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Défaillances d'entreprises: Le Maroc parmi les pires taux mondiaux en 2018

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  • Défaillances d'entreprises: Le Maroc parmi les pires taux mondiaux en 2018

    Défaillances d'entreprises: Le Maroc parmi les pires taux mondiaux en 2018
    Lundi 5 mars 2018

    Avec son Indice global des défaillances, Euler Hermes, prédit l'évolution des défaillances d'entreprises dans 43 pays dont le Maroc.

    Selon le groupe d'assurance crédit, la tendance à la baisse des défaillances dans le monde a connu une pause en 2017 (+1%), due à un rebond des faillites en Asie et dans les marchés émergents (Russie et Brésil notamment).

    Mais ce repli des défaillances devrait reprendre dès 2018 (-1%), grâce à l'amélioration de la conjoncture économique mondiale.

    Par ailleurs, en 2018, le Maroc figure parmi les pays qui enregistreront les plus fortes hausses de défaillances (+8% contre +12% en 2017), aux côtés de la Chine (+10%), le Royaume-Uni (+8%), la Roumanie (+7%), et la Pologne (+5%), selon Euler Hermes.


  • #2
    Dans la liste des 43 pays le Maroc seul clignoté jawzia..jawzia..jawzia. Remarque c'est écrit tellement petit il fallait ça pour attiré ton attention.
    L'Algérie ne risque pas la défaillance il n y a pas d'entreprises.

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    • #3
      La CJUE les a mis dans un état d'hystérie ... Bref !!! Revenons au sujet :

      Défaillances d’entreprises: Le poison c’est le délai de paiement
      Par Fatim-Zahra TOHRY | Edition N°:5223 Le 06/03/2018

      L’avis de Hicham Bensaid Alaoui, directeur des Risques, de l’Information, des Sinistres et du Recouvrement d’Euler Hermes Acmar (Ph. Euler Hermes Acmar)

      - L’Economiste: Le Maroc figure parmi les pays qui devraient enregistrer, cette année, les plus fortes hausses de défaillances d’entreprises. Ce n’est pas forcément rassurant…
      - Hicham Bensaid Alaoui: Une telle tendance renseigne bien entendu sur le contexte économique actuel, délicat, lui-même induit par certains facteurs structurels (faible disponibilité de matières premières, tissu industriel peu étoffé, qualification moyenne de la main d’œuvre, taux d’intégration industrielle encore en consolidation…) autant que conjoncturels (faible facture pluviométrique, vacance gouvernementale…). Même si de tels chiffres de défaillances d’entreprises appellent de prime abord à l’introspection, voire à une certaine appréhension, il est également possible de les considérer comme une sorte de ‘purge’ touchant certaines entités aux fondamentaux somme toute fragiles; ce qui pourrait contribuer, à terme, à assainir certains secteurs d’activité.

      - Quels sont les principaux secteurs et les régions qui sont les plus touchés?
      - Les secteurs les plus négativement impactés sont ceux de la construction et de la distribution, concentrant, selon les conclusions d’une étude d’Inforisk, respectivement 38% et 35% des entreprises défaillantes du pays. Sans surprise, du fait de son poids dans l’économie marocaine dans sa globalité, le Grand Casablanca émarge également en tête des défaillances d’entreprises, avec plus du quart de ces dernières.

      - Qu’est-ce qui pousse aujourd’hui les entreprises à fermer?
      - Indéniablement, l’allongement des délais de paiements, à 1 an ou presque pour les petites structures et tout de même à 6 mois en moyenne pour les PME, conduit inexorablement à leur perte un nombre croissant d’entreprises, ayant, pour certaines, une gouvernance tout à fait saine et des fondamentaux financiers très corrects.

      - Que faut-il améliorer au niveau juridique et réglementaire?
      - Clairement, je pense qu’il faut implémenter une loi sur les délais de paiement qui soit suffisamment concrète et pragmatique pour être applicable sur le marché, ce qui n’était pas systématiquement le cas des textes précédents. De plus, il convient réellement d’apporter une solution efficiente au sujet des titres de paiement (et particulièrement les effets de commerce) impayés, qui ne protègent pas suffisamment les créanciers à mon sens. Enfin, il faudrait en finir avec une trop grande flexibilité octroyée à certaines formes juridiques, notamment au titre des fonds propres des SARL, car cela ne peut qu’accroître le nombre de structures extrêmement vulnérables du point de vue de la flexibilité financière.

      Propos recueillis par Fatim-Zahra TOHRY

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      • #4
        Déjà posté:

        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=418184

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        • #5
          hakimcasa ton lien ne compte pas puisqu'il ne met pas assez l'accent sur le Maroc, c'est le Maroc qui interesse et non les autres pays

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          • #6
            jawzia merci, merci, merci!!!!
            Ca confirme mes soupçons, je vais finir par adorer le makhzen grâce à toi.
            Tu n'as pas un sujet sur l'Algérie, à part les beaux wagons, le merveilleux accord entre les ricains et la sonatrach..........un monde immonde à côté et merveilleux chez toi; j'ai vu juste.
            la haine aveugle.
            Dernière modification par azed164, 07 mars 2018, 16h43.

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            • #7
              Posté de chez nous pour vous ? pas pour les tunisiens

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              • #8
                un monde immonde à côté et merveilleux chez toi; j'ai vu juste.
                Oh que non!
                Mais le problème est que si ce topic concerné l’Algérie,je te dis pas les commentaires,or il a bien été posté par Haddou,mais personne n'a trouvé a dire sur le sujet.

                Maintenant ce n'est pas les sujets sur l’Algérie qui manque et certains voisins ne se gênent pas pour les poster a juste titre.

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                • #9
                  annabideparis
                  Je ne dis pas le contraire, je dis juste que les gens de chez toi (comme jawzia et autres) qui vont se reconnaître, comme chez moi qui postent tout le temps pour dénigrer ça me dérange; Algériens, Marocains ce n'est pas les bosses qui manquent, au lieu d'être constructifs; certains jubilent à montrer la bosse de l'autre.

                  Commentaire


                  • #10
                    Algériens, Marocains ce n'est pas les bosses qui manquent, au lieu d'être constructifs; certains jubilent à montrer la bosse de l'autre.
                    azed164,

                    C'est vrai,il m'arrive meme de me laisser entraîner dans ce jeu.

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                    • #11
                      annabideparis
                      C'est vrai, nous nous faisons voler, piller par nos pourris de dirigeants et ici tu trouve des gens qui se tirent dans les pattes à longueur de journée.
                      J'ai donné mon avis sur le TGV, car je trouve que c'est bien, je me fais lyncher; après ce n'est pas pour dire que le Maroc est un paradis loin de moi; critiquer par haine je n'aime pas; mais pas du tout.

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                      • #12
                        Qu’est-ce qui pousse aujourd’hui les entreprises à fermer?
                        - Indéniablement, l’allongement des délais de paiements, à 1 an ou presque pour les petites structures et tout de même à 6 mois en moyenne pour les PME, conduit inexorablement à leur perte un nombre croissant d’entreprises, ayant, pour certaines, une gouvernance tout à fait saine et des fondamentaux financiers très corrects.

                        une petite boite ne pourrait jamais se développer justement à cause de cela..

                        et les supers banques marocaines ne jouent pas le jeux non plus....à part pour les leurs...

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                        • #13
                          Ca confirme mes soupçons, je vais finir par adorer le makhzen grâce à toi.
                          Tu peux adorer le makhzen ou ta voisine de pallier ... choughlek.

                          Je vais t'expliquer une fois pour toute comment ça se déroule ici : Chacun est libre de poster ce qu'il veut, emettre l'opinion qu'il veut, zapper ce qu'il veut, ... il n'y a qu'une limite à faire sienne : La charte et la courtoisie. Quant aux pleurnicheries et états d'âmes des uns et des autres ... dérisoires et futiles !!

                          Retour encore au sujet : Ce n'est pas la première fois que le sujet des défaillances d'entreprises est évoqué. Certains mettent cela sur le compte des retard de paiment. L'interviewé met le doigt sur d'autres raisons
                          Une telle tendance renseigne bien entendu sur le contexte économique actuel, délicat, lui-même induit par certains facteurs structurels (faible disponibilité de matières premières, tissu industriel peu étoffé, qualification moyenne de la main d’œuvre, taux d’intégration industrielle encore en consolidation…)

                          Commentaire


                          • #14
                            Je vais t'expliquer une fois pour toute comment ça se déroule ici....

                            Je n'ai certainement pas besoin de toi pour m'expliquer quoi que ce soit, à la fin ça devient insupportable Mr le donneur de leçons.
                            Je suis courtois je te mets devant tes vérités et tu la joue; vierge effarouchée; tu as allumé l'incendie assume, au lieu de jouer le pompier de service.
                            Libre à toi maintenant mets dix milles sujets positifs sur l'Algérie et mauvais sur le Maroc; mais ne vient pas nier ta haine aveugle.
                            Allez allah yahdi fin du HS

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