L’armée syrienne du président Bachar al-Assad a tué lundi 127 civils et fait 450 blessés en pilonnant la région de la Ghouta orientale. Ce mardi, au moins 45 civils, dont 12 enfants, ont péri au même endroit.
Au moins 127 civils, dont des dizaines d'enfants, ont été tués lundi dans des bombardements intensifs du régime syrien sur l’enclave rebelle de la Ghouta orientale près de Damas. Il y a également 450 blessés.
Ce mardi, au moins 45 autres civils, dont 12 enfants, ont péri au même endroit. En parallèle, deux civils sont morts à Damas dans des frappes rebelles contre la capitale.
L'ONU réclame l'arrêt immédiat de ces bombardements
L’ONU a réclamé dans la nuit l’arrêt immédiat des bombardements de l’armée syrienne sur cette enclave rebelle, où sont assiégés plus de 400 000 personnes dans des conditions humanitaires dramatiques.
L’opposition syrienne en exil a dénoncé « une guerre d’extermination » et le « silence international » face aux « crimes » du pouvoir Assad dans la guerre qui ravage la Syrie depuis près de sept ans.
C’est le plus lourd bilan des pertes civiles en une journée dans les combats dans cette région depuis début 2015, a indiqué le directeur de l’l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane.
Ce carnage s’est produit alors que le régime renforce ses positions autour de l’enclave assiégée qui laisse présager une offensive terrestre.
Les raids aériens et le pilonnage de l’artillerie continuent sur plusieurs villes de cette région assiégée depuis 2013 par le régime et en proie à des pénuries.
« Il est impératif de mettre fin immédiatement à cette souffrance humaine insensée », a dit le coordinateur de l’ONU pour l’aide humanitaire en Syrie, Panos Moumtzis.
« La récente escalade de la violence aggrave une situation humanitaire déjà précaire pour les 393 000 habitants de la Ghouta orientale, dont beaucoup sont des personnes déplacées », a souligné M. Moumtzis.
Le Dauphiné.com
Au moins 127 civils, dont des dizaines d'enfants, ont été tués lundi dans des bombardements intensifs du régime syrien sur l’enclave rebelle de la Ghouta orientale près de Damas. Il y a également 450 blessés.
Ce mardi, au moins 45 autres civils, dont 12 enfants, ont péri au même endroit. En parallèle, deux civils sont morts à Damas dans des frappes rebelles contre la capitale.
L'ONU réclame l'arrêt immédiat de ces bombardements
L’ONU a réclamé dans la nuit l’arrêt immédiat des bombardements de l’armée syrienne sur cette enclave rebelle, où sont assiégés plus de 400 000 personnes dans des conditions humanitaires dramatiques.
L’opposition syrienne en exil a dénoncé « une guerre d’extermination » et le « silence international » face aux « crimes » du pouvoir Assad dans la guerre qui ravage la Syrie depuis près de sept ans.
C’est le plus lourd bilan des pertes civiles en une journée dans les combats dans cette région depuis début 2015, a indiqué le directeur de l’l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane.
Ce carnage s’est produit alors que le régime renforce ses positions autour de l’enclave assiégée qui laisse présager une offensive terrestre.
Les raids aériens et le pilonnage de l’artillerie continuent sur plusieurs villes de cette région assiégée depuis 2013 par le régime et en proie à des pénuries.
« Il est impératif de mettre fin immédiatement à cette souffrance humaine insensée », a dit le coordinateur de l’ONU pour l’aide humanitaire en Syrie, Panos Moumtzis.
« La récente escalade de la violence aggrave une situation humanitaire déjà précaire pour les 393 000 habitants de la Ghouta orientale, dont beaucoup sont des personnes déplacées », a souligné M. Moumtzis.
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