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A Amsterdam, une jeune fille de 14 ans a été empêchée de monter dans un bus GVB à cause de «ses traits marocains», indique le site d’information néerlandais NL Times ce mercredi. Sa mère, Dounia Tapijt, raconte que le 21 novembre dernier, sa fille et une autre jeune femme attendaient le bus 38 à Amsterdam Noord. Le conducteur du bus avait dit aux deux filles «qu’elles devaient rester en dehors».
La même source indique que quand l’adolescente a demandé des explications, le chauffeur a indiqué qu’il préférait «ne pas avoir ce genre de personnes dans le bus». Sous les insistances de la jeune passagère pour comprendre de quelles personnes il s’agissait, le conducteur a rétorqué : «Les Marocains.»
Ce n’est qu’au moment où une autre passagère a tenté de défendre la jeune fille, indiquant au conducteur qu’elle allait descendre s’il avait l’habitude d’empêcher des filles de monter à bord, que celui-ci a laissé passer la Marocaine, comme le raconte la mère de la jeune fille dans une longue publication sur Facebook. Elle ajoute qu’elle a informé GVB, l’opérateur de transport public municipal à Amsterdam de l’incident. Le jour d’après, elle a appelé la permanence téléphonique contre la discrimination.
Selon Dounia Tapijt, GVB a tenté de protéger son employé. La mère a ajouté : «le retrouver est vraiment facile, puisque ma fille a pointé lorsqu’elle est montée dans le bus. Le manager ne voulait pas m’appeler et je n’ai pas pu avoir son numéro de téléphone.»
En réaction, GVB indique que «personne n’est autorisé à refuser l’accès à un passager à cause de son apparence», écrit NL Times citant Het Parool. L’entreprise a expliqué que quatre de ces conducteurs n’étaient pas au courant de l’incident et que la description donnée par la fille ne correspondait à aucun des employés. Par ailleurs, GVB indique que les «vidéosurveillances sont supprimées après 24 heures. Malheureusement la plainte de l’incident est arrivée trop tard». Malgré cela, la police d’Amsterdam a ouvert une enquête.
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La même source indique que quand l’adolescente a demandé des explications, le chauffeur a indiqué qu’il préférait «ne pas avoir ce genre de personnes dans le bus». Sous les insistances de la jeune passagère pour comprendre de quelles personnes il s’agissait, le conducteur a rétorqué : «Les Marocains.»
Ce n’est qu’au moment où une autre passagère a tenté de défendre la jeune fille, indiquant au conducteur qu’elle allait descendre s’il avait l’habitude d’empêcher des filles de monter à bord, que celui-ci a laissé passer la Marocaine, comme le raconte la mère de la jeune fille dans une longue publication sur Facebook. Elle ajoute qu’elle a informé GVB, l’opérateur de transport public municipal à Amsterdam de l’incident. Le jour d’après, elle a appelé la permanence téléphonique contre la discrimination.
Selon Dounia Tapijt, GVB a tenté de protéger son employé. La mère a ajouté : «le retrouver est vraiment facile, puisque ma fille a pointé lorsqu’elle est montée dans le bus. Le manager ne voulait pas m’appeler et je n’ai pas pu avoir son numéro de téléphone.»
En réaction, GVB indique que «personne n’est autorisé à refuser l’accès à un passager à cause de son apparence», écrit NL Times citant Het Parool. L’entreprise a expliqué que quatre de ces conducteurs n’étaient pas au courant de l’incident et que la description donnée par la fille ne correspondait à aucun des employés. Par ailleurs, GVB indique que les «vidéosurveillances sont supprimées après 24 heures. Malheureusement la plainte de l’incident est arrivée trop tard». Malgré cela, la police d’Amsterdam a ouvert une enquête.
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