Quarante huit pays se réunissent pour l'interdiction des bombes à fragmentations. Ce qui est tres regrettable c'est de voir l'absence de pays comme Etats-Unis, la Russie et la Chine.
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Quarante huit pays se réunissent jeudi 22 février à Oslo à l'appel du gouvernement norvégien pour promouvoir l'interdiction des armes à sous-munitions. Les discussions se dérouleront en l'absence des Etats-Unis, de la Russie et de la Chine.
La Norvège espère élargir l'opposition internationale aux bombes à fragmentation, comme cela avait été le cas pour les mines antipersonnel, interdites selon les termes d'une convention négociée à Oslo en 1997. La réunion de jeudi a été convoquée face à l'absence d'avancée lors des négociations sur ces armements à Genève en novembre.
Des centaines de mini-explosifs
Les armes à sous-munitions répandent à l'impact des centaines de mini-explosifs sur de vastes étendues. Certains n'explosent pas et mettent en danger la population civile jusqu'à plusieurs années après la fin du conflit.
Israël a notamment largué jusqu'à quatre millions de bombes à fragmentation sur le Liban lors du conflit contre le Hezbollah cette année, selon une estimation de l'ONU, qui précise que la part des explosifs indemnes peut atteindre 40%.
Les Etats-Unis, la Chine et la Russie n'ont pas souhaité participer à la réunion de jeudi, à laquelle seront également associées des organisations non-gouvernementales. Les trois pays refusent toujours de signer la convention sur les mines antipersonnel de l'ONU.
Par AP
Pour plus d'infos NON aux BASM
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Quarante huit pays se réunissent jeudi 22 février à Oslo à l'appel du gouvernement norvégien pour promouvoir l'interdiction des armes à sous-munitions. Les discussions se dérouleront en l'absence des Etats-Unis, de la Russie et de la Chine.
La Norvège espère élargir l'opposition internationale aux bombes à fragmentation, comme cela avait été le cas pour les mines antipersonnel, interdites selon les termes d'une convention négociée à Oslo en 1997. La réunion de jeudi a été convoquée face à l'absence d'avancée lors des négociations sur ces armements à Genève en novembre.
Des centaines de mini-explosifs
Les armes à sous-munitions répandent à l'impact des centaines de mini-explosifs sur de vastes étendues. Certains n'explosent pas et mettent en danger la population civile jusqu'à plusieurs années après la fin du conflit.
Israël a notamment largué jusqu'à quatre millions de bombes à fragmentation sur le Liban lors du conflit contre le Hezbollah cette année, selon une estimation de l'ONU, qui précise que la part des explosifs indemnes peut atteindre 40%.
Les Etats-Unis, la Chine et la Russie n'ont pas souhaité participer à la réunion de jeudi, à laquelle seront également associées des organisations non-gouvernementales. Les trois pays refusent toujours de signer la convention sur les mines antipersonnel de l'ONU.
Par AP
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