Tweet
La deuxième édition de «Algiers Startup Conference» a été organisée hier à l’hôtel El-Aurassi. Elle a vu la participation de 1 400 personnes. Voici quelques applications développées par de jeunes entrepreneurs qui sont conçues pour faciliter le quotidien des usagers.
Organisée par la wilaya d’Alger en partenariat avec l’incubateur Sylab et placée cette année sous le signe «Se donner les moyens de réussir», la deuxième édition de «Algiers Startup Conference» a vu la participation de 1 400 personnes dont 600 jeunes entrepreneurs et 400 étudiants.
L’on compte parmi les participants des porteurs d’idées incubées dans le cadre du projet «Smart City (la cité intelligente» initié par la wilaya mais aussi des exposants présentant des prestations de services développées avec le soutien d’autres incubateurs.
Certes, ce sont des prestations qu’on trouve ailleurs dans le monde pour la plupart d’entre elles et qui sont adaptées aux usagers algériens. Mais, elles sont surtout susceptibles de faciliter le quotidien de ces usagers. «Nous développons, mon binôme et moi, dans le cadre de notre projet de fin d’études, un composant électronique connecté pour relevés de compteur à distance. C’est une solution à l’une des problématiques posées par la cité intelligente.
Le composant devrait équiper les compteurs d’eau et d’électricité pour effectuer les relevés à distance et éviter aux entreprises prestataires ainsi qu’à leurs abonnés les désagréments liés à cette relève», a expliqué Mohamed-Amine Kendi, étudiant en électronique de l’Ecole nationale polytechnique.
D’autres applications sont déjà commercialisées à l’image de «Nbatou (Nous passons la nuit» qui se place sur le marché de l’hébergement vacances.
Cette application web met en relation des particuliers de locaux à des vacanciers à la recherche de bonnes affaires et qui ne s’accommodent pas avec les prestations fournies par les hôtels.
Elle le fait moyennant un pourcentage prélevé sur le prix de la location. «Nous lançons bientôt notre application mobile», a indiqué Rami Zemmouchi, 23 ans, digital manager de la startup.
L’on cite aussi «Rhino Tenders», positionnée celle-là sur le marché de l’information économique. C’est une plateforme de mise en relation entre professionnels autour d’appels d’offres, consultations et commandes et achats.
«En plus du Bulletin des marchés de l’opérateur public ainsi que celui de l’énergie et des mines, nous comptons 500 entreprises publiques et privées qui publient chez nous des annonces à la recherche de prestataires de services. Nous sommes abonnés à tous les journaux où sont publiées les annonces légales que nous mettons au service de nos clients en temps réel, contrairement au Bomop par exemple qui diffuse les annonces carrément deux semaines après leur publication dans les journaux», a expliqué Saïd Hamdani qui manage Merid Technology, la startup qui commercialise la prestation en question.
Last but not least, l’agence de communication Elite inc. a développé une autre prestation au profit des étudiants. Elle n’est pas encore payante mais, elle le sera bientôt, selon un développeur de l’agence. Il s’agit de «etudz».
L’agence met en ligne à travers ce service des vidéos de conférences, des polycopiés de cours et des quiz qui permettent aux étudiants de poser des questions directement à des enseignants. «Pour le moment, nos contenus concernent les filières scientifiques, mais, nous élargissons au fur et à mesure nos contenus à d’autres filières de sciences humaines», a-t-on appris au stand de l’agence.
par Lyas Hallas
le Soir
Organisée par la wilaya d’Alger en partenariat avec l’incubateur Sylab et placée cette année sous le signe «Se donner les moyens de réussir», la deuxième édition de «Algiers Startup Conference» a vu la participation de 1 400 personnes dont 600 jeunes entrepreneurs et 400 étudiants.
L’on compte parmi les participants des porteurs d’idées incubées dans le cadre du projet «Smart City (la cité intelligente» initié par la wilaya mais aussi des exposants présentant des prestations de services développées avec le soutien d’autres incubateurs.
Certes, ce sont des prestations qu’on trouve ailleurs dans le monde pour la plupart d’entre elles et qui sont adaptées aux usagers algériens. Mais, elles sont surtout susceptibles de faciliter le quotidien de ces usagers. «Nous développons, mon binôme et moi, dans le cadre de notre projet de fin d’études, un composant électronique connecté pour relevés de compteur à distance. C’est une solution à l’une des problématiques posées par la cité intelligente.
Le composant devrait équiper les compteurs d’eau et d’électricité pour effectuer les relevés à distance et éviter aux entreprises prestataires ainsi qu’à leurs abonnés les désagréments liés à cette relève», a expliqué Mohamed-Amine Kendi, étudiant en électronique de l’Ecole nationale polytechnique.
D’autres applications sont déjà commercialisées à l’image de «Nbatou (Nous passons la nuit» qui se place sur le marché de l’hébergement vacances.
Cette application web met en relation des particuliers de locaux à des vacanciers à la recherche de bonnes affaires et qui ne s’accommodent pas avec les prestations fournies par les hôtels.
Elle le fait moyennant un pourcentage prélevé sur le prix de la location. «Nous lançons bientôt notre application mobile», a indiqué Rami Zemmouchi, 23 ans, digital manager de la startup.
L’on cite aussi «Rhino Tenders», positionnée celle-là sur le marché de l’information économique. C’est une plateforme de mise en relation entre professionnels autour d’appels d’offres, consultations et commandes et achats.
«En plus du Bulletin des marchés de l’opérateur public ainsi que celui de l’énergie et des mines, nous comptons 500 entreprises publiques et privées qui publient chez nous des annonces à la recherche de prestataires de services. Nous sommes abonnés à tous les journaux où sont publiées les annonces légales que nous mettons au service de nos clients en temps réel, contrairement au Bomop par exemple qui diffuse les annonces carrément deux semaines après leur publication dans les journaux», a expliqué Saïd Hamdani qui manage Merid Technology, la startup qui commercialise la prestation en question.
Last but not least, l’agence de communication Elite inc. a développé une autre prestation au profit des étudiants. Elle n’est pas encore payante mais, elle le sera bientôt, selon un développeur de l’agence. Il s’agit de «etudz».
L’agence met en ligne à travers ce service des vidéos de conférences, des polycopiés de cours et des quiz qui permettent aux étudiants de poser des questions directement à des enseignants. «Pour le moment, nos contenus concernent les filières scientifiques, mais, nous élargissons au fur et à mesure nos contenus à d’autres filières de sciences humaines», a-t-on appris au stand de l’agence.
par Lyas Hallas
le Soir
Commentaire