Recherche et développement constituent le moteur de la nouvelle stratégie industrielle préconisée par les pouvoirs publics et les acteurs économiques nationaux.
Constatant que l’Algérie dispose d’un important potentiel de technologies, des mesures ont été prises pour le valoriser et du coup permettre au pays de s’investir dans des activités à forte valeur ajoutée. Après avoir souligné l’importance de cette rencontre particulièrement dans le contexte actuel marqué par des mutations profondes dans tous les domaines, «le développement des technologies et de la recherche en général sera désormais mis au service de l’économie nationale, alors que le système d’innovation est placé au cœur de la stratégie industrielle», a indiqué en résumé, hier au CERIST (Alger), le chef du gouvernement, M. Abdelaziz Belkhadem, lors de son allocution inaugurale des travaux de la conférence sur la problématique de la stratégie industrielle et les pôles de compétitivité et d’excellence.
Cette rencontre, à laquelle ont pris part le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia, la ministre déléguée chargée de la Recherche scientifique, Mme Souad Bendjaballah et d’autres membres du gouvernement ainsi que de nombreux chercheurs universitaires et des représentants d’entreprises et d’associations professionnelles, est destinée à la présentation des différents aspects liés à cette relation entre le monde du savoir scientifique et le monde de l’entreprise.
Aussi pour que cette relation recherche et développement soit rentable et surtout durable, un système national d’innovation est mis en place. L’objectif est de faire bénéficier l’économie nationale des technologies et du savoir-faire local. L’autre effet attendu est relatif à la promotion du secteur industriel pour optimiser la croissance économique.
La démarche entreprise dans ce domaine a pour objectif d’assurer une plus grande adéquation de l’actuel système d’enseignement et de la recherche scientifique et technique avec les exigences de développement industriel et économique. Cet objectif sera confié à un certain nombre d’institutions chargées de supporter les relations entre l’Etat, les entreprises et les universités et centres de recherche.
Ladite démarche, qui se veut surtout novatrice, consiste à provoquer des changements substantiels à travers notamment un redéploiement institutionnel, tout en réunissant les conditions pouvant permettre le relèvement du niveau de la productivité et de la compétitivité de l’entreprise. Dans ce sens également, il est à retenir que cette nouvelle stratégie industrielle repose en grande partie sur l’innovation considérée comme facteur déterminant d’un développement endogène.
C’est ce principe qui est d’ailleurs à l’origine du projet de mise en place d’un système national d’innovation qui tient compte des besoins des entreprises nationales, des multinationales, des PME locales et étrangères. A cela vient s’ajouter, à l’évidence, l’intérêt accordé au développement des ressources humaines, en partant du principe que c’est sur le capital humain que repose le développement. Les volets relatifs d’une part, au développement spatial et à la constitution de zones de développement intégrées et de technopoles et, d’autre part, aux politiques d’appui à l’innovation sont les principaux sujets abordés dans le cadre de cette rencontre, dont les travaux ont eu lieu à huis clos.
Par ailleurs, dans le cadre du système national d’aménagement du territoire, il a été décidé d’optimiser les choix d’implantation des activités industrielles, dans le respect d’un aménagement du territoire équitable, durable et équilibré, visant à garantir aux investissements le maximum de rentabilité. Dans cette perspective les pôles de compétitivité et d’excellence sont intégrés dans des politiques d’aménagement et de développement durable du territoire à l’effet de créer des synergies professionnelles capables de multiplier les résultats, de susciter une dynamique économique régionale et favoriser l’innovation.
Constatant que l’Algérie dispose d’un important potentiel de technologies, des mesures ont été prises pour le valoriser et du coup permettre au pays de s’investir dans des activités à forte valeur ajoutée. Après avoir souligné l’importance de cette rencontre particulièrement dans le contexte actuel marqué par des mutations profondes dans tous les domaines, «le développement des technologies et de la recherche en général sera désormais mis au service de l’économie nationale, alors que le système d’innovation est placé au cœur de la stratégie industrielle», a indiqué en résumé, hier au CERIST (Alger), le chef du gouvernement, M. Abdelaziz Belkhadem, lors de son allocution inaugurale des travaux de la conférence sur la problématique de la stratégie industrielle et les pôles de compétitivité et d’excellence.
Cette rencontre, à laquelle ont pris part le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia, la ministre déléguée chargée de la Recherche scientifique, Mme Souad Bendjaballah et d’autres membres du gouvernement ainsi que de nombreux chercheurs universitaires et des représentants d’entreprises et d’associations professionnelles, est destinée à la présentation des différents aspects liés à cette relation entre le monde du savoir scientifique et le monde de l’entreprise.
Aussi pour que cette relation recherche et développement soit rentable et surtout durable, un système national d’innovation est mis en place. L’objectif est de faire bénéficier l’économie nationale des technologies et du savoir-faire local. L’autre effet attendu est relatif à la promotion du secteur industriel pour optimiser la croissance économique.
La démarche entreprise dans ce domaine a pour objectif d’assurer une plus grande adéquation de l’actuel système d’enseignement et de la recherche scientifique et technique avec les exigences de développement industriel et économique. Cet objectif sera confié à un certain nombre d’institutions chargées de supporter les relations entre l’Etat, les entreprises et les universités et centres de recherche.
Ladite démarche, qui se veut surtout novatrice, consiste à provoquer des changements substantiels à travers notamment un redéploiement institutionnel, tout en réunissant les conditions pouvant permettre le relèvement du niveau de la productivité et de la compétitivité de l’entreprise. Dans ce sens également, il est à retenir que cette nouvelle stratégie industrielle repose en grande partie sur l’innovation considérée comme facteur déterminant d’un développement endogène.
C’est ce principe qui est d’ailleurs à l’origine du projet de mise en place d’un système national d’innovation qui tient compte des besoins des entreprises nationales, des multinationales, des PME locales et étrangères. A cela vient s’ajouter, à l’évidence, l’intérêt accordé au développement des ressources humaines, en partant du principe que c’est sur le capital humain que repose le développement. Les volets relatifs d’une part, au développement spatial et à la constitution de zones de développement intégrées et de technopoles et, d’autre part, aux politiques d’appui à l’innovation sont les principaux sujets abordés dans le cadre de cette rencontre, dont les travaux ont eu lieu à huis clos.
Par ailleurs, dans le cadre du système national d’aménagement du territoire, il a été décidé d’optimiser les choix d’implantation des activités industrielles, dans le respect d’un aménagement du territoire équitable, durable et équilibré, visant à garantir aux investissements le maximum de rentabilité. Dans cette perspective les pôles de compétitivité et d’excellence sont intégrés dans des politiques d’aménagement et de développement durable du territoire à l’effet de créer des synergies professionnelles capables de multiplier les résultats, de susciter une dynamique économique régionale et favoriser l’innovation.
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