C’est le deuxième incident du même type en peu de temps. Un avion de la compagnie Air Algérie a perdu une roue au départ de l’aéroport de Toulouse-Blagnac.
C’est avec un élément du train d’atterrissage en mois qu’un avion d’Air Algérie a quitté, le jeudi 8 février, la piste de décollage de l’aéroport de Toulouse-Blagnac. L’avion concerné est un Boeing 737-600 qui reliait la Ville rose à Oran, au nord-ouest de l’Algérie.
Une roue n’a pas été retrouvée
Selon les premières constatations, l'avion « au décollage aurait perdu une pièce métallique qui appartiendrait à la roulette de nez », c'est-à-dire « un élément du train d'atterrissage situé sous le nez de l'avion », a précisé à l’AFP un porte-parole du Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA).
La direction de l'aéroport de Toulouse a indiqué à l'agence de presse qu' « un axe de roue sectionné (...) a été retrouvé sur la piste, mais pas la roue ». Ce qui a logiquement conduit à quelques ennuis à atterrissage à Oran.
Un atterrissage compliqué
L’agence Sabqpress décrit un atterrissage « en catastrophe ». Elle précise que le commandant de bord a eu d’importantes difficultés à stabiliser son appareil. Bien que prévenu au décollage de la chute d’un objet, le même pilote avait décidé de ne pas faire demi-tour, toujours selon le média.
Au Bureau d’enquêtes et d’analyses, aucune enquête n’a encore été ouverte « à ce stade », selon l’AFP. « Nous nous coordonnons avec les autorités algériennes, l'avion étant arrivé à Alger », explique une source.
Des catastrophes en série
Sur son site Internet, Le360afrique fait la liste des récents incidents de la compagnie Air Algérie : la perte d’une roue, déjà, en 2016 ; un turboréacteur qui prend feu en plein vol au début du mois de février ; en janvier, l’armée française avait intercepté un avion de la compagnie qui ne répondait pas à la radio... En 2014, un de ses avions s’étaient crashés au Mali. Le journal s’en inquiète : « A ce rythme, les autorités aéronautiques seront bientôt obligées d’interdire la compagnie algérienne ».
Le Parisien
C’est avec un élément du train d’atterrissage en mois qu’un avion d’Air Algérie a quitté, le jeudi 8 février, la piste de décollage de l’aéroport de Toulouse-Blagnac. L’avion concerné est un Boeing 737-600 qui reliait la Ville rose à Oran, au nord-ouest de l’Algérie.
Une roue n’a pas été retrouvée
Selon les premières constatations, l'avion « au décollage aurait perdu une pièce métallique qui appartiendrait à la roulette de nez », c'est-à-dire « un élément du train d'atterrissage situé sous le nez de l'avion », a précisé à l’AFP un porte-parole du Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA).
La direction de l'aéroport de Toulouse a indiqué à l'agence de presse qu' « un axe de roue sectionné (...) a été retrouvé sur la piste, mais pas la roue ». Ce qui a logiquement conduit à quelques ennuis à atterrissage à Oran.
Un atterrissage compliqué
L’agence Sabqpress décrit un atterrissage « en catastrophe ». Elle précise que le commandant de bord a eu d’importantes difficultés à stabiliser son appareil. Bien que prévenu au décollage de la chute d’un objet, le même pilote avait décidé de ne pas faire demi-tour, toujours selon le média.
Au Bureau d’enquêtes et d’analyses, aucune enquête n’a encore été ouverte « à ce stade », selon l’AFP. « Nous nous coordonnons avec les autorités algériennes, l'avion étant arrivé à Alger », explique une source.
Des catastrophes en série
Sur son site Internet, Le360afrique fait la liste des récents incidents de la compagnie Air Algérie : la perte d’une roue, déjà, en 2016 ; un turboréacteur qui prend feu en plein vol au début du mois de février ; en janvier, l’armée française avait intercepté un avion de la compagnie qui ne répondait pas à la radio... En 2014, un de ses avions s’étaient crashés au Mali. Le journal s’en inquiète : « A ce rythme, les autorités aéronautiques seront bientôt obligées d’interdire la compagnie algérienne ».
Le Parisien
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