C’est effrayant de penser qu’il y ait de choses qui font et se défont avec des mots; ils sont tellement éloignés de nous, enfermés dans l’éternel à-peu-près de leur existence secondaire, indifférents à nos extrêmes besoins; ils reculent au moment où nous les saisissons, ils ont leur vie à eux et nous la nôtre*.
Le bureau de Saïd BOUTEFLIKA est de plus en plus désert. Les absences longues et répétées du frère conseiller ont éveillé les soupçons de son entourage amical et professionnel mais aussi celui de certains membres du Département des Renseignements Spéciaux, DRS, qui ne sont jamais très loin de l’imposant palais d’El Mouradia.
Désormais, quand le benjamin de ses nombreux frères et sœurs, fait irruption dans son service, ce n’est plus pour longtemps. Quand il entre dans ses bureaux, c’est souvent pour squatter l’arrière chambre où se trouvent notamment ses toilettes privées. Des problèmes gastriques l’indisposent fréquemment.
Tantôt préoccupés, tantôt interrogatifs, ses personnels y compris sa garde rapprochée sont surtout stupéfaits devant l’humeur versatile de leur patron. Saïd Bouteflika est parfois comme par son habitude, autoritaire, rabaissant, humiliant, et parfois peu bavard et moins regardant. Il est de même pour son apparence physique qui connait un véritable effet yoyo ces derniers mois. Et son visage parfois tuméfié aux rides bien marquées, parfois gonflé quand il subit une séance de chimio.
L’homme le plus détesté des Algériens est atteint d’un cancer du pancréas. Cette information a été vérifiée par le correspondant de CNP news auprès de deux sources concordantes. Le personnage tristement célèbre subit depuis quelques mois un traitement aux corticoïdes couplé de séances de chimiothérapie.
Les prises de tête avec sa directrice de communication ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Farida BESSA, une femme au caractère très trompé et la langue rarement dans la poche serait est à la fois inquiète pour son poste et la richesse amassée illicitement et à la fois soulagée de ne plus devoir ménager un véritable tyran. « Elle ne sait plus si elle doit s’en réjouir ou pleurer » lance une employée de la présidence à un membre du protocole.
Le presque secret de polichinelle nous a permis de savoir que c’est à la clinique de Genolier, située à 30 km de Genève dans la commune de Genolier du canton de Vaud, que Saïd BOUTEFLIKA a choisi de recevoir son traitement et son suivi médical. Quand nous avons pris contact avec le service de cancérologie de la clinique afin d’obtenir d’amples renseignements sur la maladie de Saïd Bouteflika, la réponse était prévisible, le serment d’Hippocrate oblige de garder le secret médical en toutes circonstances. Nous ne saurons pas davantage sur les détails de la maladie de Saïd BOUTEFLIKA mais si cette information se confirme, l’Algérie fermera-t-elle la page la plus sombre de son histoire ?
W.B.
Le bureau de Saïd BOUTEFLIKA est de plus en plus désert. Les absences longues et répétées du frère conseiller ont éveillé les soupçons de son entourage amical et professionnel mais aussi celui de certains membres du Département des Renseignements Spéciaux, DRS, qui ne sont jamais très loin de l’imposant palais d’El Mouradia.
Désormais, quand le benjamin de ses nombreux frères et sœurs, fait irruption dans son service, ce n’est plus pour longtemps. Quand il entre dans ses bureaux, c’est souvent pour squatter l’arrière chambre où se trouvent notamment ses toilettes privées. Des problèmes gastriques l’indisposent fréquemment.
Tantôt préoccupés, tantôt interrogatifs, ses personnels y compris sa garde rapprochée sont surtout stupéfaits devant l’humeur versatile de leur patron. Saïd Bouteflika est parfois comme par son habitude, autoritaire, rabaissant, humiliant, et parfois peu bavard et moins regardant. Il est de même pour son apparence physique qui connait un véritable effet yoyo ces derniers mois. Et son visage parfois tuméfié aux rides bien marquées, parfois gonflé quand il subit une séance de chimio.
L’homme le plus détesté des Algériens est atteint d’un cancer du pancréas. Cette information a été vérifiée par le correspondant de CNP news auprès de deux sources concordantes. Le personnage tristement célèbre subit depuis quelques mois un traitement aux corticoïdes couplé de séances de chimiothérapie.
Les prises de tête avec sa directrice de communication ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Farida BESSA, une femme au caractère très trompé et la langue rarement dans la poche serait est à la fois inquiète pour son poste et la richesse amassée illicitement et à la fois soulagée de ne plus devoir ménager un véritable tyran. « Elle ne sait plus si elle doit s’en réjouir ou pleurer » lance une employée de la présidence à un membre du protocole.
Le presque secret de polichinelle nous a permis de savoir que c’est à la clinique de Genolier, située à 30 km de Genève dans la commune de Genolier du canton de Vaud, que Saïd BOUTEFLIKA a choisi de recevoir son traitement et son suivi médical. Quand nous avons pris contact avec le service de cancérologie de la clinique afin d’obtenir d’amples renseignements sur la maladie de Saïd Bouteflika, la réponse était prévisible, le serment d’Hippocrate oblige de garder le secret médical en toutes circonstances. Nous ne saurons pas davantage sur les détails de la maladie de Saïd BOUTEFLIKA mais si cette information se confirme, l’Algérie fermera-t-elle la page la plus sombre de son histoire ?
W.B.
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