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L'armée égyptienne a accusé mardi son ancien chef d'état-major Sami Anan de vouloir semer la division entre les forces armées et le peuple en se présentant à l'élection présidentielle du mois de mars face au chef de l'Etat sortant Abdel Fattah al Sissi.
Dans un communiqué lu à la télévision, un porte-parole de l'armée a annoncé la convocation de Sami Anan, accusé d'avoir falsifié les documents officiels attestant qu'il ne porte plus l'uniforme, condition requise pour briguer la présidence du pays.
Sami Anan, dont le parti a annoncé la candidature il y a près de deux semaines, a dirigé le conseil militaire qui a assuré la transition en Egypte après la chute d'Hosni Moubarak en 2011.
Abdel Fattah al Sissi lui a succédé à la tête de l'armée après l'élection du président islamiste Mohamed Morsi, qu'il a renversé un an plus tard. Il a ensuite été promu maréchal avant de quitter l'uniforme pour devenir président.
Il a annoncé vendredi sa candidature pour un second et, théoriquement, dernier mandat de quatre ans.
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Dans un communiqué lu à la télévision, un porte-parole de l'armée a annoncé la convocation de Sami Anan, accusé d'avoir falsifié les documents officiels attestant qu'il ne porte plus l'uniforme, condition requise pour briguer la présidence du pays.
Sami Anan, dont le parti a annoncé la candidature il y a près de deux semaines, a dirigé le conseil militaire qui a assuré la transition en Egypte après la chute d'Hosni Moubarak en 2011.
Abdel Fattah al Sissi lui a succédé à la tête de l'armée après l'élection du président islamiste Mohamed Morsi, qu'il a renversé un an plus tard. Il a ensuite été promu maréchal avant de quitter l'uniforme pour devenir président.
Il a annoncé vendredi sa candidature pour un second et, théoriquement, dernier mandat de quatre ans.
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