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UN BATEAU CHARGÉ D'ENGINS MILITAIRES ET D'ARMES ARRAISONNÉ PAR LA TUNISIE Le feu sous les cendres

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  • UN BATEAU CHARGÉ D'ENGINS MILITAIRES ET D'ARMES ARRAISONNÉ PAR LA TUNISIE Le feu sous les cendres

    La région sous-maghrébine vit dans l'inquiétude depuis que des informations concordantes ont fait état d'un redéploiement du groupe autoproclamé Etat islamique dans le sud de l'Egypte et en Libye, mais aussi en Tunisie.
    Les gardes-côtes tunisiens ont arraisonné vendredi dernier un navire chargé de véhicules blindés et autres matériels militaires qui ne figuraient guère dans l'inventaire de la cargaison. Cette opération a eu lieu dans les eaux territoriales, non loin de la ville de Sfax, distante de quelque 300 km de la Libye voisine où la situation instable profite depuis plusieurs années aux milices et aux groupes terroristes qui sillonnent le pays. Le navire concerné battait pavillon panaméen, comme de bien entendu, et il transportait non seulement des camions et des véhicules blindés destinés au transport de troupes, mais également 24 containers chargés probablement d'armes lourdes et de munitions ainsi que des équipements divers pour les camps militaires éventuels. Autant dire qu'il s'agissait d'une grosse prise dont la finalité évidente peut certes concerner la Libye, mais peut-être aussi des groupes terroristes qui ont essaimé dans le Sahel. Il faut souligner que les douanes tunisiennes sont restées quelque peu évasives sur les constatations opérées, attendant certainement de plus amples révélations dès lors que le bateau reste en cours d'inspection.
    La presse locale s'est précipitée pour évoquer un bateau russe. Auquel cas on pourrait extrapoler en considérant les demandes multiples et répétées du maréchal Haftar qui, désappointé face aux pays occidentaux qui arguent de l'embargo décrété par l'ONU, a sollicité la Russie. Mais on sait que cette dernière a, elle aussi, tempéré ses ardeurs, pour la même raison, estimant à juste titre qu'il ne saurait y avoir deux poids, deux mesures puisque les mêmes attentes du gouvernement d'union conduit par Al Serraj se sont, à leur tour, heurtées à une fin de non-recevoir.
    La région sous-maghrébine vit dans l'inquiétude depuis que des informations concordantes ont fait état d'un redéploiement du groupe autoproclamé Etat islamique dans le sud de l'Egypte et en Libye mais aussi en Tunisie. Qui plus est, les services de sécurité des quatre pays concernés par la menace (Egypte, Libye, Tunisie et Algérie) ont évoqué, sur la base de rapports transmis par leurs collègues des grandes puissances (Etats-Unis, Royaume-Uni, France et Italie, d'un côté, Fédération de Russie, de l'autre), le risque potentiel d'un repli programmé de quelque 5600 combattants de Daesh dans leurs pays d'origine respectifs. Comme on sait qu'il y a eu quelque 3000 Tunisiens et 1623 Marocains embrigadés par le groupe terroriste, une projection la moins alarmiste possible a été effectuée qui dispose que 800 candidats à la «réinsertion» sont déjà soit en Tunisie soit sur le chemin du retour.D'où la sonnette d'alarme tirée à plusieurs reprises par la diplomatie algérienne, lors de différents fora et dans des réunions bilatérales portant sur le conflit libyen. Etant donné le nombre insignifiant d'Algériens concernés par le phénomène (à peine 170), le constat est vite établi qui renvoie à la menace d'infiltration à partir des frontières algéro-tunisienne et algéro-libyenne, notamment. D'où un branle-bas de combat à ce niveau, alors que le degré de l'alerte est déjà au maximum depuis plusieurs années.
    A ceux qui croient que la découverte quotidienne de nouvelles caches d'armes, casemates et autres ateliers de fabrication de bombes artisanales relève d'une volonté de porter la vigilance à son plus haut niveau, il faut comprendre qu'il n'est pas question d'une quelconque stratégie mais que la menace est à la fois tangible et à nos portes. N'eut été l'extrême mobilisation de l'armée sur la totalité des frontières du pays, à l'Est comme à l'Ouest, au Sud comme au Nord, qui sait quels dommages les adeptes de la terre brûlée auraient pu infliger. Pas plus tard qu'hier, cinq soldats et leur capitaine sont tombés en martyrs suite à l'explosion d'une mine dans la région de Tébessa qui jouxte, comme chacun sait, la frontière tunisienne et nourrit un trafic intense de toutes sortes de produits.
    Le mont Chaâmbi, dans le nord de la Tunisie, abrite de nombreuses cellules plus ou moins dormantes du terrorisme. Plus bas, entre la Libye et l'Algérie, des tentatives d'infiltration répétées ont conduit à la mise en place d'un dispositif de surveillance et d'annihilation des transports d'armes et de produits prohibés dont se nourrit la totalité des groupes terroristes.
    Côté ouest, on sait que le Maroc en sa qualité de producteur numéro un mondial de cannabis constitue bon gré mal gré une Mecque idéale pour les groupes terroristes d'où qu'ils viennent, marocains ou
    autres. Régulièrement, Rabat annonce le démantèlement de cellules de Daesh, comme à Fès, mais la narco connexion est telle que les experts, dans leur grande majorité, attribuent à ce commerce illicite le financement direct du terrorisme, de par le monde. C'est bien pour cette raison que l'Algérie ne cesse de militer, dans les grandes arcanes internationales, pour un assèchement volontariste de cette source de financement qui tire sa sève nourricière des 50.000 hectares consacrés par le Maroc à la production du cannabis dont il est le premier pourvoyeur mondial
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    Il faut que l'état Tunisien soit très vigilent car tout le Maghreb est visé par ces terroristes venu d'ailleurs
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      La principal difficulté de cette affaire , le Maroc ne veut pas couper les racines du mal qui finance ces « zombies suceur du sang des innocents »-



      tiré du sujet

      C'est bien pour cette raison que l'Algérie ne cesse de militer, dans les grandes arcanes internationales, pour un assèchement volontariste de cette source de financement qui tire sa sève nourricière des 50.000 hectares consacrés par le Maroc à la production du cannabis dont il est le premier pourvoyeur mondial
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4

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        • #5
          En Tunisie on parle de :
          Un navire géant russe a été arraisonné vendredi dans les eaux territoriales tunisiennes et emmené au port de Sfax, a indiqué une source de la garde douanière.
          Des véhicules blindés et de transport des soldats, des barbelés et de nombreux équipements pour un camp militaire mobile, ont été découverts à l’intérieur du navire a indiqué la même source citée par radio Shems Fm.

          Selon la même source, le navire est arrivé en provenance de Russie et se dirigeait vers le Cameroun. Il a traversé plusieurs pays et aurait vendu des équipements ou cherché à les vendre illégalement, précise-t-on.
          Les unités de la garde douanière à Sfax continuent les investigations pour déterminer le contenu complet de la cargaison.
          Toutefois, jusqu’à présent, aucune arme ni char n’ont été trouvés à l’intérieur de l’embarcation, a précisé la source.
          Tunisie N.

          Mieux toujours citer la source.
          F.E.A.R, has two meanings:Forget everything and runorFace everything and Rise.....Voilà !

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          • #6
            tu en dis quoi houari? et ta petite propagande à deux balles...

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            • #7
              @houari16: " a principal difficulté de cette affaire , le Maroc ne veut pas couper les racines du mal qui finance ces « zombies suceur du sang des innocents »-

              On peut difficilement croire que la dictature marocaine puisse abandonner ses "armes de destructions massives": drogues et immigration.

              - Djamel Ould Abbes à Tlemcen : « La drogue déversée sur l’Algérie plus assassine que les missiles »

              « L’Algérie est visée par le biais de tonnes de drogue déversées à ses frontières », a accusé Djamel Ould Abbes en allusion au Maroc voisin.

              Selon ses propos repris par l’agence officielle, Djamel Ould Abbes a estimé que « ces stupéfiants sont plus assassines que les missiles ou les bombes ».

              « D’où l’impérieuse nécessité de se prémunir de ces dangers par le resserrement des rangs », a-t-il affirmé. Le 20 janvier dernier, au lendemain de la tenue d’une session du conseil national de son parti, Ahmed Ouyahia avait affirmé que « le haschisch qui rentre en Algérie ne vient pas d’Afghanistan ».

              « Tout le monde connaît la provenance de ces substances toxiques en Afrique du Nord. J’avais dit en tant que secrétaire général du parti que j’appliquerais la peine de mort contre les trafiquants de drogues, si la décision me revenait », avait-il déclaré.

              Avant Ouyahia, c’était Abdelkader Messahel qui a accusé le Maroc de blanchir l’argent de la drogue en Afrique-.

              TSA

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              • #8
                posté par oveclocker

                tu en dis quoi houari? et ta petite propagande à deux balles...
                .

                Chabat avait parlé ...C est Chabat qui le dit : le Maroc finance le terrorisme .
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire


                • #9
                  Chabat avait parlé ...C est Chabat qui le dit : le Maroc finance le terrorisme .

                  et tu le crois

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                  • #10
                    Un bateau plein d'armes à 2 000 km du Maroc et eux le glissent dans l'article. Oujouh el9azdir mayhachmouch.

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                    • #11



                      Au sujet de Chabat ..


                      @overclocker

                      et tu le crois
                      .

                      Et Driss Basri ...........



                      DRISS EL BASRI SE MET A TABLE.


                      DRISS BASRI DÉNONCE LES COUPS TORDUS DU PALAIS ROYAL

                      Opérations secrètes en Algérie

                      L’ancien homme fort du Maroc, Driss Basri, vient de révéler que les Services marocains avaient bel et bien «mené quelques opérations contre l’Algérie». Des révélations qui embarrassent le Palais royal qui ne sait quoi faire pour faire taire l’ancien protégé de Hassan II.

                      Détenteur de 25 ans de secrets du Royaume, l’ancien ministre marocain de l’Intérieur (1974-1999), Driss Basri, livre, au fur et à mesure, les dessous des complots marocains contre l’Algérie. Au quotidien espagnol «El Mundo», Basri, 67 ans, réfugié à Paris par crainte de représailles du Makhzen, a indiqué que le Maroc avait lancé, durant plusieurs années, des opérations secrètes contre l’Algérie. Ceci, après avoir divulgué à un autre quotidien espagnol, «ABC», que le Maroc a bien été un sanctuaire pour les terroristes algériens du GIA durant de longues années.

                      Basri ne livre pas la nature de ces opérations, ni les cibles choisies en Algérie, mais le fait de confesser que les Marocains ont bien tenté de déstabiliser les Algériens, probablement lors de la décennie de terrorisme, rend plus explicite la fameuse affirmation de Hassan II qui disait que «l’Algérie est le laboratoire du Maroc» en 1993. Une déclaration qui avait provoqué une glaciation des relations diplomatiques entre Alger et Rabat et qui avait précédé, d’une année, la cabale montée par les Services marocains contre l’Algérie en accusant la sécurité militaire algérienne d’être derrière les attentats de l’hôtel Hasni à Marrakech, en 1994, qui ont abouti à l’expulsion massive des résidants algériens au Maroc et à une fermeture unilatérale des frontières communes en guise de réponse algérienne.

                      Mais Basri, ancien homme de confiance du père de Mohamed VI, va plus loin. Pour lui, le Maroc «partage la responsabilité avec l’ONU» du blocage dans le dossier du Sahara Occidental et que Rabat a multiplié les «erreurs» sur ce dossier, notamment celle qui consiste à ne pas avoir privilégié le référendum onusien et d’avoir négligé le Polisario comme interlocuteur. Ces révélations pèsent lourd dans la bouche de celui qui contrôlait l’ensemble de l’appareil de sécurité du Royaume. L’homme sait de quoi il parle en indiquant que le Maroc a lancé des opérations contre l’Algérie et ce n’est pas par hasard si le Palais royal tente de le faire taire par tous les moyens.

                      Exilé à Paris, Basri n’est pas au bout de ses peines. Son passeport a expiré et sa carte de résidence en France va l’être également. Les Français lui assurent une protection physique à travers la DST française mais ne peuvent guère faire plus comme lui octroyer la nationalité française qu’il avait demandée. Car Rabat veille au grain et accable Basri et ses réseaux, accusés de tous les maux du Royaume. Son fils, Hicham Basri, a été mouillé dans une vaste affaire de détournement de fonds et d’escroquerie bancaire. Mohamed VI ayant accepté de donner le feu vert afin que la police marocaine actionne Interpol afin de lancer un mandat d’arrêt international contre le fils Basri qui s’est réfugié en Suisse. Vingt membres du clan Basri sont en prison pour les mêmes raisons et Rabat multiplie les pressions afin que Basri n’édite pas ses mémoires que les spécialistes du Maghreb promettent explosives.

                      Pour briser ce joug imposé par le Palais royal, Driss Basri multiplie, de son côté, les interviews. Il distille ces révélations qui éclaboussent tout l’appareil de sécurité et l’armée marocaine dont les généraux les plus puissants, notamment Lanigri et Benslimane, ont juré d’avoir sa peau. Car Basri met le doigt sur les plaies du Maroc. Pour lui, les attentats de mai 2003 de Casablanca étaient «prévisibles» du fait de la montée en puissance d’un extrémisme islamiste au Royaume que le souverain a refusé de voir venir. Pour Basri, les réformes «démocratiques» sont de la poudre aux yeux et le Royaume est exsangue et risque l’implosion. Un discours en contradiction avec l’image sereine et réformatrice que veut promouvoir Mohamed VI qui ne sait plus quoi faire de l’homme qu’il a éjecté en 1999, aussitôt arrivé au pouvoir.

                      A Alger, on suit avec une certaine ironie les coups de boutoir de Basri à la famille alaouite. Pour une fois, un haut responsable marocain brise l’omerta pour accréditer les craintes algériennes quant au rôle trouble joué par Rabat durant les années de terrorisme. Beaucoup d’affaires demeurent dans les tiroirs des affaires étrangères algériennes. La manipulation du premier émir du GIA, Abdelhak Layada, que les Services marocains ont tenté de recruter afin que les terroristes algériens procèdent aux liquidations des opposants marocains et des cadres du Polisario à Alger. Les déplacements incessants des groupes du GIA à l’ouest au delà des frontières communes. La fuite de plusieurs islamistes recherchés entre 1992 et 1993 via le Maroc dont les fondateurs du mouvement les «Afghans algériens», Kamerdinne Kherbane, Abous Anas, Rabah Kébir, Anwar Heddam, les fils de Abassi Madani qui ont tous rallié l’Europe en transitant par un Maroc sécurisé. Les deals passés par les Services marocains avec des islamistes détenus au Royaume. Les réseaux de trafic de drogue pour inonder l’Algérie de cannabis depuis Oujda. L’énigmatique attaque contre l’usine de l’ENIE de Telagh et le vol de plusieurs milliers de composants électroniques revendus à Casablanca par le GIA. Beaucoup trop d’affaires sur lesquelles Alger garde le silence afin de ne pas compromettre les relations avec le voisin de l’ouest et ne pas saper les efforts diplomatiques du président Bouteflika à «récupérer» un roi du Maroc pris en otage par les «faucons» de l’armée.
                      .

                      *Beaucoup d’affaires demeurent dans les tiroirs des affaires étrangères algériennes




                      __________________
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                      • #12
                        arrête ton cirque houari...

                        le fis a gagné en 91 qui l'a destitué ? qui a fait regretté aux algériens leurs choix avec la fameuse décennie de la peur, peur qui continue jusqu'aujourd'hui.

                        qui les amnistié tout les tangos ??? qui ressort le film de la décennie noir à chaque fois??


                        les mêmes qui dirigent ton pays depuis 62, les déchets harkis de la france...


                        de grace, ne prend pas les forumeurs de nouilles....on est en 2018...

                        Commentaire


                        • #13
                          La vérité titillent les méninges marocains


                          posté par overclocker

                          de grace, ne prend pas les forumeurs de nouilles....on est en 2018...
                          ..


                          Plutot


                          Les nouilles , se sont les FAR qui se rouillent LE LONG DU MUR DE LA HONTE ,...
                          ainsi ceux qui enchantent dans le vide émir El mounafiqine .. ..
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #14
                            arrête ton cirque houari...

                            le fis a gagné en 91 qui l'a destitué ? qui a fait regretté aux algériens leurs choix avec la fameuse décennie de la peur, peur qui continue jusqu'aujourd'hui.

                            qui les amnistié tout les tangos ??? qui ressort le film de la décennie noir à chaque fois??


                            les mêmes qui dirigent ton pays depuis 62, les déchets harkis de la france...


                            de grace, ne prend pas les forumeurs de nouilles....on est en 2018...

                            Commentaire


                            • #15
                              La vérité blesse ..



                              @overclocker


                              *Les nouilles , se sont les FAR qui se rouillent LE LONG DU MUR DE LA HONTE ,...Colonisation forcée

                              ainsi ceux qui enchantent dans le vide émir El mounafiqine .. ..

                              Chabat avait parlé , ainsi Chabat ....

                              La Tunisie , la la Libye et l Algérie ..déstabilisées par le Maroc
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                              Commentaire

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