Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Que nous réserve le PC de demain ?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Que nous réserve le PC de demain ?

    Faut-il attendre 3 bonnes années ou plus avant d'acheter son PC pour pouvoir installer Vista ?
    ------------------------------------------------------------------------

    Disque hybride, haute-définition, Bluetooth… Si aucune grande révolution n'est attendue, des évolutions importantes sont au programme. Le point sur ce qui équipera vos machines d’ici à six ou douze mois.

    A regarder de près, il se pourrait que votre ordinateur dans six mois ou un an, soit... un portable. Seule réelle inconnue : sa couleur !

    Cela dit, si vous êtes joueur - tendance Half Life 2 plutôt que Adibou, vous avez encore des raisons de vous encombrer d'une tour massive et d'un écran version grand large (24 pouces). Côté quincaillerie, cependant, les composants des desktops et autres portables sont et seront presque tous les mêmes.

    Quatre coeurs à l'unisson

    Les Core 2 Duo d'Intel et les Athlon X2 d'AMD illustrent la mutation technologique des PC grand public du moment : le processeur est dorénavant à double coeur. 2007 sera l'année du quadricoeur, du vrai. Et si Intel vient de lancer avec tambour et trompette un quadricoeur, soyons honnêtes, il ne s'agit là que d'un effet d'annonce. Car l'Intel Core 2 Extreme n'est pas un processeur avec quatre coeurs, mais deux processeurs avec deux noyaux associés. Il y a donc gain de puissance, évidemment, mais pas autant qu'avec un vrai « quad core ». Ces processeurs développeront une puissance de feu jusque-là réservée aux serveurs.

    Attention toutefois : les multicoeurs sont mis en avant comme la solution ultime à la lenteur des machines. C'est en partie vrai. Ils garantissent en effet une plus grande souplesse d'utilisation quand vous faites tourner Word, un client de messagerie électronique, un lecteur audio... En revanche, pour qu'un programme tire pleinement parti de toute cette puissance, c'est-à-dire pour qu'il utilise tous ces coeurs, il doit avoir été développé dans cette optique. Une exigence difficile à satisfaire, notamment dans le domaine des jeux vidéo. Le multicoeur, c'est mieux, mais pas miraculeux.

    Repousser les limites visuelles

    Les technologies SLI de nVidia ou CrossFire d'ATI destinées à réunir la puissance de deux cartes vidéo représentent, pour l'instant, la solution la plus cohérente. Toutefois, ces deux acteurs ont sous le coude de nouvelles technologies : le projet Fusion chez ATI/AMD et l'architecture dite unifiée chez nVidia avec un nouveau composant (GeForce 8800). L'objectif de l'une comme de l'autre est de décharger le processeur principal des calculs répétitifs en les attribuant aux unités de calcul de la carte graphique. Ces technologies associées à Windows Vista et DirectX 10 vont améliorer la qualité du rendu des jeux, des vidéos (haute-définition) ou des éléments visuels courants.

    Encore plus de mémoire vive

    De nouveaux types de mémoire sont dans les cartons depuis suffisamment longtemps pour y rester encore quelques mois. A l'intérieur des PC à venir, on va continuer à trouver le même type de mémoire : de la DDR2 SDRam. La différence devrait surtout se faire au niveau de la quantité.

    Les nouveaux PC auront la lourde tâche de faire fonctionner Windows Vista de manière confortable. Or, si un gigaoctet est un minimum, il faudra au moins deux gigaoctets pour exploiter confortablement le nouveau système d'exploitation de Microsoft. Et monter jusqu'à quatre ne sera pas déraisonnable...

    Plus de stockage, moins d'électricité

    Même avec une bonne quantité de mémoire cache pour accélérer le transfert de données, des plateaux tournant vite (7 200 tours/min, par exemple) et une bonne quantité de stockage, le disque est le maillon faible. Deux nouveautés technologiques améliorent la situation. La première est une nouvelle technologie, appelée stockage perpendiculaire. Elle accroît de manière significative la capacité de stockage. Et prend tout son intérêt dans les portables.

    La deuxième est la technologie des disques hybrides. Aux habituels disques magnétiques sur lesquels sont enregistrées les données est ajoutée de la mémoire flash, plus rapide en lecture/écriture, qui sert de zone de stockage temporaire. La quantité varie entre 128 et 256 Mo selon les modèles et les fabricants. Microsoft a intégré un logiciel (Windows ReadyDrive) à son nouvel OS, pour gérer ce type de périphériques. L'avantage des disques hybrides : comme ils consomment moins d'électricité que leurs prédécesseurs, ils devraient améliorer l'autonomie des portables.

    Le complexe de la HD

    2007 va être l'année de la HD. Mais que faut-il pour en profiter ? Tout d'abord, il faut un écran capable d'afficher les hautes résolutions d'image - HD Ready (720p) ou Full HD (1080p) - et qui plus est compatibles avec le système de protection du contenu HD (HDCP). C'est un des éléments les plus coûteux du passage à la HD. Ensuite, côté galettes, il faut faire le choix entre les deux normes ennemies : Blu-ray ou HD-DVD ? Difficile à l'heure actuelle de savoir quelle sera l'issue de cette querelle technologique. Mais l'histoire nous apprend qu'il n'y a que très rarement de la place pour deux.

    Si pour l'instant le prix des lecteurs HD est excessif - rappelons que le premier lecteur Blu-ray pour PC n'a été commercialisé qu'à la rentrée et que son homologue HD-DVD n'est apparu qu'en mai dernier -, l'un comme l'autre se généralisent sur les modèles haut de gamme. Les premiers portables Full HD disponibles coûtent entre 2 500 et 3 000 euros. En attendant la baisse de prix, le seul problème est donc de savoir qui gagnera pour investir dans la bonne technologie. A moins que d'ici là, des lecteurs hybrides (compatibles avec les disques HD-DVD et Blu-ray) apparaissent.

    Couper les fils

    Un rapide passage derrière un PC fait prendre conscience de la marge de progression possible pour en finir avec cette nuée de fils. Un vrai sac de noeuds ? Pas certain, car l'arrivée du Wi-Fi a déjà fait disparaitre le câble réseau. Attendue dans le courant de l'année 2007, la version 802.11n du Wi-Fi (qui intègre la technologie MiMo), va donner encore plus d'intérêt à cette connexion sans fil. Débit plus important, meilleure portée et meilleure sécurité devraient être au rendez-vous des prochains produits répondant à cette nouvelle « norme ». Si le Wi-Fi a été largement adopté par les PC, étonnons-nous qu'une technologie mature comme le Bluetooth ne soit pas plus plébiscitée. On la trouve intégrée à quelques modèles, haut de gamme généralement.

    Ne serait-il pas intéressant de l'introduire afin de remplacer des périphériques infrarouges ou les souris RF ? De même, son évolution, le Bluetooth A2DP, utilisé pour le transfert de données audio, aurait de quoi séduire les utilisateurs d'enceintes PC. Enfin, l'arrivée du Wireless USB, autrement appelé UWB pour Ultra Wide Band, devrait couper d'autres fils. Intel a mis à disposition les informations nécessaires à la conception de périphériques USB sans fil à la fin du mois de septembre dernier. Les premiers appareils ne devraient donc plus trop tarder. Espérons-le, mais ici aussi, seul l'avenir nous le dira.

    La connectique

    Il est étonnant de voir à l'arrière des PC des ports d'entrée/sorties d'un autre temps, comme les ports Parallèle ou Série, voire PS/2, qui survivent malgré l'avènement de l'USB. Des branchements de moins en moins utilisés, alors même qu'il serait bon de faire de la place à d'autres connectiques. Comme le FireWire autrement appelé iLink ou Lynx, selon les fabricants. Les normes FireWire 400 (IEEE 1394a) et FireWire 800 (1394b) sont rares sur les PC. C'est d'autant plus dommage que, comparé à l'USB, le FireWire assure des débits stables et compte moins sur la puissance du processeur pour transférer les données.

    Pour mémoire, le FireWire 400 est en théorie un peu moins rapide (400 Mbit/s) que l'USB 2.0 (480 Mbits/s), ce qui n'est quasiment jamais le cas en réalité. Le FireWire 800 offre, quant à lui, comme son nom l'indique, un débit théorique de 800 Mbits/s. Bien plus que l'USB 2.0... Dès lors, puisqu'il est si performant, pourquoi n'est-il pas plus présent dans les PC ? Cette absence s'explique en grande partie par le mauvais support de cette norme par Windows XP. Heureusement, Vista devrait résoudre ce problème. Enfin, on peut imaginer que les fabricants de PC adopteront de plus en plus des puces réseau offrant des débits en gigabits et non plus en mégabits, ce qui garantira un meilleur confort d'utilisation lors de transferts sur un réseau local.

    Pierre Fontaine
    01net.le 11/12/2006
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Avant d'acquérir un PC, faut-il exiger « l'index de performances » Windows Vista ?

    Pour le moment mon XP pro me suffit, comme pour le Magnétoscope ou la TNT, ce sont les premier qui achétent qui se font arnaqué, alors attendons la baisse des prix des nouvelles génération PC.
    -------------------------------------------------------------------------

    A quoi sert l'index Vista ? Les résultats obtenus sont-ils pertinents ? Est-ce un outil d'évaluation ? Enquête sur le terrain.

    Windows Vista intègre en standard dans toutes ses éditions un outil d'évaluation appelé en anglais WEI pour Windows Experience Index. Ce qui mal traduit en français donne « indice de performance Windows ».

    L'index Vista n'est pas caché. Il est accessible d'un clic de souris. Vous pouvez donc - avant d'acquérir une machine dotée de Windows Vista - librement le consulter. Ce dernier est, selon ce qui est indiqué clairement par Microsoft, « déterminé par le sous-indice le plus bas » parmi cinq éléments (processeur, mémoire vive, graphiques Aero, graphiques de Jeu et disque dur principal).

    Chaque indice reflète un mélange entre la capacité du composant et ses performances sous Vista. Mais chaque indice n'est, en aucun cas, en relation avec la performance maximale qu'un composant peut délivrer. Il faut donc le considérer comme un test de comportement ou de confort d'utilisation et non comme un test de compétition. L'indice est absolu, il n'a pas de référent. On sait seulement qu'il peut varier pour chaque sous-indice de 1 à n. Car cet indice n'est pas sensé avoir de limite. On n'a pas encore vu cette note atteindre 7. Les notes obtenues servent à vérifier si un PC est équilibré pour réaliser toutes les activités numériques proposées par Vista.

    Décryptage de l'index

    Si le score est inférieur à 2, vous êtes face à un PC dans l'incapacité de faire autre chose que de la bureautique. N'escomptez pas non plus profiter de l'interface 3D Aero dans de bonnes conditions. Entre 3 et 4, si vous pouvez enregistrer la télévision et réaliser des montages vidéo, il n'est, en revanche, pas garanti que vous puissiez utiliser les derniers jeux du moment. A partir de 5, vous avez une machine apte à tous les usages gourmands en ressources comme le décodage de contenus haute définition ou les jeux vidéos. A partir de 6, vous êtes devant une bête de course.

    Méfiance chez Intel

    Interrogé, Stanislas Odinot, chez Intel, indique que cet indice est à proscrire si l'on désire comparer les performances de leurs composants. Et pour cause : un Pentium D 820 (2,8 GHz) obtient un score de 4,7 là où un Pentium Core2Duo T7200 (2 GHz) peine à dépasser les 4,8. Avec des outils de stress comme Sandra de SiSoftware, on obtient des variations entre ces deux processeurs qui vont du simple au double. Entre une utilisation normale de Vista (la vie réelle ?) et un test pour pousser un composant dans ses moindres retranchements (mesures en laboratoire), un écart certain existe. C'est cet écart que Vista ne mesure pas. Et ce qui est vrai pour ce sous-indice est vrai pour les autres.

    Comportement de Vista tel un jeu vidéo

    Côté cartes graphiques, l'index de performances est révélateur. Entre la version Basic et l'édition dite Premium de Windows Vista, il y a un fossé considérable. Il s'agit de l'interface graphique 3D Aero. Elégante, cette interface requiert pour tourner un composant vidéo compatible DirectX 9 doté de 64 ou 128 Mo de mémoire vive. Mais là, c'est un minimum. Car tout dépend en plus de la résolution vidéo employée. Et relier un second écran sous Vista n'est pas toujours possible, sauf à désactiver l'interface 3D. Comme aime à le rappeler Stéphane Quentin chez nVidia : « Vista c'est comme un jeu vidéo ». Les indices sont pertinents. Par exemple l'indice mémoire vive tient compte des composants graphiques - qui pour tourner - puisent des ressources sur la mémoire vive.

    Orientation du client final

    Chez les constructeurs, on est légèrement désarmé face à cet indice. Mais ce n'est pas toujours pour les mêmes voire les bonnes raisons. Si chez certains on reconnaît, bien volontiers, que cela peut aider à orienter le consommateur final, d'autres sont inquiets que l'on puisse mettre en avant ce qui pour un client lambda est une note. Les performances maximales des machines seraient minorées ? Oui, mais pas seulement.

    Sous couvert de confidentialité, l'un de nos contacts nous a avoué qu'il serait embarrassant qu'un client puisse se rendre compte qu'une même référence n'obtient pas partout la même note. L'indice serait-il bogué ? Non, ce serait même le contraire. Mais parfois, entre deux PC identiques, les composants varient. Comme quoi cet indice, utilisé en connaissance de cause, à défaut d'être un outil de mesure des performances, est un très bon révélateur de ce qui est masqué sous le capot. Rien que pour cela, cet indice vaut son pesant de composants.

    Thierry Derouet.
    01net. 08/02/2007
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

    Commentaire


    • #3
      Un ordinateur explosif et en avance sur son temps

      Un PC à 5000 Euros, dans 2 ou 3 ans on trouvera son équivalent pour 1000 euros.
      Patience...
      --------------------------------------------------------------------------

      Une configuration de feu dans un boîtier au design futuriste. Voilà le dernier PC d'Alienware pour les accros au jeu.

      La promesse

      Alienware est connu pour ses configurations survitaminées aptes à ravir avant tout les hardcore gamers. L'Area-51 7500 ne fait pas exception en intégrant les composants les plus puissants du marché pour un prix quasi-prohibitif de 5000 euros. Les performances de la bête sont-elles réellement à la hauteur de l'investissement consenti ?

      La réalité

      Sans surprise, les différents tests de performances effectués confirment la puissance absolue du dernier-né d'Alienware. Les joueurs au budget conséquent disposeront d'une machine apte à répondre à toutes les exigences et dont le design, toujours aussi proche de l'univers de Star Wars, fera certainement fureur lors des LAN parties.

      Une remarque s'impose toutefois. Cette configuration est monstrueuse, c'est un fait. Mais elle semble tout de même un peu en avance sur son temps. En effet, si le processeur quadricoeur embarqué a un potentiel phénoménal, très peu d'applications sont optimisées pour en tirer le maximum. Il en va de même pour le SLI sous Vista, les drivers ne sont pas encore finalisés. Pour le moment, ce PC ne peut donc tourner que sur une seule carte.

      Avec 3D Mark 2006, on se retrouve du coup avec des performances équivalentes à un Core 2 Duo Extreme X6800 double-coeur, accompagné d'une Geforce 8800 GTX. Patience donc. Le gros intérêt des deux cartes graphiques en SLI résidera dans la possibilité de faire tourner les jeux en très haute résolution. Vous l'aurez compris, l'investissement dans un écran Full HD (30 pouces minimum) sera indispensable pour profiter au maximum des possibilités de ce PC.

      L'arrivée de Windows Vista et des jeux compatibles DirectX 10 devrait à coup sûr démontrer tout le potentiel de cet Area 51, aujourd'hui encore un peu sous-exploité. D'autant plus que les drivers vidéo disponibles pour Vista sont encore en version bêta et donc loin d'être au meilleur de leurs performances. Du coup, ne serait-il pas judicieux d'attendre quelques semaines avant d'investir quand on connaît le prix actuel de cette unité centrale et les baisses qu'elle risque de subir ? Une question que les très gros budgets ne se poseront certainement pas. Mais les autres...

      Car il faut bien avouer que si l'on veut tirer le meilleur parti des jeux 3D et qu'on a les moyens, il sera difficile de résister. D'autant plus que le montage de cet ordinateur, seulement au format moyenne tour, est incroyablement soigné. L'ouverture latérale ne nécessite aucun outil et tous les câbles à l'intérieur du boîtier, même les plus gros, sont fixés aux parois. Du coup, on accède avec une facilité déconcertante aux différents composants. Idéal pour les joueurs invétérés, toujours curieux de connaître les entrailles de leur machine et adeptes de manipulations diverses.

      Malgré la présence de quatre ventilateurs dans le boîtier, auxquels il faut ajouter celui du processeur, cette tour ne dégage que très peu de bruit. Une performance au vu de l'équipement et de la puissance nécessaire pour tout gérer, une belle alimentation de 1000 watts !

      Quant à la souris fournie, la Razer Diamondback, c'est un modèle spécialement dédié aux joueurs qui a largement fait ses preuves, partenaire des WCG (World Cyber Games) et de la CPL (Ligue professionnelle des cyberathlètes), deux des compétitions en réseau les plus prisées au monde. En revanche, si ce PC est clairement orienté gamer, on aurait tout de même apprécié la présence d'un tuner TNT, surtout pour un tel prix.

      Le verdict

      Alienware a choisi son public et se donne les moyens de le satisfaire. Les férus de jeux vidéo et compétiteurs de haut niveau auront bien du mal à ne pas casser leur tirelire devant le plus puissant des PC du marché. Une puissance à laquelle se joignent un design et une finition de premier ordre. La preuve qu'une configuration monstrueuse peut s'accompagner de toute la finesse nécessaire à un confort d'utilisation absolu.

      Henri Frey , 01net.
      16/02/2007

      Voici la fiche technique
      http://www.01net.com/fiche-produit/f...-area-51-7500/
      Dernière modification par zek, 19 février 2007, 11h41.
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

      Commentaire

      Chargement...
      X