C'est le moment que les deux voleurs (UE-Maroc) des produits marins de la RASD se réveillent en dépit que l'affaire soit entendue.
Quant à la prétendue souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental, elle n'a jamais existé et n'existera jamais. Pas plus celle d'Israël sur les territoires occupés palestiniens.
- A en croire les conclusions de son avocat général, l'arrêt à venir de la CJUE sur l'accord de pêche avec l'UE est mal engagé pour le Maroc. Les conséquences pourraient être lourdes. Néanmoins, le Maroc s'organise pour lancer un vaste débat européen sur la question.
Le 27 février, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) rendra un arrêt crucial pour le futur des relations maroco-européennes et le dossier du Sahara. En se prononçant sur la validité du protocole de pêche signé entre le Maroc et l’Union européenne (UE), c’est en fait la souveraineté du Maroc sur le Sahara qui est en procès au Luxembourg. Les conclusions de Melchior Wathelet, avocat général de la CJUE, en prévision de ce nouvel arrêt ne laissent présager rien de bon pour la "question nationale" marocaine.
Il estime en effet dans son avis publié le 10 janvier que ledit protocole de pêche est "invalide", car il viole "le doit du peuple du Sahara occidental à l’autodétermination"-.
Tel Quel
Quant à la prétendue souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental, elle n'a jamais existé et n'existera jamais. Pas plus celle d'Israël sur les territoires occupés palestiniens.
- A en croire les conclusions de son avocat général, l'arrêt à venir de la CJUE sur l'accord de pêche avec l'UE est mal engagé pour le Maroc. Les conséquences pourraient être lourdes. Néanmoins, le Maroc s'organise pour lancer un vaste débat européen sur la question.
Le 27 février, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) rendra un arrêt crucial pour le futur des relations maroco-européennes et le dossier du Sahara. En se prononçant sur la validité du protocole de pêche signé entre le Maroc et l’Union européenne (UE), c’est en fait la souveraineté du Maroc sur le Sahara qui est en procès au Luxembourg. Les conclusions de Melchior Wathelet, avocat général de la CJUE, en prévision de ce nouvel arrêt ne laissent présager rien de bon pour la "question nationale" marocaine.
Il estime en effet dans son avis publié le 10 janvier que ledit protocole de pêche est "invalide", car il viole "le doit du peuple du Sahara occidental à l’autodétermination"-.
Tel Quel
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