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Macron : « Je suis le fruit d’une effraction »

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  • Macron : « Je suis le fruit d’une effraction »

    Le président s’est affirmé indifférent « à ce stade » à sa cote de popularité, soucieux de montrer qu’il continue de faire ce qu’il a dit, sur l’emploi comme sur l’Europe.
    Je « n’oublie pas d’où je viens. Je suis le fruit d’une forme de brutalité de l’histoire, d’une effraction ». Emmanuel Macron a conclu hier sur une note très personnelle deux heures de conversation avec les membres de l’Association de la presse présidentielle. Interrogé sur l’épreuve du pouvoir, il a réfuté l’expression, constatant seulement : « C’est la fin de l’innocence, une certaine solitude, et il n’y a pas le temps pour le répit. »

    Hulot et la morale
    Non, il n’a pas interrogé Nicolas Hulot, à sa nomination au gouvernement, sur la plainte vieille de dix ans. Il en a appelé à « une déontologie collective » contre « une République du soupçon », lançant aux journalistes : « Quand le but d’un contre-pouvoir est de détruire ceux qui exercent le pouvoir, on n’est plus dans une vision équilibrée de la démocratie. »

    Pouvoir d’achat, Carrefour et emploi
    « La véritable politique du pouvoir d’achat, c’est le retour au plein-emploi », a expliqué le président, disant comprendre que certains « attendent de voir pour croire », et n’être donc « pas obsédé, à ce stade », par la baisse de sa cote de popularité.

    Le président a justifié les suppressions d’emploi entraînées par les mutations technologiques, comme dans la grande distribution : « Si je bloque aujourd’hui Carrefour, je prends le risque de mettre en péril toute la société. »

    Europe
    « La recomposition est possible, elle est souhaitable » en Europe, où les grands partis socialiste (PSE) et conservateur (PPE) ont besoin de « clarification idéologique ». Les députés européens « marcheurs » devraient en mai 2019 créer leur propre groupe, pour fédérer sur leur projet.

    Menaces de frappes en Syrie
    Si le régime syrien franchit « la ligne rouge » de l’usage des armes chimiques, « nous frapperons », a martelé le président, promettant une « initiative » française sur le sujet.

    Une forme de transcendance
    Avez-vous la foi ? Emmanuel Macron a d’abord plaidé « une part d’intime », avant d’avouer : « Je crois en une forme de transcendance », l’amenant à « respecter éminemment la place qu’occupent les religions dans notre société ».
    dna

  • #2
    Au fait c'est un avoue que bashar n'avait jamais utiliser d'armes chimique? au final il n'y à pas de preuves alors que on nous rabâchait sans cesse que bashar à gazer son peuple,n'est ce pas du complotisme?

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