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Gérard Depardieu : "Je vais bientôt habiter en Algérie"
Dans une interview accordée à La Provence, l’acteur est également revenu sur ses propos polémiques sur les Algériens qui habitent à Marseille.
Dans une interview accordée à La Provence à l'occasion de la présentation de la saison 2 de la série Marseille, Gérard Depardieu est revenu sur ses propos polémiques sur les Algériens qui habitent à Marseille, lancés le 13 février dernier dans Quotidien. "Les Algériens qui vivent à Marseille ne pourraient pas se comporter comme ils se comportent à Marseille en Algérie", avait-il déclaré.
"Je vais bientôt habiter en Algérie"
"Cela a peut-être été mal compris", a expliqué l’acteur dans La Provence. "Je vais bientôt habiter en Algérie, comme Éric Cantona d'ailleurs, qui habite à Oran. J'ai choisi Alger", a-t-il annoncé, affirmant que "c'est un pays splendide".
Et d’expliquer ses propos lancés dans Quotidien : "Ce que j'ai voulu dire, c'est que les Algériens de Marseille n'oseraient pas dire le quart de ce qu'ils disent, en Algérie.
Le sens du respect se perd. Il est beaucoup plus marqué là-bas". "Je me suis intéressé à l'histoire de l'Algérie. C'est un peuple d'une grande intelligence qui a été bousculé par une armée d'analphabètes en 1830", a-t-il conclu.
Lu sur La Provence
Dans une interview accordée à La Provence, l’acteur est également revenu sur ses propos polémiques sur les Algériens qui habitent à Marseille.
Dans une interview accordée à La Provence à l'occasion de la présentation de la saison 2 de la série Marseille, Gérard Depardieu est revenu sur ses propos polémiques sur les Algériens qui habitent à Marseille, lancés le 13 février dernier dans Quotidien. "Les Algériens qui vivent à Marseille ne pourraient pas se comporter comme ils se comportent à Marseille en Algérie", avait-il déclaré.
"Je vais bientôt habiter en Algérie"
"Cela a peut-être été mal compris", a expliqué l’acteur dans La Provence. "Je vais bientôt habiter en Algérie, comme Éric Cantona d'ailleurs, qui habite à Oran. J'ai choisi Alger", a-t-il annoncé, affirmant que "c'est un pays splendide".
Et d’expliquer ses propos lancés dans Quotidien : "Ce que j'ai voulu dire, c'est que les Algériens de Marseille n'oseraient pas dire le quart de ce qu'ils disent, en Algérie.
Le sens du respect se perd. Il est beaucoup plus marqué là-bas". "Je me suis intéressé à l'histoire de l'Algérie. C'est un peuple d'une grande intelligence qui a été bousculé par une armée d'analphabètes en 1830", a-t-il conclu.
Lu sur La Provence
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