour se consacrer à sa petite famille
Au fil des ans, la taille de Farroudja s’épaississait et elle ne s’en rendait pas compte
Maamar quant à lui, commençait à prendre de la brioche et s’offrait une belle calvitie
Un jour, Farroudja, accompagnée de sa douce moitié, alla en ville pour s’offrir quelques fringues
De vitrine en vitrine, rien n’était à son goût
Finalement, elle tomba en pâmoison devant un beau pantalon de couleur miel
- C’est ce que je cherchais, s’excama-t-elle
Mâmar ne souffla mot
- Viens, on entre et je vais l’essayer
- Je te suis, dit-il d’un air amorphe
- bonjour Mademoiselle, je voudrais essayer un pantalon comme celui-ci (elle indiqua de son doigt l’article de ses rêves)
- quelle taille ? demanda la vendeuse
- Heu ! Heu … du 46
- Je vais voir
Finalement la vendeuse revint avec un pantalon d’une autre couleur : nous n’avons pas la taille dans la couleur demandée, dit-elle, mais essayez celui-ci, je suis sûre qu’il vous ira bien
Déçue, Farroudja prit tout de même le pantalon rouge et entra dans la cabine d’essayage
Elle ouvrit le rideau :
- Mâamar, comment me trouves-tu ?
- Heu ! pas mal, répondit-il d’un air gêné
- Je veux que tu me dises la vérité
- Je t’assure, il te va bien
- Menteur, je sais que ce n’est pas vrai, en plus je n’aime pas le rouge et tu prétends qu’il me va bien….
- Foufou, c’est vrai il te va bien, mais prends-le en noir, il te mincira
- Oh !oh ! oh … suffoqua-t-elle, ça veut dire que je suis grosse ?
- Non, mais dans cette couleur tu ressembles à un boudin, prends plutôt une jupe
- Comment oses-tu me parler ainsi, dit-elle au bout des larmes, déjà que je n’avais pas le moral, tu viens de me massacrer
- Foufou ! mais c’est la vérité ! tu as perdu ta taille de guêpe, tu n’es plus la jeune fille que j’ai connue !
- Et toi ! tu t’es regardé dans la glace ! ton ventre ! il est énorme et ton pantalon qui descend au dessous du nombril, tout juste s’il tient…
Faroudja et Maamar se sont connus à la fac de Boumerdes
Faut signaler que Farroudja est originaire de Tizi, tandis que Maamar venait de Mascara (m'âaskar)
Après avoir terminé leurs études, ils décidèrent de se marier et de s’installer à Alger
Farroudja donna de beaux enfants à Maamar
Elle abandonna son travail pour se consacrer à sa petite famille
Au fil des ans, la taille de Farroudja s’épaississait et elle ne s’en rendait pas compte
Maamar quant à lui, commençait à prendre de la brioche et s’offrait une belle calvitie
Un jour, Farroudja, accompagnée de sa douce moitié, alla en ville pour s’offrir quelques fringues
De vitrine en vitrine, rien n’était à son goût
Finalement, elle tomba en pâmoison devant un beau pantalon de couleur miel
- C’est ce que je cherchais, s’excama-t-elle
Mâmar ne souffla mot
- Viens, on entre et je vais l’essayer
- Je te suis, dit-il d’un air amorphe
- bonjour Mademoiselle, je voudrais essayer un pantalon comme celui-ci (elle indiqua de son doigt l’article de ses rêves)
- quelle taille ? demanda la vendeuse
- Heu ! Heu … du 46
- Je vais voir
Finalement la vendeuse revint avec un pantalon d’une autre couleur : nous n’avons pas la taille dans la couleur demandée, dit-elle, mais essayez celui-ci, je suis sûre qu’il vous ira bien
Déçue, Farroudja prit tout de même le pantalon rouge et entra dans la cabine d’essayage
Elle ouvrit le rideau :
- Mâamar, comment me trouves-tu ?
- Heu ! pas mal, répondit-il d’un air gêné
- Je veux que tu me dises la vérité
- Je t’assure, il te va bien
- Menteur, je sais que ce n’est pas vrai, en plus je n’aime pas le rouge et tu prétends qu’il me va bien….
- Foufou, c’est vrai il te va bien, mais prends-le en noir, il te mincira
- Oh !oh ! oh … suffoqua-t-elle, ça veut dire que je suis grosse ?
- Non, mais dans cette couleur tu ressembles à un boudin, prends plutôt une jupe
- Comment oses-tu me parler ainsi, dit-elle au bout des larmes, déjà que je n’avais pas le moral, tu viens de me massacrer
- Foufou ! mais c’est la vérité ! tu as perdu ta taille de guêpe, tu n’es plus la jeune fille que j’ai connue !
- Et toi ! tu t’es regardé dans la glace ! ton ventre ! il est énorme et ton pantalon qui descend au dessous du nombril, tout juste s’il tient…
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