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Nouvelles révélations sur le rôle de Hassan II dans la victoire d’Israël

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  • Nouvelles révélations sur le rôle de Hassan II dans la victoire d’Israël

    Guerre des Six-Jours : Nouvelles révélations sur le rôle de Hassan II dans la victoire d’Israël

    reseauinternational

    En septembre 1965, Hassan II accueillait à Casablanca les chefs arabes lors d’un conclave secret destiné à évaluer les capacités militaires d’une coalition destinée à lancer une offensive éclair contre Israël. Le roi, peu confiant dans ses alliés, a livré les enregistrements de la rencontre à l’Etat hébreu lui permettant de gagner la Guerre des Six-Jours

    Israël doit largement sa victoire sur ses ennemis arabes dans la guerre des Six Jours de 1967 à l’aide secrète du Maroc, selon les révélations faites aujourd’hui par un ancien chef des renseignements militaires israéliens.

    En 1965, le roi Hassan II a transmis à Israël des enregistrements d’un conclave clé entre les dirigeants arabes tenu à Casablanca et destiné à la préparation de la guerre contre Israël. L’anecdote est connue : elle avait été déjà révélée par des anciens espions de l’Etat hébreu, mais aujourd’hui, Yedioth Ahronoth (repris par Times of Israël) en apporte de nouveaux détails, expliquant par la voix de témoignages inédits comment cette coopération secrète a été décisive dans la victoire contre la coalition arabe.

    Des leaders arabes fortement divisés
    Cette rencontre a non seulement révélé que les rangs arabes étaient fortement divisés – de vifs échanges ont éclaté, par exemple, entre le président égyptien Gamal Abdel-Nasser et le roi Hussein de Jordanie – , mais que les nations arabes étaient pour ainsi dire mal préparées pour le conflit, affirme le major-général Shlomo Gazit dans son témoignage au quotidien Yedioth Ahronoth dans son édition dominicale.

    Sur la base de ces enregistrements, ainsi que d’autres informations de renseignements recueillis dans les années qui ont précédé la guerre, Israël a lancé une attaque préventive le matin du 5 juin 1967, bombardant des aérodromes égyptiens et détruisant presque tous ses avions de chasse.

    Pendant la guerre, qui a pris fin le 10 juin, Israël a conquis la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï en Egypte, la Cisjordanie et Jérusalem-Est à la Jordanie, et les hauteurs du Golan à la Syrie.

    « Le roi Hassan II avait secrètement enregistré la réunion de 1965 parce qu’il ne faisait pas confiance à ses invités de la Ligue arabe », écrit Yedioth. Il a d’abord permis à une équipe conjointe des services de renseignement internes et externes d’Israël, le Shin Bet et le Mossad – une unité connue sous le nom « The birds » (Les oiseaux) – d’occuper un étage entier de l’hôtel Casablanca (aujourd’hui rebaptisé Hyatt Regency), où la conférence s’est tenue. Cependant, craignant que les agents seraient remarqués par les clients arabes, « le roi leur a dit de tout mettre en place un jour avant le début de la conférence », écrit le journal israélien.

    Selon Rafi Eitan – homme politique et ancien officier du renseignement israélien, qui a co-dirigé l’unité « The birds », avec Peter Zvi Malkin, légende vivante du Mossad -, les Marocains « nous ont donné toutes les informations nécessaires, et ne nous ont rien caché. Ils nous ont tout livré immédiatement après que la conférence ait pris fin ».

    Un avantage décisif offert à Israël

    Dans une note de service adressée à Levi Eshkol, alors premier ministre , Meir Amit, chef du Mossad à l’époque, a décrit l’opération au Maroc comme « l’un des fleurons de l’intelligence israélienne ». Les dirigeants arabes avaient secrètement convoqué cette réunion en septembre 1965, à l’hôtel Casablanca. Ils étaient accompagnés de leurs chefs militaires et de renseignement, pour discuter de savoir si leurs unités étaient prêtes à la guerre contre Israël. L’objet était de créer un commandant arabe unifié pour mener les hostilités. Il a été convenu de la nécessité de se préparer concrètement pour la guerre, rapporte Yedioth Ahronoth, ainsi les commandants militaires ont parlé ouvertement de leurs capacités respectives, alors qu’ils étaient sur écoute. Les enregistrements des discussions ont été donnés à la Direction de la Recherche de la Direction du renseignement militaire d’Israël, où ils ont été traduits en hébreu.

    Ces enregistrements, qui ont donné un avantage décisif aux services d’intelligence israéliens, ont en outre, montré que, d’une part, les Etats arabes se dirigeaient vers un conflit auquel nous devions nous préparer dans l’urgence, et d’autre part, les divergences qui montraient leur incapacité à monter un front uni contre Israël. Leurs propos ne reflétaient pas l’unanimité affichée dans leurs rangs », a déclaré en substance Gazit, qui dirigeait à l’époque le département de contre-espionnage de l’Etat hébreu.

    Grâce à ces enregistrements et à d’autres sources complémentaires, « nous savions à quel point ils étaient mal préparés pour la guerre », a poursuivi Gazit. « Nous sommes arrivés à la conclusion que le corps de blindés égyptien était dans un état pitoyable et pas prêt pour la bataille ». Le commandant de l’unité des tankistes de l’armée israélienne à l’époque, le Général Major Israël Tal, « avait rejeté notre opinion avec mépris », témoigne Gazit, « affirmant que leur situation ne pouvait pas être celle décrite. Plus tard, nous avons vu qui avait raison ».

    Les informations contenues dans ces enregistrements ont conforté l’armée israélienne dans le sentiment « que nous allions gagner une guerre contre l’Egypte, alors que des prophéties de malheur et le sentiment de défaite imminente étaient répandus parmi la majorité des décideurs, notamment dans l’administration civile. Au sein de quelques unités de défense, mais nous étions confiants dans notre force », relate Gazit.
    hlomo Gazit a été nommé chef du renseignement militaire après le succès de cette opération d’espionnage montée avec l’aide du Maroc. Mais en octobre 1973, lors de la Guerre du Kippour, le renseignement israélien n’a pas réussi à anticiper les attaques surprises des armées égyptienne et syrienne contre Israël. Cette fois-ci, le Maroc participait lui aussi aux combats sur les hauteurs du Golan et la situation a bien failli tourner au désastre pour Tsahal qui n’a obtenu son salut que grâce à l’appui en sous-main des armées occidentales…

    Kenza Filali

    source:https://ledesk.ma/2016/10/16/guerre-...toire-disrael/
    "L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand

  • #2
    En 1965, le roi Hassan II a transmis à Israël des enregistrements d’un conclave clé entre les dirigeants arabes tenu à Casablanca et destiné à la préparation de la guerre contre Israël.
    LOL


    les dirigeants arabes ont parlé en 65 de la préparation de la guerre contre Israël ........


    ils ont donc eu raison les feuj, de faire leur blitzkrieg de 67 ...... , ce n’était que de la légitime défense pour sauvegarder l'existence de leur patrie


    c'est quand meme vachement débile un bougnoule .......
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      Le 22 octobre 1956, il était derrière l'arrestation des cinq dirigeants du FLN (Ben Bella, Khider, Lacheraf, Boudiaf et Aït Ahmed)

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      • #4
        Le 22 octobre 1956, il était derrière l'arrestation des cinq dirigeants du FLN (Ben Bella, Khider, Lacheraf, Boudiaf et Aït Ahmed)

        ce n'est pas pour défendre le sanguinaire h2, mais on va plus croire la version de Ait Ahmed, que celle de el corso.

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        • #5
          Hassan 2.
          1962 il était derrière la prise du pouvoir par Ben Balla.
          1965 il était derrière le coup d'état de Boumedienne.
          1978 il était derrière la nomination de Chadli président.
          1988 il était derrière le massacre des algérois par Nizzar.
          1992 il était derrière l'arrêt du processus électoral par l'armée.
          1993 il était derrière AIS,GIA et tous les autres groupes armés.
          Avril 1999 il était derrière la nomination de Bouteflika président.
          Une fois qu'il s'est assuré de la présence d'un MAROCAIN à la tête de l'Algérie il s'est laissé mourir le 23 Juillet 1999 le devoir accompli.
          S'il y a d'autres accusations ne vous génez pas il est mort.

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          • #6
            Hassan II serait aussi responsable des attentats du 11 septembre 2011. oeilfermé

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            • #7
              L’héritier Hassan II fils du roi Mohamed V n'a rien a voir avec le détournement de l'avion Rabat-Tunis le Le 22 octobre 1956. C'est les autorités françaises qui ont ordonné au pilote français de l'avion d’atterrir a Alger. N'oublions pas nous algériens nous étions aidés par le Maroc et la Tunisie pour notre indépendance.
              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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              • #8
                Il était aussi derrière les assassinat des intellectuel comme :
                Tahar Djouat, Djilali lyabes, hafid Sanhadri, Lhadi Flici, Omar Belhouchet, Matoub younes...........ect.

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                • #9
                  Il était aussi derrière les assassinat des intellectuel comme :
                  Tahar Djouat, Djilali lyabes, hafid Sanhadri, Lhadi Flici, Omar Belhouchet, Matoub younes.
                  Omar Belhouchet et vivant.
                  Il faut peut-être arrêter ce jeu. La vérité a était établie le 22 Octobre 1956 et c'est la France qui a ordonne le détournement de l'avion du FLN Premier acte de piraterie dans l'histoire de l'aviation civile .
                  Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                  • #10
                    El-hour
                    Autant pour moi.

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                    • #11
                      Les familles royales arabes sont les grands traîtres de la nation.
                      If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
                      You have to have a dream so you can get up in the morning....

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                      • #12
                        @El Corso: " Le 22 octobre 1956, il était derrière l'arrestation des cinq dirigeants du FLN (Ben Bella, Khider, Lacheraf, Boudiaf et Aït Ahmed)"

                        Bien sûr que la complicité marocaine lors de ce premier détournement d'avion de l'histoire est engagée.

                        Sinon, comment expliquer qu'un avion marocain lors de cet épisode du rapt fut sous contrôle total d'un équipage français?

                        Et d'autres énigmes mériteraient d'être examinées et dont la position de Krim Belkacem traitera de "Pieds-nickelés" la délégation algérienne piégé d'un invraisemblable épisode.

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                        • #13
                          Les familles royales arabes sont les grands traîtres de la nation.

                          comme si les présidents roi des républiques monarchiques arabes faisaient mieux....

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                          • #14
                            le sujet c est le rôle de Hassan II dans la victoire d’Israël

                            Commentaire


                            • #15
                              Un autre aspect intéressant qu'il faudrait aussi cogiter consiste savoir pourquoi cette composition algérienne fut invitée à Tunis alors que suite au Congrès de la Soumamm du 20 août 1956, il fut décidé la priorité de "l'intérieur sur l'extérieur"?

                              Donc, les "six otages" algériens (second couteaux) auraient pu donc se sacrifier à internationaliser le combat du peuple algérien d'égard à son indépendance?

                              - De " l'Affaire Ben-Bella " à " l'Affaire Evo Morales " , la piraterie aérienne d'état Française .

                              Quelque soient les dénégations que feront les chefs politiques Français , et en particulier l'ignominie en costume qui usurpe la fonction de Président de la République [ lien ] , le refus de survol du territoire Français par l'avion de la Présidence de la République de l'état plurinational de Bolivie relève de la piraterie aérienne d'état . [ article du site Slate.fr ]

                              La Convention de Vienne sur les relations diplomatiques, signée en 1961, détaille les principes de l’immunité dont jouissent les chefs de mission diplomatique, la plupart du temps les ambassadeurs, et les membres d’une mission diplomatique.

                              Quelque soit notre positionnement par rapport aux événements survenus en Algérie entre 1954 et 1962 , les chefs politique Français viennent de commettre un acte de piraterie aérienne comparable à celui commis lors de l'arraisonnement de l'avion de Ben-Bella en 1956. [ lien ] .
                              Cette décision d'interdire le survol de notre territoire confirme l'alignement Atlantiste des chefs politiques Français [ lien vers article ] , mais aussi Italiens , Espagnols et Portugais .

                              En effet la question essentielle à se poser est : Sur quels éléments de preuve les chefs politiques Français ont pris la décision d'interdire le survol du territoire national par l'avion présidentiel Bolivien?-.

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