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LE NIET DES ENSEIGNANTS DU CNAPESTE ET DES MÉDECINS RÉSIDENTS Qui tire les ficelles?

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  • LE NIET DES ENSEIGNANTS DU CNAPESTE ET DES MÉDECINS RÉSIDENTS Qui tire les ficelles?

    L'Algérie a déjà mis en échec toutes les attaques qui l'ont visée. Le chaos sera à chaque fois évité grâce à la maturité du peuple qui refuse de mettre le pays en danger. Il faut s'attendre à une riposte féroce des Algériens lorsqu'il s'agit de leur patrie.

    Au théâtre, il y a les souffleurs en coulisses. Chez les marionnettes, il y a les tireurs de ficelles. Dans la vie, ils sont pareillement cachés, mais puissants. Ils, ce sont les personnages de l'ombre qui complotent derrière le rideau et tentent de faire et de défaire le monde. Aujourd'hui, l'Algérie semble être considérée comme un théâtre à ciel ouvert et les tentatives de manipulations montent en escalade. Tous les ingrédients d'une conspiration semblent être réunis et il ne s'agit pas là des propos d'un fasciné de la théorie du complot. Pour preuve. L'agitation sociale qui n'enregistre pas d'accalmie depuis des mois, avance à petits pas vers une situation de chaos. Le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'éducation (Cnapeste) ou encore le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) qui paralysent deux secteurs vitaux dans le pays, à savoir l'éducation et la santé, sont en débrayage depuis plus de trois mois! Leur niet catégorique malgré tous les efforts du gouvernement à trouver un terrain d'entente, laisse perplexe. Le soutien qu'apportent les autres formations syndicales à ces deux organisations, qui pouvait, dans un premier temps, être considéré comme une solidarité entre travailleurs ou même comme une surenchère syndicale, semble en fin de compte cacher des desseins inavoués. De deux syndicats au début, à cinq ensuite, elles seront 11 organisations syndicales à observer une grève générale le 4 avril prochain. Une date qui n'a sûrement pas été choisie par hasard. Elle va, sans doute, coïncider avec la visite du Bureau international du travail, invité en Algérie par ces mêmes syndicats en grève. L'observation d'une grève en cette date, à moins d'un mois des examens blancs dans les trois paliers, est l'annonce même de l'année blanche. La peur qui hante les parents d'élèves et les élèves se fait déjà sentir. Après les sit-in et les rassemblements de leurs parents dans plusieurs wilayas, hier, ce sont les élèves qui ont occupé les rues de la capitale. Et pour couronner le tout. Il y a l'ingrédient essentiel de cette potion magique qui vise la déstabilisation de l'Algérie. Il s'agit d'une information rapportée par le site Casbah-Tribune faisant état de la fermeture d'un restaurant pour avoir abrité la réunion d'une Organisation non gouvernementale américaine, la National démocratic institute (NDI), pour ne pas la nommer. Qui est la NDI? L'ONG, qui active certes, en toute légalité en Algérie, se définit comme «une organisation non gouvernementale qui oeuvre pour le renforcement et le développement de la démocratie à travers le monde (...) le NDI accorde un appui pratique aux leaders politiques et dirigeants de la société civile qui travaillent à l'établissement de valeurs et institutions démocratiques dans leurs pays (...) elle apporte son appui à l'édification d'institutions stables (...) et oeuvre en vue de favoriser la tenue d'élections libres et démocratiques». Cependant et une simple petite recherche sur le Net permet de lire des documents classés secrets et qui prouvent que la NDI a été derrière la provocation des «printemps arabes». Il y a, à titre d'exemple, le document rendu public par un think tank américain qui révèle que le «printemps arabe est loin d'être un mouvement spontané de populations avides de changements politiques, mais bel et bien une reconfiguration mûrement réfléchie et orchestrée par l'administration américaine». L'organisation Middle East Briefing (MEB), qui se base sur un rapport officiel du département d'Etat, confirme que les stratégies visant la défection des régimes dans les pays ciblés se sont appuyées sur «les organisations non gouvernementales (ONG) (...)». La NDI à l'instar d'IRI ou encore Freedom House et Human Rights sont des organismes par le biais desquels la National Endowment for Democracy (NED) a octroyé des subventions. La NED fait partie d'un ensemble d'organismes américains dédiés à l'«exportation de la démocratie» financés par le gouvernement américain. Et les bonnes questions doivent être posées: Pourquoi est-ce que le restaurant a été scellé? Les pouvoirs publics doivent avoir une raison valable pour l'avoir fait. La NDI a-t-elle tenu une réunion que l'on peut qualifier de «clandestine»? Et à quel propos? L'ONG cherche-t-elle à poursuivre un travail qu'elle n'a pas réussi à accomplir en 2011 en Algérie? Ni d'ailleurs les années qui ont suivi? Car faut-il rappeler la tentative de déstabilisation de 2017 dont l'étincelle avait éclaté à Béjaïa avec une manifestation contre la loi de finances. Les rumeurs ont fait que la grogne a failli s'étendre à Alger et à Tiaret où des agitations ont été enregistrées. Les services de sécurité avaient même découvert à l'époque un atelier clandestin de cocktails Molotov. Ailleurs, à Ghardaïa, des espions africains qui espionnaient pour le compte d'Israël, ont également été arrêtés. Les tentatives de déstabilisation sont nombreuses et ne sont pas toutes rendues publiques par les services de sécurité. Ce qui confirme donc que tous les ingrédients du complot sont bien là. Qui sont les tireurs de ficelles ici et ailleurs? Qui est le chef d'orchestre? Certes, un article de presse ne peut répondre à ces questions. Il peut cependant rappeler que l'Algérie a déjà mis en échec toutes les attaques qui l'ont visée. En premier lieu, celle qui lui a valu une «guerre fratricide» et plus de 200.000 morts. Il y a encore celle de 2011, évitée grâce à la maturité du peuple qui refuse d'occuper la rue au risque de mener le pays vers le chaos. L'Algérien est loin d'aspirer à revivre la violence. Ce refus, le peuple l'a déjà exprimé clairement en restant à l'écart des révolutions arabes. Il espère, après son vote massif pour la Réconciliation nationale, ne jamais revivre l'expérience de la décennie noire. Il faut s'attendre donc à une riposte féroce du peuple lorsqu'il s'agit de sa patrie.

    l.expression
    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

  • #2
    en gros les enseignants et médecins algériens sont a la solde de la "main étrangère"???contre un cinquième mandat de bouteflika représente la stabilité et "el izdihar"???
    « Puis-je rendre ma vie
    Semblable à une flûte de roseau
    Simple et droite
    Et toute remplie de musique »

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    • #3
      tamerlan
      en gros les enseignants et médecins algériens sont a la solde de la "main étrangère"???contre un cinquième mandat de bouteflika représente la stabilité et "el izdihar"???
      Non ! désolée mais pour la grève des enseignants (du moins) c'est bien le contraire que ces médias subodorent.C'est bien une utilisation de cette grève par des clans en sous main pour la prochaine présidentielle.

      Ils utilisent nos enfants pour leurs propres desseins. Et c'est nous, la populace qui payons les pots cassés et nos enfants qui perdent leur avenir à cause ces grèves illimitées irréalistes et inconséquentes et à répétition.

      Ils n'en ont rien à foutre de l'avenir de nos enfants. Leur avenir à court terme passe avant tout.
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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      • #4
        en gros les enseignants et médecins algériens sont a la solde de la "main étrangère"???contre un cinquième mandat de bouteflika représente la stabilité et "el izdihar"???
        Tout ce qui contrarie les desseins de la nomenklatura relève de la même veine!...
        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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        • #5
          Tamerlan, hadi ghiba...

          en gros les enseignants et médecins algériens sont a la solde de la "main étrangère"???contre un cinquième mandat de bouteflika représente la stabilité et "el izdihar"???
          Et oui, le journaleux de l'expression croit avoir inventé la roue. Cette thèse date des années 62, juste à l'indépendance de l'Algérie, Ben Bella a appelé les Algériens à se méfier de la main étrangère qui nous veut du mal.

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