Annonce

Réduire
Aucune annonce.

100 milliards de DA pour la recherche

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • 100 milliards de DA pour la recherche

    Recherche et développement constituent le moteur de la nouvelle stratégie industrielle préconisée par les pouvoirs publics et les acteurs économiques nationaux.

    Constatant que l’Algérie dispose d’un important potentiel de technologies, des mesures ont été prises pour le valoriser et du coup permettre au pays de s’investir dans des activités à forte valeur ajoutée. Après avoir souligné l’importance de cette rencontre particulièrement dans le contexte actuel marqué par des mutations profondes dans tous les domaines, «le développement des technologies et de la recherche en général sera désormais mis au service de l’économie nationale, alors que le système d’innovation est placé au cœur de la stratégie industrielle», a indiqué en résumé, hier au CERIST (Alger), le chef du gouvernement, M. Abdelaziz Belkhadem, lors de son allocution inaugurale des travaux de la conférence sur la problématique de la stratégie industrielle et les pôles de compétitivité et d’excellence.
    Cette rencontre, à laquelle ont pris part le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia, la ministre déléguée chargée de la Recherche scientifique, Mme Souad Bendjaballah et d’autres membres du gouvernement ainsi que de nombreux chercheurs universitaires et des représentants d’entreprises et d’associations professionnelles, est destinée à la présentation des différents aspects liés à cette relation entre le monde du savoir scientifique et le monde de l’entreprise.
    Aussi pour que cette relation recherche et développement soit rentable et surtout durable, un système national d’innovation est mis en place. L’objectif est de faire bénéficier l’économie nationale des technologies et du savoir-faire local. L’autre effet attendu est relatif à la promotion du secteur industriel pour optimiser la croissance économique.
    La démarche entreprise dans ce domaine a pour objectif d’assurer une plus grande adéquation de l’actuel système d’enseignement et de la recherche scientifique et technique avec les exigences de développement industriel et économique. Cet objectif sera confié à un certain nombre d’institutions chargées de supporter les relations entre l’Etat, les entreprises et les universités et centres de recherche.
    Ladite démarche, qui se veut surtout novatrice, consiste à provoquer des changements substantiels à travers notamment un redéploiement institutionnel, tout en réunissant les conditions pouvant permettre le relèvement du niveau de la productivité et de la compétitivité de l’entreprise. Dans ce sens également, il est à retenir que cette nouvelle stratégie industrielle repose en grande partie sur l’innovation considérée comme facteur déterminant d’un développement endogène.
    C’est ce principe qui est d’ailleurs à l’origine du projet de mise en place d’un système national d’innovation qui tient compte des besoins des entreprises nationales, des multinationales, des PME locales et étrangères. A cela vient s’ajouter, à l’évidence, l’intérêt accordé au développement des ressources humaines, en partant du principe que c’est sur le capital humain que repose le développement. Les volets relatifs d’une part, au développement spatial et à la constitution de zones de développement intégrées et de technopoles et, d’autre part, aux politiques d’appui à l’innovation sont les principaux sujets abordés dans le cadre de cette rencontre, dont les travaux ont eu lieu à huis clos.
    Par ailleurs, dans le cadre du système national d’aménagement du territoire, il a été décidé d’optimiser les choix d’implantation des activités industrielles, dans le respect d’un aménagement du territoire équitable, durable et équilibré, visant à garantir aux investissements le maximum de rentabilité. Dans cette perspective les pôles de compétitivité et d’excellence sont intégrés dans des politiques d’aménagement et de développement durable du territoire à l’effet de créer des synergies professionnelles capables de multiplier les résultats, de susciter une dynamique économique régionale et favoriser l’innovation.

  • #2
    Il ne suffit pas d'injecter des milliards, il faut surtout une reforme complète de l'université et une valorisation du travail et de l'enseignant. Esperons que ce ne sont pas que des mots qu'on à l'habitude d'entendre chaque année.

    By the way, ce CERIST ta3 dzouj doro, qu'est ce qu'il attend pour se moderniser... un réseau catastrophique et des université soit sans site internet, soit ayant des sites minables, soit impossible d'acces (Setif par exemple)

    C'est la honte
    Dernière modification par absent, 22 février 2007, 17h51.

    Commentaire


    • #3
      Le CERIST

      Le CERIST utilise encore la connexion Internet 15 15 :22:
      Dernière modification par naouas, 22 février 2007, 17h44.

      Commentaire


      • #4
        Le CERIST utilise encore la connexion Internet 15 15 Les apprentis-sorciers qui nous font avancer à pas de tortue.
        Comment ça le CERIST utilise le 1515 (connexion RTC) ?! Le CERIST est lui même un ISP est dispose d'une connexion de plusieurs Mbs.

        Le CERIST est un centre de recherche dont la vocation n'est pas très claire. Le CERIST a perdu plusieurs de ses compétences IT qui sont partis à l'étranger. Idem pour le CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées) et le HCR (Haut Commissariat à la Recherche).
        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

        Commentaire


        • #5
          15 15

          Je l'ai vu de mes propres yeux en ayant participé à une réunion avec eux, l'ingénieur pour nous héberger le site a du se connecter avec le 15 15 pour nous faire une démo.

          Commentaire


          • #6
            Shadock

            Comment ça le CERIST utilise le 1515 (connexion RTC) ?! Le CERIST est lui même un ISP est dispose d'une connexion de plusieurs Mbs.
            Je veux bien te croire shadock mais d'après ce qu'on m'a dit, leur connexion c'est de la tortue dort tu.

            À l'Université de Setif, ils étaient branché avec un privé et ça marchais nickel chrome, sauf que lorsque le nouveau prophète est arrivé, je parle du recteur, il a remis tout sous Cerist et là on arrive plus à se connecter ...

            Commentaire


            • #7
              Moi je pense plutôt que de parler de stagie et de milliards, il est urgent de regler la crise que vit l'université algerienne, et surtout les cité U qui sont dans un état plus que lamentable!!!

              Autres chose: chez nous l'université et le monde industriel sont ne collaborent pas, ce qui fait que l'univ reste dans sa bulle théorique etl notre tissu industriel ne dispose pas de matière grise pour se developper.

              l'espoir est quand même permis avec ces 100 MDS!!!!

              Commentaire


              • #8
                Oui tout à fait on peut espérer mais ça prend des gens compétents et honnêtes pour gérer efficacement cet argent:

                Des gens qui prennent des initiatives pour l'intérêt de la communauté surtout.

                Commentaire

                Chargement...
                X